Belgique : Henri Kichka, la bouche menteuse prétendant avoir survécu à l’insecticide d’Adolf Hitler, est mort du Covid88 !

Captain Harlock
Démocratie Participative
26 Avril 2020

Le nez du mensonge

Miracle de Wuhan.

Le Soir :

L’un des derniers survivants belges de la Shoah, Henri Kichka, est décédé samedi soir à l’âge de 94 ans.

« Un petit Coronavirus microscopique a réussi là où toute l’armée nazie avait échoué », a indiqué son fils, Michel Kichka, sur Facebook. « Mon père avait survécu à la Marche de la Mort, mais aujourd’hui a pris fin sa Marche de la Vie. »

Henri Kichka est né à Bruxelles en avril 1926, à Bruxelles, dans une famille juive d’origine polonaise. En 1918, son père a fui la montée de l’antisémisme en Pologne, et s’installera à Bruxelles. Sa mère, elle, est arrivée en Belgique en 1924.

Lorsqu’il a 14 ans, en mai 1940, la Belgique est envahie par les Nazis. Josek, son père, décide que la famille doit quitter la Belgique, ils prennent donc la direction du Sud de la France. Cependant, ils seront arrêtés en chemin, puis retournent à Bruxelles. En 1942, Henri et son père sont déportés. Il connaîtra notamment Sarkau, Klein-Margersdorf, Tarnowitz, Auschwitz.

En janvier 1945, face à l’avancée de l’armée rouge, lui et son père sont contraints à une marche de la mort. Sur 5.000 déportés, 750 survécurent, dont Henri et son père Josek.

De sa vie, il a fait un combat pour le devoir de mémoire, et n’a cessé de raconter son histoire et son calvaire. Entre autres à des élèves afin de les sensibiliser à cette période de l’Histoire.

Atteint par le Covid-19, il est décédé ce samedi à l’âge de 94 ans.

Si vous l’ignoriez, il n’y a jamais eu « de marche de la mort ».

C’est une mystification juive.

En réalité, les gardiens SS avaient laissé la possibilité aux juifs se sentant trop faibles de rester à Auschwitz pour y attendre l’arrivée de l’Armée Rouge. Mais la seule perspective de finir aux mains des Bolcheviques les a rapidement convaincu qu’il fallait suivre les Allemands. Visiblement, pour sauver leur peau, ces juifs étaient prêts à suivre ceux qui les « tuaient ».

C’est très logique.

La fiche officielle de Léon Cohen, un des juifs ayant suivi les SS, explique sans détour que Cohen a suivi ses gardiens en dépit de l’interdiction faite à son groupe de le faire.

Wikipédia :

Bien que les membres du Sonderkommando n’aient pas été autorisés à quitter le camp, Cohen et les autres membres du Sonderkommando se sont mêlés à la foule des prisonniers (une centaine de membres du Sonderkommando se sont ainsi échappés du camp).  Il a été envoyé au camp de concentration de Mauthausen. Il est déporté dans les camps de concentration de Melk, Linz, Gusen et Ebensee d’où il est libéré le 6 mai 1945 par la 80e division d’infanterie de l’armée américaine.

Officiellement, le Sonderkommando de Cohen était chargé d’aider à l’incinération des corps des juifs gazés. Non seulement les SS n’essayèrent pas de tuer ce « témoin » qui aurait dû, selon l’histoire officielle, être particulièrement gênant mais ce dernier s’empressa de suivre ses « bourreaux » vers d’autres camps de rétention.

Des photos existent où on peut voir ces colonnes de détenus, bien portants et portant bagages, traverser les villes allemandes dans l’espoir d’échapper aux troupes soviétiques.

C’est donc ce conte hébraïque que racontait partout le juif Henri Kichka pour alimenter la haine de la race blanche et en retirer un confortable bénéfice médiatique.

Voilà en tout cas un « survivant » qui ne survit plus.

On remerciera Henri d’avoir eu l’élégance de mourir la veille de la fête de la Déportation.

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