Bill Gates annonce l’interdiction de la consommation de viande dans les pays blancs

Captain Harlock
Démocratie Participative
17 Février 2021

Depuis des mois j’annonce ici que nous allons devoir manger de la poudre d’insecte pour réaliser l’édification de l’utopie climato-sanitaire mise en place par le Nouvel Ordre Mondial.

Je ne sais pas si beaucoup de gens m’ont pris au sérieux. Probablement pas.

Ils devraient.

CNews :

Que faire pour lutter contre les changements climatiques ? Selon Bill Gates, l’une des solutions serait que les pays riches ne consomment plus que de la viande de synthèse, et abandonnent les protéines animales naturelles.

Outre les nécessités de se tourner vers des énergies vertes ou de diminuer les émissions de gaz à effet de serre, que Bill Gates expose dans son livre qui parait ce mardi « How to Avoid a Climate Disaster » (Comment éviter un désastre climatique en français), il est nécessaire, selon le fondateur de Microsoft, de réfléchir à l’alimentation de demain.

Dans une interview accordée à la revue MIT Technology Review, Bill Gates rappelle que des alternatives à la viande existent, et défend l’idée que les pays les plus développés devraient laisser tomber la viande pour des équivalents de synthèse. «Je ne pense pas que les 80 pays les plus pauvres mangeront de la viande synthétique à l’avenir. Je pense par contre que tous les pays riches devraient passer à une viande de bœuf 100% synthétique. On s’habitue à la différence de goût, qui va s’améliorer avec le temps», assure-t-il.

« Pays riches » est une formulation marxiste pour désigner les pays blancs en sous-entendant que ces pays sont injustement « privilégiés ».

Les pays blancs ne sont pas « riches » : ce sont des pays qui travaillent.

Cette phraséologie est parfaitement révélatrice de ce que ces turbo-milliardaires néo-communistes ont comme projet pour les nations blanches : la vampirisation de notre force de travail à leur profit et au profit des races de boue improductives.

D’une manière générale, les Américains ne devraient jamais parler de bouffe au reste du monde. D’armes tant qu’ils veulent mais pas de bouffe.

Presque 40% des Américains sont obèses parce qu’ils ne savent pas manger. Les choses décentes qu’ils peuvent éventuellement consommer sont produites par des immigrés qui montent des échoppes où ils vendent la cuisine traditionnelle de leur pays.

La nourriture est peut-être le dernier truc que les Français maîtrisent au niveau mondial encore aujourd’hui.

Les Américains n’ont rien qui puisse rivaliser avec du saucisson français.

C’est le point de départ de la discussion : les Américains n’ont pas le droit de parler de bouffe aux Européens.

Milliardaire ou non, Gates n’a aucune idée de ce qu’est de la bouffe, encore moins de la bonne bouffe. Il mange du plastique et du gras. Sa viande « synthétique » est une sorte de gras mélangé à du plastique avec marqué « viande synthétique » dessus.

Aucun pays civilisé ne peut accepter de se mettre à manger du gras et du plastique sur un ordre d’un milliardaire américain.

Ils devront utiliser la coercition.

Or aujourd’hui, les alternatives végétales à la viande, notamment des entreprises leaders du secteur aux États-Unis, Impossible Foods et Beyon Meat, ne représente que 1% de la viande dans le monde, rappelle Bill Gates. Ces viandes de synthèse représentent donc pour le moment seulement une toute petite part du marché, et sont de manière générale, encore plus couteuses à produire que de la viande classique.

Si l’homme est d’affaire est autant attaché à la réduction de la consommation de viande, c’est parce qu’elle représente l’un des principaux facteurs du réchauffement climatique. Les élevages intensifs poussent à la déforestation, notamment en Amazonie, où les surfaces agricoles qui remplacent les hectares de forêt servent à notamment à la production de soja pour nourrir le bétail à travers le monde. L’élevage de bovins participe aussi à une forte production de méthane, un gaz qui favorise l’effet de serre.

Interdit de manger de l’entrecôte charolaise.

Il faut faire baisser la température dans les favelas brésiliennes.

Bill Gates compte donc sur les innovations scientifiques en matière d’alimentation pour trouver des moyens de produire de la viande synthétique, respectueuse de la planète, peu couteuse, et productible à grande échelle.

Malgré les nombreux progrès qu’il reste à accomplir pour limiter les changements climatiques, Bill Gates se dit «optimiste» : «L’élection de Biden est une bonne chose. Ce qui est encore plus encourageant, c’est que si vous interrogez de jeunes électeurs, des millenials, qui s’identifient comme républicains ou démocrates, l’intérêt pour la question climatique est très élevé», se rassure-t-il.

Dès le début, j’ai dit que le Covid19 n’était qu’un prétexte et que les élites globalistes passeraient rapidement au réchauffement climatique pour justifier une brutale politique d’austérité économique.

Ces gens ne nous laisseront pas en paix tant que nous ne vivrons pas avec 400 euros par mois, cernés de nègres et de musulmans et surveillés en permanence par la police politique.

Après avoir détruit les restaurants, Bill Gates et les autres turbo-millionnaires qui conspirent avec lui veulent détruire la production indépendante de nourriture, à commencer par la viande. Cette fois, en parlant de la température de l’air.

Il veut nous y contraindre de force avec l’aide de Macron.

Le journal juif Le Monde (propriété des oligarques juifs Pigasse et Niel, dirigé par le juif Dreyfus) cible spécialement les dégénérés de Boboland pour en faire les propagateurs de cette politique globaliste. Ils ont encore publié un article du genre hier.

Ces agents cosmopolites ciblent sciemment le porc.

Ce n’est pas un hasard si ces juifs ciblent le porc : en plus d’imposer leurs propres interdits religieux, ils cherchent à utiliser la répulsion pour le porc qu’éprouvent les millions de musulmans présents chez nous pour alimenter la haine de notre mode de vie et le supprimer plus facilement.

L’autre jour, le millionnaire sans-frontiériste Yann Arthus Bertrand rencontrait la MILF Barbara Pompili pour évoquer la suppression de la viande.

Au cas où vous l’ignoreriez, Pompili est une ministre de Macron.

Le Parisien :

A regarder les images d’élevage industriel, on se demande s’il ne faudrait pas tous être végétariens ?

Y.A.B. Moi, je mange encore du poisson en sélectionnant des espèces qui ne sont pas en voie de disparition, mais ces images de veaux entassés qui souffrent donnent envie d’être vegan.

B.P. Moi, je ne suis pas végétarienne, j’aime bien la bonne viande, mais je fais très attention à ma consommation et je mange le moins possible de viande industrielle.

Y.A.B. On n’est pas assez radicaux là-dessus

B.P. Manger de la viande n’est pas choquant en soi. La question est d’en réduire notre consommation et de privilégier la viande de qualité.

Ces gens veulent « réduire notre consommation de viande ».

Qui le leur a demandé ?

Puisque ce n’est pas le peuple, ce sont les élites globalistes. Nous n’en sommes pas encore dûment informés mais entre eux, c’est parfaitement clair : la plèbe ne mangera plus de viande.

En réalité, cette réduction planifiée du niveau de vie est décidée depuis des années déjà par Davos et Karl Schwab.

Children Health Defense :

Les plans du WEF pour la « réinitialisation » de l’alimentation et de l’agriculture comprennent des projets et des partenariats stratégiques qui favorisent les organismes génétiquement modifiés, les protéines fabriquées en laboratoire et les produits pharmaceutiques et chimiques industriels en tant que solutions durables aux problèmes d’alimentation et de santé.

Par exemple, le WEF a promu une organisation appelée EAT Forum et s’est associé avec elle. EAT Forum se décrit comme un « Davos pour l’alimentation » qui prévoit d' »ajouter de la valeur aux entreprises et à l’industrie » et de « définir l’agenda politique ».

Selon Federic Leroy, professeur de sciences alimentaires et de biotechnologie à l’Université de Bruxelles, le réseau EAT interagit étroitement avec certaines des plus grandes entreprises d’imitation de viande, notamment Impossible Foods et d’autres entreprises de biotechnologie, qui visent à remplacer les aliments nutritifs et sains par des créations de laboratoire génétiquement modifiées.

« Ils la présentent comme saine et durable, ce qui n’est bien sûr ni l’un ni l’autre », a déclaré M. Leroy au Défenseur.

Impossible Foods a été initialement cofinancé par Google, Jeff Bezos et Bill Gates. De récents résultats de laboratoire ont montré que l’imitation de viande de la société contenait des niveaux de glyphosate 11 fois plus élevés que son plus proche concurrent.

La plus grande initiative d’EAT s’appelle FReSH, que l’organisation décrit comme un effort pour conduire la transformation du système alimentaire. Parmi les partenaires du projet figurent Bayer, Cargill, Syngenta, Unilever et même le géant de la technologie Google.

« Des entreprises comme Unilever et Bayer et d’autres sociétés pharmaceutiques sont déjà des transformateurs chimiques – beaucoup de ces entreprises sont donc très bien placées pour profiter de cette nouvelle activité alimentaire qui tourne autour de la transformation des produits chimiques et des extraits nécessaires à la production de ces aliments fabriqués en laboratoire à l’échelle mondiale », a déclaré M. Leroy.

Dans son livre, M. Schwab explique comment la biotechnologie et les aliments génétiquement modifiés devraient devenir un pilier central pour remédier aux problèmes de pénurie alimentaire mondiale, problèmes que COVID a révélés et exacerbés.

Ces élites globalistes veulent créer un système où ils décideront de la vie et de la mort de tous grâce à un monopole total sur toute l’économie occidentale.

La presse juive se charge d’en faire la promotion, comme le journal Le Figaro des juifs Bloch-Dassault.

La viande synthétique n’est qu’un moyen d’habituer la population à voir son niveau de vie s’effondrer. Le message implicite que véhiculent les médias est que la consommation normale de viande est condamnée à brève échéance. Pour le faire accepter, le système évoque un ersatz qui n’aura jamais de diffusion à grande échelle.

Ce qui sera diffusé, c’est de la protéine en poudre à base de cancrelas.

C’est le projet de Great Reset que ces gens mettent actuellement en place.

Je ne sais pas si les éleveurs français ont conscience de ce que préparent ces gens. Je n’ai rien vu qui permette de le penser.

Le plus probable est qu’ils finissent comme les restaurants – génocidés économiquement avec un masque sur le nez.

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