Biden menace les routiers de la liberté qui occupent la frontière américano-canadienne !

Captain Harlock
Démocratie Participative
11 février 2022

Justin Castro est sur le grill.

Papa Biden est sorti du bois pour demander à Fidel Trudeau de déployer l’armée et la police contre les poids lourds de la liberté.

France 24 :

Alors que les manifestants anti-restrictions sanitaires paralysent des voies commerciales frontalières essentielles entre les États-Unis et le Canada, avec des conséquences, notamment, sur l’industrie automobile, Washington a demandé jeudi aux « pouvoirs fédéraux » canadiens d’intervenir pour mettre un terme à la contestation.

Avec le blocage d’un troisième axe frontalier avec les États-Unis, la contestation s’est encore étendue jeudi au Canada. Les manifestants ont en effet décidé de frapper l’économie en paralysant des voies commerciales essentielles, ce qui perturbe déjà certains secteurs comme l’industrie automobile des deux côtés de la frontière, depuis le blocage il y a quatre jours de le Ambassador Bridge, entre l’Ontario et Detroit aux États-Unis.

Washington a proposé son « aide pleine et entière », ont fait savoir jeudi des responsables de la Maison Blanche précisant que plusieurs ministres américains étaient en contact régulier avec leurs homologues canadiens à ce sujet. Ils ont aussi assuré que l’administration Biden était « mobilisée 24 heures sur 24 pour mettre fin rapidement » à la crise.

Le Premier ministre, Justin Trudeau, avait de nouveau appelé jeudi à la fin des manifestations : « Il est temps que cela finisse, car cela fait mal aux Canadiens », mais sans proposer de plan d’action concret. Son gouvernement s’est contenté d’indiquer que des renforts policiers seraient envoyés aux endroits de blocage, mais sans plus de précisions.

L’inquiétude est montée d’un cran ces derniers jours car en bloquant le Ambassador bridge, les manifestants ont touché un nerf central pour l’industrie automobile et forcé les géants du secteur – Ford, Stellantis et Toyota – à suspendre ou à ralentir temporairement les chaînes de fabrication dans plusieurs usines.

Estimant que la situation représentait une « crise nationale », le maire de la ville de Windsor Drew Dilkens a annoncé son intention d' »expulser » les manifestants par la force s’il obtient l’autorisation d’un tribunal. « Le préjudice économique que cette occupation cause au commerce international ne peut pas durer et doit cesser », a-t-il ajouté.

« Il est impératif que les gouvernements locaux, provinciaux et nationaux du Canada désamorcent ce blocus économique », a déclaré jeudi la gouverneure du Michigan, Gretchen Whitmer, les appelant à prendre « toutes les mesures nécessaires ».

Le mouvement s’étend sur les routes et semblait dans une impasse dans les rues de la capitale fédérale Ottawa. Des centaines de camions bloquent toujours les rues, installés devant le Parlement et les bureaux de Justin Trudeau.

La police de la ville a une nouvelle fois expliqué qu’elle n’était « pas en mesure » de « mettre un terme » à la manifestation sans renforts. Son chef Peter Sloly a expliqué « ne pas avoir les ressources suffisantes » pour « empêcher l’approvisionnement en essence des camions » qui bloquent les rues, ou pour « procéder à des arrestations ».

De fait, malgré un avertissement lancé mercredi aux manifestants, la police n’a procédé qu’à deux nouvelles arrestations portant le nombre à 25 depuis le début du mouvement.

Sans l’entrée dans un univers parallèle en mars 2020, cette situation paraîtrait sortir d’un film de Leslie Nielsen.

Nous avons affaire à des dirigeants politiques qui ont organisé le premier blocage global de l’économie mondiale pour combattre une grosse grippe.

A présent que les paysans se révoltent contre cette séquestration, ces dirigeants dénoncent un « blocage de l’économie » et appellent à utiliser la force pour débloquer les anti-bloqueurs.

Ces politiciens n’osent dire ça que parce qu’ils sont fondamentalement convaincus de la stupidité quasiment illimitée des masses qu’ils gouvernent.

Fidel Trudeau agit aussi à l’évidence sous la pression de Biden.

Ou plus exactement de l’équipe de Biden. Biden est un octogénaire qui ne peut même plus chier seul le matin.

La situation est assez claire : la seule façon de briser le mouvement est de déployer l’armée et de tirer à vue sur les routiers.

Le problème, c’est que le gouvernement Schwab au pouvoir au Canada prétend instaurer le communisme total au nom de la santé publique. Tirer sur des routiers serait difficile à vendre aux masses de goyim vaccinés pour « protéger les autres » du Rhume19.

Pas impossible, mais difficile.

Encore une fois, nous vivons dans un univers parallèle, il faut donc s’attendre à tout.

Justin Castro est bloqué entre le marteau de Davos et l’enclume des routiers de la liberté.

Je mise sur les routiers.

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