Besançon : un poète taliban égorge sa femme afghane dans la rue

Captain Harlock
Démocratie Participative
01 novembre 2018

 

Le multiculturalisme est une sorte d’agence de voyage pour pauvres.

DNA :

Une femme de 34 ans d’origine afghanea été tuée en pleine rue, mardi à Besançon (Doubs), par une personne qui a pris la fuite. Elle revenait des courses quand elle a reçu plusieurs coups de couteau, dont un fatal porté à la gorge.

Juste pour situer.

Dans la tête d’un afghan, le monde, c’est ça :

Et Besançon, c’est ça :

Juste pour situer.

Ce mercredi, nos confrères de l’Est Républicain indiquent que la piste du mari est évoquée. En effet, cette femme était hébergée dans un foyer pour victimes de violences conjugales.

Le mari est toujours activement recherché. « L’exploitation d’une caméra de la ville de Besançon a permis de mettre en évidence la présence d’un individu qui suivait la victime (…). L’exploitation plus fine de l’ensemble des moyens de vidéo protection a confirmé qu’il s’agissait de son mari», a expliqué Etienne Manteaux, procureur de la République de Besançon, lors d’une conférence de presse.

« Le suspect est un homme de 38 ans de nationalité afghane, mesurant 1,75 mètres. Il porte un tatouage sur l’épaule droite », a précisé le commissaire Charly Kmyta, chef de la sûreté départementale de Besançon.

Razia avait quitté son mari dont elle avait peur. Elle était prise en charge depuis de longs mois par l’association Solidarité Femmes de Besançon, rapporte encore l’Est Républicain.

Le destin est espiègle.

Les organisations féministes institutionnalisées, du genre planning familial et autres machins contre les violences conjugales, vont de plus en plus devoir gérer les relations intra-tribales de la nouvelle population française.

Il ne faudra pas attendre très longtemps avant que ces peuplades orientales ne commencent à regarder d’un oeil bizarre tous ces grosses assistantes sociales blanches.

Et je ne parle pas de ces hyènes que l’on nomme les juges aux affaires familiales, radicalement vaginocrates, qui vont devoir parlementer en pachto ou en ourdou avec ce type de clients.

De toutes façons, ces afghans vont former des enclaves un peu partout où il sera impossible de rentrer sans perdre deux ou trois flics au minimum.

En attendant la déportation de ces cancrelats, se mêler de leurs affaires tribales est la dernière des choses à faire. Ils peuvent bien s’entre égorger, grand bien leur en fasse.