Belgique : un septuagénaire ignoblement persécuté par les juifs pour avoir rappelé l’évidence au sujet des chambres à air hitlériennes

Le Libre Panzer
Démocratie Participative
07 février 2019

Le royaume hébraïque de Belgique refait parler de lui.

Cette fois, ce n’est pas à cause de ses djihadistes de l’amour mais des juifs qui dirigent ce pays.

DHNET.be :

Un septuagénaire a nié l’existence des chambres à gaz dans un train… et à l’audience.

Alors qu’il se trouvait dans un train circulant entre Nivelles et Bruxelles, le 24 avril 2018, un policier en civil a vu qu’une autre passagère semblait importunée par le discours que lui tenait son voisin septuagénaire. Et pour cause : l’homme expliquait qu’Hitler avait finalement raison, qu’il avait redressé l’Allemagne et que les données qui circulent sur la Seconde Guerre mondiale sont faussées.

Et lorsque l’homme a enchaîné en affirmant que les chambres à gaz n’avaient rien d’historique, mais qu’il s’agissait de pure propagande, le policier est intervenu. Il a fait remarquer à celui qui tenait de tels propos que ceux-ci tombent sous le coup de la loi, en le priant de cesser. Il s’est fait envoyer sur les roses, bien qu’il ait présenté sa carte de légitimation pour justifier son intervention.

Le policier à la solde des juifs pour terroriser les gens qui veulent librement discuter des 6 trillions de juifs transformés en abat-jour par Adolf Hitler entre 1929 et 1958.

Louis D., un Nivellois né en 1945, a dû venir s’expliquer devant le tribunal correctionnel. Où il a qualifié d’ »inique » la loi réprimant la négation du génocide. Avant de préciser qu’il n’avait pas nié le génocide, puisqu’il n’a pas prononcé ce mot dans le train. De même, il a précisé que, contrairement à ce que le policier a rapporté, il n’a certainement pas parlé de Hitler, mais plus certainement de « monsieur Hitler ».

« Monsieur Hitler ».

C’est ce que l’on appelle la classe.

Et la classe, on l’a ou on ne l’a pas.

Et d’expliquer en audience publique que les chambres à gaz « homicides » des camps nazis ne sont qu’un mensonge « très mal fait », et qu’il s’agissait seulement de caissons pour traiter une épidémie de typhus.

Si vous n’avez jamais pris une heure pour en finir avec cette escroquerie hébraïque, c’est le moment.

C’est l’heure la plus productive de toute votre vie.

Les chambres à gaz et leurs portes en bois.

Parce que bien sûr.

Au ministère public indigné, Louis D. a aussi répondu en contestant le chiffre des morts dans les camps nazis, glissant au passage qu’on parlait très peu des soldats allemands morts de faim « par la volonté du sioniste Eisenhower« …

Le tribunal a rendu son jugement mardi. Les propos tenus dans le train et répétés à l’audience par le prévenu constituent bien une infraction à la loi du 23 mars 1995. Le Nivellois écope dès lors de vingt jours de prison et d’une amende de 600 euros. Sans qu’un sursis lui soit octroyé, vu l’absence totale de volonté d’amendement dont il fait preuve.

Ce sale goy refuse de faire techouva : taule ferme !

Sinon, pendant ce temps-là à Molenbeek, le nid à arabes djihadistes qui a liquidé une centaine de Français à Paris est heureux de recevoir Macron.

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