Belarus : découvrez la nouvelle figure négroïde du gouvernement biélorusse provisoire soutenu par l’UE

Captain Harlock
Démocratie Participative
18 août 2020

 

Tout ce qui se passe en Biélorussie est aussi prévisible qu’effrayant.

Au cas où vous n’auriez pas suivi les événements jusqu’à présent – ne serait-ce que parce que le mot « Biélorussie » ne suscite chez vous aucune espèce de curiosité – j’ai détaillé l’implication directe de Soros et du Parti Démocrate américain dans la révolution de couleur qui se déroule dans ce pays.

Vous pouvez le lire ici :

La Biélorussie passe en mode full Ukraine

Dans une vidéo publiée hier, Svetlana Tikhanovskaïa, la prof d’anglais à faciès de routier polonais établie en Lituanie, s’est déclarée chef de l’état.

En Biélorussie, elle est secondée par une gouine objective à cheveux courts qui ressemble à Clémentine Autain avec 15 kilos de plus.

Les conseillers juifs de la prof d’anglais ont commencé à nommer les ministres de son gouvernement en exil censé parachever le coup d’état et remplacer Lukashenko. Est nommée au sein du gouvernement provisoire en exil [roulements de tambour et suspens insoutenable] : ALANA GEBRAMARIAM.

Une mulâtresse turbo-markettée par les juifs.

Personne n’avait vu ça venir.

La liste de ce « Conseil de Transition » est disponible ici. Ce truc est à l’évidence rempli de progressistes homo-globalistes. Il y a par exemple Svetlana Alexievich, une « Prix Nobel de Littérarure », c’est-à-dire quelqu’un avec un vagin qui écrit des trucs sur des choses. Elle a accessoirement reçu le prix de la fondation Soros.

Je l’ai dit, je le répète, cette pseudo « révolution » n’est qu’un putsch judéo-mondialiste rendu possible par la soif de destruction de femmes blanches enragées.

La Biélorussie est donc sur le point d’échanger en quelques semaines un régime fort contrôlé par un patriarche à l’ancienne pour une « démocratie » multiraciale LGBT pro-occidentale dirigée par un carré de gouines hystériques financées par George Soros. La base de cette « révolution » étant composée de quelques dizaines de milliers d’instagrameuses exhibitionnistes en short et en legging.

Si la Biélorussie tombe aux mains de ces bobos fantoches de la juiverie occidentale, le corps social biélorusse sera immédiatement plongé dans le bain d’acide de l’individualisme matérialiste libéral sous la supervision des techniciens de l’UE, des « ONG » de l’état profond américain et des multinationales. En dix ans, l’égoïsme deviendrait le principe absolu de l’Etat, c’est-à-dire la primauté de l’intérêt individuel aux dépends du bien collectif.

Pour le juif, détruire la cohésion interne des peuples blancs est central s’il veut pouvoir se mouvoir en tant que prédateur au sein d’une nation atomisée en individus incapables de s’organiser pour se défendre. Il peut ainsi jouer à l’envi tel groupe d’intérêts contre tel autre, en fonction de la configuration du moment, et diviser pour régner. Le juif a depuis de nombreuses années identifié des auxiliaires objectifs qui se trouvent à l’état naturel en suspension dans tous les pays et qu’il peut activer, pour peu qu’on le laisse faire : les homosexuels et les femmes.

Une fois le sentiment collectif suffisamment dissous, le juif inocule son venin favori à sa victime : l’empoisonnement du sang par l’importation d’étrangers de médiocre qualité raciale. C’est là qu’il crée de nouvelles lignes de fractures anthropologiques qui sont autrement plus profondes que de simples divergences sociales ou économiques. Une fois établis dans le pays ciblé, le juif peut agiter sans difficulté la haine de ces nouveaux venus envers les autochtones grâce aux médias qu’il contrôle.

La sodomie intermasculine et le consumérisme gauchiste seraient le seul horizon de ce pays. Vous auriez bien sûr une opposition « nationaliste », aussi bruyante que marginale électoralement, comme en Ukraine. Car, voyez-vous, il ne suffit pas d’être autorisé à créer un parti pour s’arroger tout ou partie du pouvoir. Il faut que vous ayez quelque chose de tangible à offrir aux gens. Or, cette révolution de couleur a pour but de reprogrammer le Biélorusse moyen pour qu’il désire ce que le juif veut qu’il désire avant de le lui offrir effectivement. Tous ces agitateurs ne rêvent que d’une chose : des subventions occidentales et un accès illimité à la production sémitique de Netflix. Un peu comme la verroterie qu’on offrait aux rois nègres en échange d’esclaves durant le commerce triangulaire. Si le coup d’état réussissait, toute opposition au nouveau système se retrouverait en compétition avec de puissantes organisations soutenues par la finance juive internationale, les grands groupes occidentaux, l’UE, etc., qui donneraient au bétail goy ce que les (((médias))) lui auront dit de vouloir. Pour avoir ne serait-ce qu’une chance de l’emporter, il faudrait des fonds importants, des réseaux très influents, des ressources humaines.

Ce qui bien évidemment ne serait pas le cas.

Je blâme Lukashenko pour son incapacité à avoir su anticiper tout ça en dépit des innombrables signaux et informations dont il a disposé toutes ces années. Cela prouve que, pour autoritaire qu’il soit au quotidien, il est d’abord et avant tout une sorte de papa bienveillant quoique sévère qui ne recherche pas activement à supprimer la subversion. Tout comme les parents des Boomers 68ards ont toléré leur comportement antisocial en pensant que cela finirait par passer avec l’âge.

Nous pouvons mesurer où nous en sommes, 50 ans après Mai 68.

En cela, Lukashenko est usé et a perdu le flair politique élémentaire que tout leader doit avoir pour écraser les menées de la juiverie et de ses proxys. D’autant qu’il a eu à ses portes l’exemple ukrainien pour s’informer sur les méthodes utilisées par les juifs pour subvertir un état.

Lukashenko devrait désormais activement organiser sa succession. Je ne sais pas si son fils Nikolaï est au niveau, mais il a l’air d’avoir de la détermination. C’est le type de jeune leader autoritaire blanc derrière lequel je peux me tenir. Racialement, il est irréprochable.

Sa tâche consisterait à bâtir un nouvel appareil d’état avec une infrastructure médiatique moderne capable de mener une guerre contre-insurrectionnelle au niveau digital.

Un premier exercice consisterait à inonder les réseaux sociaux et les médias de vidéos sur la transexualité infantile d’état en Occident, de séquences de vie quotidienne dans une banlieue française lambda, rapporter les derniers viols collectifs de Blanches par les gangs pakistanais de Londres ou Birmingham.

Tout ça afin d’éduquer les masses biélorusses sur les vertus de la « démocratie » de type occidental.

Il y a aussi une réforme urgente pour la suite : interdire aux femmes les smartphones. Soit on les interdit totalement soit on leur limite l’accès au Nokia.

Permettre aux femmes d’avoir un miroir connecté avec le reste du monde suffit pour anéantir un état en quelques semaines. Le cas biélorusse l’a démontré.

C’est probablement la plus grande menace qui pèse actuellement sur le genre humain avec la natalité africaine.

La situation est complexe actuellement en Biélorussie mais si j’avais un contact direct avec Nikolaï, c’est exactement les pistes de réflexion stratégique que je lui soumettrais. Hélas, je n’ai pas son numéro de téléphone.

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