Béziers : Robert Ménard inaugure sa nouvelle crèche entouré de ses indispensables rabbins et imams

Captain Harlock
Démocratie Participative
03 décembre 2019

 

Ménard a remis le couvert avec sa crèche.

C’est surtout l’occasion d’inviter les rabbins à kippa et les imams pour célébrer la France sémitisée.

« Patriote », comme on dit.

Je ne vois pas bien ce qui distingue la France d’En Marche de la France RN. Les deux promeuvent une société multiraciale à base de musulmans et de juifs. Et de subsahariens aussi.

La différence est donc de pure forme. On joue sur les mots.

Les gogols perdus de la droite réactionnaire adorent ce genre de grigris.

Ils veulent simplement que les envahisseurs s’essuient les pieds avant d’entrer, disent merci et admirent le petit Jésus.

Ils n’ont probablement même pas remarqué la présence du commissaire politique mandaté par Israël pour superviser le tout.

« Merci d’inviter les juifs qui nous ont plongé dans le bain afro-maghrébin ! Cela fait partie de notre identité ! »

Ménard, l’ex-trotskiste de Reporters sans Frontières, est fidèle à son besoin compulsif de flairer les effluves rances des aisselles du peuple élu. Mais du moins n’a-t-il pas de pudeur sur la question.

Peut-être que ça lui vient de son Algérie natale (oui, Ménard est né à Oran, pas à Dijon).

Ces derniers temps, Ménard est très remonté contre les tribus celtes de Gaule qui veulent remigrer les Maures (à 06:50′).

Donc voilà.

Le projet, c’est une ville bougnoulisée comme Béziers avec des rabbins et une crèche une fois l’an dans le hall de la mairie.

Les algériens en rigolent énormément, de ces crèches. Ils finiront bien par coller des petits drapeaux algériens dessus.

Dix mille crèches validées par les passeurs sodomites du Vatican n’empêcheront pas une seule négresse de couler par la fente son fort catholique négrillon congolais dans une de nos maternités en surchauffe.

En fait, ce genre de grigris donne un tout petit levier supplémentaire aux homosexuels à col romain pour culpabiliser les derniers mauvais Chrétiens qui font la moue devant la miraculeuse transhumance venue d’Afrique, comme les rois mages, pour nous annoncer la bonne nouvelle du Grand Remplacement.

« Alors comme ça, vous fermez vos portes aux pauvres ? Aux sans-papiers ? C’est Jésus que vous rejetez ! »

Jésus qui frappe à ta porte

« Mais les traditions ! »

Oui, oui, d’accord, conceptuellement, en tirant obstinément par les cheveux l’équation, les petits calendriers au chocolat de l’avent c’est « traditionnel ». Je le concède.

Et puis après ?

L’inceste aussi, chez les juifs, c’est traditionnel.

Les gens n’y voient que le chocolat, la neige et les sapins, avec de belles lumières.

Plus personne ou presque chez les Français de souche ou les Européens, Polonais exceptés, ne croit aux histoires du vieux spéculateur Abraham qui prostituait sa femme à Pharaon pour continuer de faire affaires en Égypte.

Le petit Jésus va rester muet.

Les dieux de Rome n’ont pas sauvé les Romains et la Très Sainte Église Catholique de Bergoglio ne sauvera pas davantage la boutique, crèches ou pas.

En fait, elle est fermement engagée à spéculer sur notre mort raciale en important du nègre en quantités énormes.

Le catholicisme contemporain, outre son enjuivement et son démocratisme dogmatiquement affichés, est devenu une affaire de bourgeoises de plateaux télé suçant des ashkénazes.

Si l’Europe avait dû bâtir des cathédrales avec des Eugénie Bastié, on aurait pas dépassé les premiers 50 centimètres de maçonnerie.

« Jérusalem »

Jeroushalaïm.

« La Jérusalem Céleste ».

Tu m’en diras tant.

Tout en or, du sol au plafond, serti de diamants. Un vrai paradis juif.

En 2019, Jérusalem est très opiniâtrement le centre de la juiverie mondiale, pas un état croisé. Ni demain ni jamais. Peu importe ce que disent ces folles en Ralph Lauren et serre-tête.

La curaille n’est plus que la capote usagée du peuple élu, sa réserve pour éteindre la lumière les samedis.

Si on doit survivre, il faut déjà commencer par s’arracher de la cervelle ce souk puant du désert de Palestine avec ses ruelles pisseuses noircies au soleil où les clebs du rav viennent pisser au pied de l’étale à dattes d’Abdallah.

Comment la Papauté est-elle parvenue à coller dans les tronches une histoire de vierge juive enceinte jusqu’aux dents au beau milieu d’une forêt de sapins enneigés d’Europe du nord ?

« Yosif, t’ia vu mon fiils ? »

C’est arrivé à un point où tout ce qui agite une croix est une simple branche du Consistoire israélite.

Ménard est le plus repoussant de tous car le plus merdiquement hypocrite.

Nous sommes dans le cirque séfarado-hollywoodien, pas même dans la foi intérieure, par définition personnelle et discrète.

« Ayaaa ! Mauriiice, t’ia vu ma crèèche comme elle est beelle ? »

Pensé à l’origine pour donner de la substance à cette saloperie de fraîche date qu’on appelle le « judéo-christianisme » pour légitimer son opposition à l’islam tout en apaisant la juiverie antiraciste, ce happening de Ménard est devenu une nouvelle occasion de nous foutre des imams sous le nez.

Si bien que nos chers laïcards anti-islam réussissent l’exploit d’associer une crèche de Noël aux Bédouins d’Allah. Un périmètre que même les gauchistes n’avaient jamais pollué jusqu’ici.

Le biblisme n’est qu’une énième niche, au 21ème siècle, pour nous abrutir de sous-races.

Le vivre ensemble nord-africain, après lequel court un Ménard nostalgique de son Oran natal, même mâtiné de christianisme revu et corrigé par des rabbins, est aussi puant que l’original.

Le Sud, facteur éternel de malheur pour l’humanité aryenne.

C’est le Nord total qu’il nous faut.