Avec la dictature sanitaire, les Français n’auront plus jamais de vacances à la mer sans plages envahies de maghrébins et de noirs de banlieue

Captain Harlock
Démocratie Participative
13 août 2020

Français prenant la navette pour le Mont Djibril (ex-Saint Michel), 2043

Ces derniers mois nous avons couvert les différents aspects de la dictature sanitaire qui se met progressivement en place à l’échelle occidentale pour lutter contre la pandémie imaginaire de Covid19. En revanche, nous n’avons pas évoqué une des conséquences les plus graves à long terme en France : passer vos vacances à la mer cernés de nègres et de maghrébins hostiles pour les cinquante prochaines années.

C’est un problème que nous n’avons tout simplement jamais théorisé.

Quatre mois seulement après l’avènement de la dictature sanitaire, c’est déjà une réalité. En France, il ne sera plus jamais possible de passer la période estivale près de la mer sans devoir subir la présence des populations les plus insolites et aussi les plus férocement antisociales. Je parle là de quelques 15 millions de sujets exotiques, tout particulièrement de régiments entiers de jeunes nègres acheminés dans des centres de vacances financés par vos impôts.

Macron, négrificateur suprême de la République Française, nomme ça, « vacances apprenantes ».

Ce nouveau paradigme estival est le résultat direct de la fermeture complète des frontières de l’Union Européenne. Pour les ressortissants de ses états-membres, j’entends. En ce qui concerne les masses de migrants clandestins se ruant vers l’Europe, les frontières demeurent ouvertes.

Comme vous le savez fort bien, de nombreux Français jouent les hypocrites sur la question de l’immigration et de ses retombées pratiques. Ils subordonnent leurs votes à leurs intérêts petit-bourgeois, votant cyniquement pour La République En Marche tant qu’elle garantit rentes et profits. Cela ne veut pas dire pour autant que ces électeurs républicains exemplaires veulent passer leurs vacances d’été entourés de nègres hébétés flanqués de leur progéniture hurlante et menaçante. D’autant que le nègre aurait tôt fait de toucher le cul immaculé de la petite dernière, 11 ans.

Les vacances ressemblaient jusqu’à présent à une sorte d’armistice de deux mois durant lequel même les macronistes les plus fanatiques – Boomers en tête – s’en allaient sans faire de bruit se dorer le cul en Corse ou se rafraîchir en Bretagne, très loin des grandes villes engorgées de subsahariens allant pieds nus et d’algériens frappés de stupeur consanguine montés sur scooter. Le tout en se payant la tête des beaufs racistes blancs entre gens de bonne compagnie, le soir au restaurant.

Mais cette époque est révolue. Les maghrébins n’ont plus la possibilité de passer l’été au Maroc, en Tunisie ou en Algérie, étant cloués au sol au nom de la lutte antivirale, tout comme les nègres d’Afrique de l’Ouest et les turcs. Les crépus des Antilles et des autres reliquats d’empire sont soumis à des batteries de tests avant de pouvoir embarquer dans un avion à destination d’un de ces cailloux absurdes. Bref les conditions de l’armistice n’existent plus, la promiscuité avec les pires races de boue est désormais un passage obligé pour tout le monde.

Enfin une promesse d’égalité que la République est parvenue à tenir.

Concrètement cela signifie de recevoir sur le coin de la figure une masse inédite d’allogènes sur tous les lieux touristiques – surtout les plus prestigieux -, des grappes de moukères voilées de noir hurlant à la caisse du moindre supermarché de la dernière ville balnéaire, des nuées de nègres défilant sans fin le long des plages, scrutant la Blanche en bikini éligible au viol collectif dans la douche la plus proche.

Et puis enfin les migrants stricto sensu, emmenés en colonie de vacances sous le marrainage d’une Boomeuse bénévole rendue encore plus haineuse par la bite africaine.

Et tout ça en hyper concentré au camping, pour les catégories les plus populaires.

Je connais bien les campings et je connais bien les situations où l’on se retrouve dans un camping subitement investi d’arabes et de noirs de cité. Si j’ai toujours réussi à naviguer là dedans avec succès, ce n’est pas sans déclencher d’émeute raciale. Jusqu’à présent, c’était diffus, voire carrément marginal.

Et puis apparaissent les premiers désagréments tangibles qui vous laissent un arrière-goût de pisse de vieil algérien dans la bouche. Comme par exemple de devoir mijoter dans une piscine où flottent des nègres outrancièrement débiles. Ou de voisiner au restaurant à côté d’un crouille et de sa cagole blanche manucurée qui vous toise salement. Ou de laisser votre voiture de standing à côté d’un van fraîchement arrivé où semble bouillir une famille entière de gitans mâtinés de sang géorgien. Et si vous ajoutez à cela le bruit et l’odeur, le travailleur français devient fou.

Tout ça ruine le concept même de vacances. Le stress enduré à grand peine le reste de l’année dans le quotidien de la société multiraciale hexagonale s’insinue subitement durant la trêve estivale, partout. L’enculerie est manifeste, elle se révèle, d’un bloc.

Vous aviez il y a encore un mois des millions de gens qui croyaient fermement pouvoir gérer la crise raciale qu’on appelle la diversité en compartimentant le problème. Désormais, c’est la France qui est devenue un énorme compartiment à noirs et à maghrébins qui vous volent votre oxygène. Si l’on y ajoute la chaleur écrasante de l’été 2020, c’est un violent coup de bambou sur le crâne de tribus entière de cafres et de bicots rendus encore plus agressifs et imprévisibles qu’à l’accoutumée.

Imaginez quand les vacances d’été des bicots tomberont en plein ramadan. Des vacances au Soudan vous seraient plus agréables par comparaison.

Des tas de Français qui sous-estimaient sérieusement l’ampleur du remplacement ethnique sont occupés en ce moment même à se faire embrouiller par des bougnoules pour des places de parking, des cigarettes ou une main au cul. Au moment où vous lisez ces lignes, pensez à tous ces braves électeurs de Macron qui se font salement amocher par des bicots ultra haineux qui n’ont pas pu rentrer en Algérie et qui se sont rabattus sur la côte normande.

Et puis encore les viols et demi-viols.

Pour mystifier les derniers Blancs qui se rappelleront de l’époque où les plages françaises étaient effectivement françaises, les juifs diffuseront encore et encore les Gendarmes à Saint Tropez.

Mais ça ne marchera vraiment qu’avec les Boomers.

Nous allons voir une vague inédite de dépression cet automne. Des millions de Blancs conformistes et lâches auront perdu ce petit recoin situé dans leur tête où l’espoir se nourrissait de cette idée d’un espace de France préservée où ils pourraient toujours s’enfuir en douce. Il ne restera plus que le mur gris de la diversité, toute l’année ronde. Des bicots l’hiver, des bicots l’été, toujours des bicots, encore des bicots. Et des nègres, une avalanche grossissante de nègres, comme s’ils sortaient des fourrés et des bois, en transhumance perpétuelle.

Représentez-vous tous ces hôtels, campings, restaurants subitement bourrés de cette faune resquilleuse, agressive, violente, odorante, jouant du couteau comme on pisse et insultant dans des sabirs infernaux le pauvre Français totalement dépassé qui voulait simplement siroter du pastis après une journée à la plage. Imaginez ces scènes d’embrouilles systémiques dans un pays où le secteur de l’hôtellerie-restauration est déjà virtuellement mort.

Dites-vous enfin que tout ça n’est que le maigre acompte de ce qui vient démographiquement. Dans 20 ou 30 ans, le moindre espace estival sera un bouge digne de Châtelet.  Des mulâtres par divisions entières arborant le glorieux maillot de l’équipe de France avec son coq baroque.

Et pour couronner le tout, vous aurez Norman, 58 ans, pour se foutre de vous.

Les juifs vous ont aussi pris ça, vos vacances, les lieux de vos vacances et les souvenirs qui vont avec.

Le seul moyen d’y échapper sera de payer et de payer cher. Encore une fois, seuls les apparatchiks – comme Norman – pourront s’offrir le luxe de vacances sans bicots et sans nègres tout comme ils ont déjà le privilège d’avoir des résidences sans diversité. Pour que sa copine ne se fasse pas toucher le cul par Abdelkader et ses frères, il faudra pouvoir accéder à une plage privée qui soit réellement privée, c’est-à-dire lourdement gardée par des vigiles de type négroïde. Idem pour les restaurants, les bars, etc..

Sauf à claquer un pognon de dingue, vous n’y couperez pas.

Ceux qui vous ont mis dans cette merde n’en ont strictement rien à branler, au contraire. Ils en rigolent énormément. Eux ont leur kibboutz militarisés de Saint-Tropez pour s’éclater pendant que le prolétariat voit ses plages irrémédiablement enrichies, enfermé à vie avec la France nouvelle issue de l’immigration.

D’ailleurs, au bout d’un moment, comme en URSS, vos vacances seront rationnées et déterminées par la bureaucratie. Vous aurez deux semaines affecté sur les plages du Pas-de-Calais avec un passeport électronique à utiliser pour franchir chaque balise de l’autoroute réservée.

Tout ça, encore une fois, avec 3 ou 4 fois plus de nègres et d’arabes qu’actuellement.

Les juifs ont tué la douceur de vivre.

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