Berlin : des dizaines de milliers de personnes défilent contre la dictature sanitaire et son port du masque obligatoire

Captain Harlock
Démocratie Participative
02 août 2020

 

Le monde occidental se révolte enfin contre la pandémie imaginaire concoctée par les conspirateurs globalistes.

Sans grande surprise, c’est le peuple allemand qui est en pointe en Europe contre la plus grande escroquerie de l’histoire moderne, voire de l’histoire tout court.

RT a fait un live complet sur la manifestation de Berlin.

Le média juif The Huffington Post a un résumé en français.

France Info :

Après l’Amérique du Nord et le Royaume-Uni, l’Allemagne connaît sa première grande manifestation « anti-masques ». Plusieurs milliers de manifestants hostiles aux mesures restreignant les libertés individuelles pour combattre le Covid-19 ont défilé, samedi 1er août, dans le centre de Berlin. Estimés à quelque 15 000 par la police, les manifestants ne portaient pour la plupart pas de masque, selon un journaliste de l’AFP, et la distanciation physique d’un mètre cinquante normalement obligatoire n’était pas respectée.

Parmi les participants à ce cortège hétéroclite, qui se dirigeait vers la porte de Brandebourg, plusieurs scandaient « nous sommes la deuxième vague », « résistance » ou encore « la plus grande théorie conspirationniste est la pandémie du nouveau coronavirus ».

La police de Berlin a à plusieurs reprises appelé les manifestants à respecter les gestes barrières, avant d’annoncer sur Twitter avoir « déposé une plainte » contre l’organisateur de l’événement en raison du « non-respect des règles d’hygiène ».

Cette mobilisation intitulée « La fin de la pandémie – Jour de la liberté », a rencontré des contre-manifestants, dont un cortège de « grands-mères contre l’extrême droite », qui ont insulté les militants les qualifiant de « nazis ». La devise de la manifestation, « Jour de la liberté », est effet le titre d’un film de la réalisatrice nazie Leni Riefenstahl sur la conférence du parti d’Adolf Hitler NSDAP en 1935. Selon l’agence Reuters, la manifestation a notamment rassemblé des libertariens, des militants anti-vaccins, ainsi qu’un groupe de membres de l’extrême droite allemande.

Si vous refusez de porter un masque, vous êtes encarté d’office au Parti Nazi. Si vous utilisez le mot « liberté » aussi. Que vous soyez partant ou non n’a aucune importance, les médias juifs ont tranché la question pour vous. Ceci dit, je pense que c’est une affirmation correcte : se libérer de l’emprise juive est au cœur du projet national-socialiste.

Plusieurs responsables politiques ont ainsi critiqué cette mobilisation. Saskia Esken, responsable des sociaux-démocrates, parti minoritaire de la coalition gouvernementale avec les conservateurs d’Angela Merkel, a fustigé ces « Covidiots ». « Sans distance, sans masque : ils ne mettent pas seulement en danger notre santé, mais aussi notre succès contre la pandémie et pour la relance de l’économie, de l’éducation et de la société. Irresponsable ! », a-t-elle twitté.

Il semble bien que cette cadre du parti communiste déguisé en parti socialiste qu’est le SPD est un travesti.

On ne peut pas dire qu’elle respire la jovialité.

Je n’écoute déjà pas les femmes qui parlent mais si en plus ces femmes ressemblent à des mecs, c’est intenable.

Jan Redmann, chef de file de la CDU au parlement du Land de Brandebourg, a lui estimé sur ce même réseau social : « 1 000 nouvelles infections par jour encore et à Berlin il y a des manifestations contre les mesures anti-coronavirus ? Nous ne pouvons plus nous permettre ces dangereuses absurdités ».

Si l’Allemagne a jusqu’à présent été plutôt épargnée par la pandémie qui y a fait moins de 9 200 victimes, les autorités s’alarment d’une lente reprise du nombre des infections ces dernières semaines. Samedi, le nombre de nouvelles infections a ainsi augmenté de 955 par rapport à la veille, un niveau qui n’était plus atteint depuis le 9 mai, selon l’Institut sanitaire Robert Koch.

Les juifs de « Conspiracy Watch » dirigé par (((Rudy Reichstadt) sont particulièrement inquiets.

Cette arnaque pandémique commence à se fissurer de toutes parts et nous ne sommes même pas encore entrés dans la phase dure de la destruction économique engendrée par le confinement. Avant que les effets ne se déploient à pleine puissance, il faut attendre au moins décembre. Les statisticiens admettent qu’il est pratiquement impossible de savoir avec certitude quelle sera la chute du PIB en 2020.

Des pays comme l’Espagne sont tout particulièrement touchés en raison de l’effondrement de l’activité touristique. La France est aussi massivement impactée.

Nous pourrions perdre 20% du PIB et l’Espagne 25%.

Cela représente pour la France environ 500 milliards d’euros de capital détruit dans un pays déjà criblé de dettes dont la courbe démographique annonce l’envolée des dépenses de retraites. Vous l’avez peut-être oublié mais fin 2019, Delevoye, qui était chargé par Macron de faire passer sa réforme des retraites, annonçait la nécessité d’importer 50 millions de migrants sur les 30 prochaines années pour permettre aux Boomers de vivre confortablement jusqu’à 100 ans.

Ces gens disposent de tous les chiffres sur le sujet et savent que le modèle n’est pas viable en l’état et se livrent à des expérimentations extrêmement risquées, à l’instar de la transformation de la France en excroissance de l’Afrique. S’ils sont prêts à importer le néolithique en France pour essayer des trucs, ils sont capables de tout.

Les gens qui ont décrété ce confinement absurde ne pouvaient pas ne pas savoir qu’il anéantirait partiellement l’économie. Ma théorie est assez simple : ces gens ont fabriqué cette pandémie imaginaire pour accompagner l’inévitable dépression économique qui devait survenir avec l’insolvabilité des états. Une sorte de pilotage autoritaire de la baisse du niveau de vie, si vous préférez. S’ils ne l’avaient pas fait, les masses auraient immédiatement accusé l’oligarchie en place du désastre. Grâce à l’excuse pandémique, le système peut se dédouaner à peu de frais. Un tel pilotage suppose la mise en place d’un état de surveillance permanent, notamment par l’abolition de la monnaie physique et le tracking des individus. Sans parler du passeport sanitaire prévu avec la vaccination obligatoire des goyim. Il y a aussi le rationnement à grande échelle que le système essaie de légitimer au nom de la hausse de la température.

Visiblement, le premier confinement n’a pas suffi et il semble de plus en plus clair qu’un second confinement sera décrété cet automne. D’ici là, il est à espérer qu’une révolte générale aura lieu en France contre cette conjuration judéo-globaliste.

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