Benoît XVI rituellement assassiné par Bergoglio et les juifs à la veille de l’année 2023

La rédaction
Démocratie Participative
01 janvier 2022

Benoît XVI était retenu en otage au Vatican depuis 10 ans par Bergoglio et les juifs. Ils l’ont finalement exécuté rituellement à la veille de l’année diabolique de 2023, en offrande à Satan.

L’ex pape Benoît XVI est mort, probablement étouffé avec un oreiller pour que sa disparition coïncide avec le début exact de l’année 2023, année révolutionnaire pour le Nouvel Ordre Mondial.

Le Soir :

Le président russe Vladimir Poutine a rendu hommage à l’ancien pape Benoît XVI, décédé samedi. Il l’a loué comme un « défenseur des valeurs chrétiennes traditionnelles ».

« Benoît XVI était une éminente personnalité religieuse et une figure de l’Etat, un défenseur acharné des valeurs chrétiennes traditionnelles », a déclaré Poutine dans un message au pape François, diffusé par le Kremlin. Et d’ajouter : « Je garderai toujours de bons souvenirs de lui. »

Le président russe se considère comme un protecteur des valeurs conservatrices et estime qu’il y a une déchéance morale en Occident.

Ratzinger n’était pas traditionaliste. Il a activement soutenu Jean-Paul II dans son travail de démantèlement final de ce que l’on tenait pour l’Église catholique jusqu’à Vatican II.

Le Polonais a initié la transformation de l’Église catholique en ONG internationaliste où les adorateurs de l’oignon transcendantal voisinaient avec les sectateurs de la Vache sacrée et autres rassemblements animistes africains.

Sans parler des Mahométans.

L’Église fonctionne comme l’URSS.

Les doctrinaires comme Ratzinger sont chargés de justifier a posteriori les revirements politiques incessants du gang papiste en excipant telle ou telle « vérité » qu’ils sortent de grimoires que personne n’a jamais lu. Quiconque proteste est qualifié de déviationniste encourant la colère divine et mis au ban.

Staline faisait de même, disposant de ses théologiens rouges, gardiens de l’orthodoxie marxiste-léniniste, chargés de justifier toutes les purges imaginables contre les « opportunistes », « contre-révolutionnaires », « éléments droitiers » et autres « espions ».

Ratzinger a introduit les juifs au Vatican dès le début des années 70, notamment la maçonnerie hébraïque organisée au sein du B’naï Brith. Il a produit ensuite le très orthodoxe bavardage pour justifier cet enjuivement méthodique. Il a ainsi toujours expliqué que les juifs ne devaient en aucun être convertis, une aberration théologique qui n’empêche pas ce pauvre homme d’être qualifié de « sommité théologique » par toute la somme de crétins rampants qui versent des larmes de crocodile sur sa momie.

Conscient du désastre imminent et probablement pris de remords à mesure qu’il se rapprochait de la tombe, Ratzinger a tenté de créer un espace marginal pour les traditionalistes avec son motu proprio autorisant la messe en latin.

Cette tentative a déclenché la violente colère des juifs qui ont placé le Vatican sous embargo bancaire, en janvier 2013.

En février suivant, les juifs lançaient le putsch, renversaient Benoît XVI et plaçaient le jésuite argentin, leur créature, sur le trône papal.

La hyène Bergoglio s’est empressé de traquer les quelques traditionalistes tolérés sous Benoît XVI et a puissamment renforcé l’alignement idéologique sur l’agenda globaliste de Davos.

Bergoglio, qui est un athée revendiqué et qui a expliqué à plusieurs reprises ne pas croire à la divinité du Christ ni à l’existence de l’Enfer, fait mine de gémir sur le cadavre du pape qu’il a fait assassiner.

Rien que de très normal.

Aujourd’hui le Vatican est un bordel homosexuel, ce que l’on sait trop peu. On s’y livre aussi régulièrement à des messes noires et autres rituels issus du folklore kabbalistique.

Bergoglio lui-même loge sous le même toit qu’un rabbin, le juif Abraham Skorka.

Sa fonction est de bénir toutes les décisions de la juiverie démocratique, de la vaccination des goyim à la guerre hébraïque contre la Russie en passant par le Grand Remplacement.

D’ailleurs, en pratique, l’Église catholique n’est plus guère que la plus grande organisation de passeurs de la planète. Non seulement cela, mais ses cadres deviennent des nègres, littéralement. On ne compte plus les paroisses dirigées par des Noirs d’Afrique. Je vous accorde qu’au moins ceux-là sont hétérosexuels.

Dans nos milieux, on est beaucoup trop coulant avec cette organisation subversive au prétexte d’une nostalgie incapacitante. On aurait meilleur compte à foutre toute cette canaille enjuivée dans le premier avion à destination de Kinshasa.

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