Berlin : 14 mois de prison pour l’héroïque Iranien Reza Begi pour avoir rappelé que l’holocauste est une escroquerie juive au Mémorial de Lolocauste

La rédaction
Démocratie Participative
19 février 2023

C’est un jour sombre pour la liberté des peuples.

Algemeiner :

Un tribunal allemand a condamné mardi un négationniste notoire à une peine de quatorze mois de prison sans possibilité de libération conditionnelle.

Reza Begi, 51 ans, d’origine iranienne, est jugé par le tribunal de district de Berlin-Tiergarten depuis août dernier. Selon le média allemand Tagesspiegel, il fait face à 25 chefs d’accusation, dont l’incitation et la violence contre les forces de l’ordre, sur une période allant de mai 2020 à septembre 2021. Tout au long du procès, il a poursuivi ses activités d’agitation, se joignant à des néonazis lors d’une marche dans la ville de Dresde, pas plus tard que le week-end dernier.

Si seulement tous les immigrés orientaux présents en Allemagne se comportaient comme ce gentleman.

Idéalement, il ne devrait pas y avoir d’immigrés orientaux en Allemagne, mais vous comprenez l’idée.

Au début de son procès, l’ancien chauffeur de taxi a déclaré au président du tribunal « Je suis le Messie » lorsqu’on lui a demandé de préciser sa profession. Parmi les nombreuses violations de l’interdiction légale du négationnisme en Allemagne, Begi a prononcé un discours antisémite au Mémorial de l’Holocauste de Berlin et a affirmé à tort que l’Holocauste avait été inventé lors d’une manifestation devant l’ambassade d’Israël dans la capitale allemande.

Cet homme n’en a clairement rien à foutre des « lois sur le négationnisme ».

Le truc avec ces lois, c’est que si mille personnes se mettent à faire ce que fait le flamboyant Reza Begi, elles deviennent inopérantes. Il est impossible de les enfermer toutes en même temps, si bien qu’il y en aurait toujours 100 ou 200 en liberté pour tourner en ridicule la religion de l’holocauste.

Cet homme est un authentique artiste.

À une autre occasion, en décembre 2020, Begi a bruyamment nié l’Holocauste devant le même tribunal de district où se tenait son propre procès, tout en assistant au procès séparé d’Ursula Haverbeck, une sympathisante nazie de 94 ans qui a été condamnée pour négationnisme à de nombreuses reprises.

Ursula Haverbeck est toujours en prison où les juifs l’y ont jetée.

Parce qu’en démocratie, faire mourir des nonagénaires en détention pour apaiser les bouffées émotionnelles des juifs est ce qu’il y a de plus important.

Begi a également incité à la violence. Lors d’une manifestation organisée en mai 2020 devant le Parlement allemand contre les mesures de santé publique prises par le gouvernement pour lutter contre la pandémie de COVID-19, Begi, portant un keffieh palestinien, a exhorté ses camarades à prendre d’assaut le bâtiment.

Si à 50 ans on a pas appelé à prendre le Reichstag de force pour abattre le pouvoir juif, on a raté sa vie.

Un témoin qui a témoigné l’avant-dernier jour du procès a raconté que Begi avait commencé à crier des épithètes antisémites dans une rame de métro berlinoise bondée après avoir réalisé que la personne assise à côté de lui était juive.

Le témoin a déclaré être intervenu et avoir appelé la police. « J’en vois beaucoup dans le métro, mais ça ne marche pas », a déclaré le témoin. « L’antisémitisme n’est pas cool ».

boomer spotted

Begi n’était pas au tribunal mardi pour entendre le verdict. Son avocat, Wolfram Nahrath – un vétéran des procès impliquant des militants néo-nazis et d’extrême droite – avait plaidé pour un acquittement ou une amende symbolique. Nahrath a également demandé l’abolition de l’article 130 du code pénal allemand, qui criminalise la négation de l’Holocauste, en faisant valoir que l’ordre public ne pouvait être perturbé par le simple fait de « discuter de l’histoire ».

Cependant, le juge s’est montré réticent, décrivant le déchaînement de violence de Begi dans le métro de Berlin comme « symbolique » des dommages causés par sa négation de l’Holocauste.

En prononçant la sentence, le juge a exprimé son accord avec l’affirmation du procureur selon laquelle Begi était enfermé dans une « vision antisémite fermée du monde ». Le refus de la probation était justifié par le fait que Begi était un récidiviste avec un casier judiciaire, a déclaré le juge.

Le problème, c’est la vision philosémite du monde.

Quoi qu’il en soit, Reza Begi contribue positivement au débat public sur la nécessité d’abattre le régime colonial juif qui occupe l’Allemagne sous la protection de l’armée américaine.

Espérons qu’il sorte le plus tôt possible pour continuer à remettre ces sales juifs à leur place.

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