Bavière : une sale fiotte écolo-communiste élue au parlement décide d’assumer son statut de travelo

Leutnant
Démocratie Participative
14 janvier 2019

Oui donc, pour rappel, les Nazis étaient les gentils.

20 Minutes :

Une première dans le monde politique allemand. Markus Ganserer, réélu il y a peu député Verts du parlement régional de Bavière, en Allemagne, veut désormais assumer son mandat en tant que Tessa Ganserer, femme transgenre. La quadragénaire doit s’exprimer pour la première fois, ce lundi, sur ce changement d’identité.

Tessa Ganserer a fait son «coming-out» sur les réseaux sociaux il y a quelques semaines. C’est la première fois en effet qu’une femme transgenre siégera dans une institution politique allemande, qui plus est en ayant fait le choix de changer d’identité durant son mandat, selon les médias.

Les images sont encore le plus moyen efficace pour mesurer l’ampleur du drame.

Mon Dieu.

J’en ai des frissons dans le dos. Rien que d’imaginer cette créature dégénérée à moins de dix mètres de moi me donne envie de prendre une douche.

Chaque jour qui passe me fait mesurer à quel point les concepteurs de l’Aktion T4 étaient des saints des temps modernes.

« Je suis une femme dans toutes les fibres de mon corps et maintenant aussi Madame la députée régionale » : c’est par ce message posté sur son compte Facebook, début janvier, que Tessa Ganserer a annoncé renoncer à être Markus Ganserer. Il y a quelques semaines encore, elle affirmait que Markus et Tessa se côtoyaient dans son être mais désormais elle ne veut plus être qu’une femme politique, épouse et mère de deux enfants. Au parlement de la très conservatrice et catholique Bavière, sa décision n’est pas passée inaperçue.

Ce dégénéré affirme en public vivre à plusieurs dans sa tête mais la presse juive nous présente ça comme la chose la plus normale du moment.

En y pensant, je réalise que les juifs n’ont pas encore réussi à nous coller un de ces malades mentaux au parlement français.

Encore qu’il y a la sorcière juive Esther Benbassa au Sénat.

Mais comme elle n’a pas avoué être un travelo yid, techniquement ça reste une femme. Enfin, un truc femelle disons.

Pour en revenir à cette ignoble fiotte allemande, elle a opéré avec toute la perfidie qui caractérise ces sales pédés. Elle a attendu d’être réélu pour parader déguisée en travelo.

Sur ce, il fallait bien qu’une dinde féministe de droite surgisse pour rappeler aux hommes qu’ils ne peuvent que se taire face à la coalition des femelles infiltrées en politique et de leurs amis pédés.

Mais la présidente, Ilse Aigner, issue de l’Union chrétienne-sociale (CSU), parti allié aux démocrates-chrétiens d’Angela Merkel, lui a apporté un soutien ferme. « Madame Ganserer a pris une décision très courageuse et éminemment personnelle », a assuré Ilse Aigner dont le parti, opposé notamment au mariage homosexuel en 2017, défend pourtant des positions très conservatrices sur les questions de société. « Notre collègue devient une collègue, cela ne devrait pas constituer de problème dans cette maison et être respecté », a-t-elle insisté dans une déclaration publiée à l’issue d’un entretien avec Tessa Ganserer.

Oh mais ferme ta gueule, Aigner.

Tu peux mettre une robe bavaroise traditionnelle, tu restes une ignoble trainée au service des juifs.

J’en assez soupé de l’internationale des Pécresse.

Une bonne femme à la tête d’un parti bourgeois « chrétien » volant au secours d’un travelo sodomite contre les possibles réactions d’hostilité des hommes blancs du parlement bavarois.

Un parti qui « défend » les valeurs traditionnelles avec vigueur comme on le voit.

Il est vraiment temps de renvoyer ces femmes aux fourneaux.

Tout de suite, j’entends.

Lors de la première séance plénière de l’année, qui s’ouvre le 23 janvier, la responsable écologiste, élue pour la première fois en 2013 et réélue lors des élections régionales en octobre, sera donc enregistrée en tant que femme. Dans l’enceinte du parlement, « beaucoup devront certainement encore s’y habituer », a relevé Ilse Aigner. Un élu du Parti libéral FDP apercevant l’élue écologiste coiffée d’une perruque de longs cheveux blonds et soigneusement maquillée dans l’enceinte du parlement à Munich s’est exclamé : « Vous jouez à quoi ici ? La drag-queen ? », rapportait récemment le quotidien Süddeutsche Zeitung.

Littéralement oui, à la drag-queen.

D’ailleurs, on dirait que Paris est le phare de l’homo-sidaïsme européen.

Le rayonnement français.

Pour ses documents d’identité, Tessa Ganserer devra toutefois encore faire preuve de patience. Fin novembre, elle a décroché un certificat médical délivré par un psychiatre attestant notamment de sa transsexualité. La loi allemande stipule qu’il faut deux expertises pour pouvoir prétendre à un changement de nom à l’état civil. Ce premier sésame « a été pour moi mon véritable certificat de naissance », a-t-elle confié au Süddeutsche Zeitung.

Je crois pouvoir dire que la définition de la psychiatrie a significativement évolué en Allemagne.

Il faut maintenant la comprendre au sens propre.

Tessa Ganserer, qui s’est jusqu’ici très peu exprimée, a assuré au journal bavarois s’être « découverte » femme il y a dix ans lorsque Markus s’est regardé dans le miroir, vêtu d’une robe d’été. Durant une décennie elle a tâtonné : homme, père, mari, femme, mère. Aujourd’hui ses doutes se sont envolés au point qu’elle a annoncé à ses deux fils de 11 et 6 ans : « Maintenant je serai toujours comme ça ».

Parce qu’évidemment, en été, les hommes mettent des robes. Ce n’est qu’ensuite qu’ils se découvrent être des fiottes accomplies.

C’est logique.

« Les enfants n’ont pas de préjugés. Si on leur présente le monde de manière amicale, ils l’acceptent tel qu’il est », a assuré cette femme qui affirme également ne pas vouloir subir d’opération de changement de sexe. Dernier geste symbolique, Tessa a rempli des sacs de cravates, chemises et vestons. Et donné les vêtements de Markus à un ami.

Cette ignoble fiotte doit très probablement violer ses propres enfants.

J’en suis sûr.

Il est vraiment temps de mettre un terme à ces insanités d’inspiration hébraïque.

Vraiment, vraiment temps.