Barnabé, sodomite nègre clandestin, espère bientôt obtenir ses papiers et devenir un enfant de la république

Captain Harlock
Démocratie Participative
14 juillet 2018

En sus des tziganes, des djihadistes syriens, des scientifiques du Soudan et d’Afghanistan et, bien sûr, des maghrébins, la République Française importe désormais les sodomites d’Afrique.

Têtu :

Barnabé, jeune camerounais gay de 23 ans, est arrivé illégalement sur le territoire français en septembre 2017. A Toulouse, où il a trouvé refuge, il a été placé en rétention le lundi 9 juillet, dont il est sorti deux jours plus tard. Il attend désormais une audience du tribunal administratif qui doit statuer de son expulsion, ou non, du territoire français.

A 23 ans, Barnabé a quitté son pays d’origine, le Cameroun, pour venir vivre en France et ne plus subir l’homophobie dont il était victime. Arrivé en Italie dans un premier temps, le jeune homme a ensuite trouvé refuge à Toulouse. Sa demande d’asile n’a cependant pas pu être prise en compte, dans la mesure où l’Hexagone n’est pas le premier pays européen dans lequel il s’est rendu. Il est ainsi victime de la procédure « Dublin », qui l’oblige à retourner en Italie.

« J’ai quitté le Cameroun en mars 2017. Je suis d’abord arrivé en Italie, pendant l’été, puis je suis allé en France en septembre 2017. Je suis parti parce que c’était difficile à cause de mon orientation sexuelle : je suis homosexuel. J’étais persécuté tant par ma famille que par d’autres personnes, car l’homosexualité n’est pas reconnue dans mon pays d’origine. J’ai dû faire face à de l’homophobie, à des moqueries, à des injures… J’ai subi des attaques de ma famille, car il fallait que je sois un homme hétérosexuel, pour eux.

Je ne veux pas retourner en Italie car j’ai retrouvé là-bas, auprès des autres migrants du centre d’accueil, ce que j’avais vécu en Afrique. C’est-à-dire des mots durs, des moqueries, du rejet… J’ai également manqué de soins de santé. Je suis arrivé malade en Europe. J’avais besoin ne serait-ce que d’un soutien psychologique. Ça n’a pas été le cas. Ce qui m’a le plus choqué, c’est que j’étais dans un pays où je pensais être soutenu. Je me plaignais, j’appelais au secours. J’aurais aimé trouver des endroits LGBT où être aidé… Mais non.

Mercredi 11 juillet, je suis passé devant la juge des libertés et de la détention, après avoir été mis en rétention le 9 juillet. La justice a suspendu ma rétention et ne m’a pas assigné à résidence. Maintenant, j’attends une audience du tribunal administratif pour savoir si j’ai le droit de déposer un dossier auprès de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra).

Je me sens un peu soulagé d’être sorti du centre de rétention, mais je reste inquiet car tout n’est pas joué. On attend la décision du tribunal administratif, sinon je suis censé repartir en Italie le 23 juillet… »

Ce nègre parle un excellent français.

A moins que ce ne soit la sale fiotte blanche qui s’est faite enculée par ce nègre qui l’a écrite pour lui en remerciements.

Petit lot de consolation : les nègres sont tous sidaïques, sodomites ou non.

Chaque jour qui passe, je nourris une admiration grandissante pour le noble Ramzan Kadyrov.