Auxerre : Les Corbeaux d’Odin tourmentent la sale arabe Souad Aoumani qui pillait les caisses de la ville

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
03 janvier 2018

Je suis tombé sur cette histoire via un obscur site socialiste intitulé « Auxerre TV ».

Une chronique du Monde en date du 23 décembre 2017 est passée inaperçue pour certains. Elle vaut son pesant car elle met en lumière la victime, une femme, issue de la différence, qui a réussi, Souad Aoumani, patronne d’Alliance Form’ qui a fermé ses portes à l’automne, à Monéteau. Une femme visée, jalousée, salie, diffamée. Une femme qui incarne la courte défaite de la droite aux municipales à Auxerre, une défaite jamais digérée. Une droite revancharde.

« Issue de la différence ».

Ha !

Parce qu’en France, « tout le monde il est pareil ». Ouai.

Quoiqu’il en soit, je n’ai pu réprimer un désir de lire ce fameux article du Monde. Je n’ai pas été déçu.

Le Monde :

Il est un animal qui hante l’imaginaire français : le corbeau. Ah, la sale bête ! Perfide, insinuante, machiavélique. Funèbre créature, issue de la nuit la plus noire de l’âme humaine. Nulle vilenie, nul outrage, nulle humiliation ne lui répugnent. Elle croasse, caquette, cancane tout à la fois, n’en déplaise aux ornithologues. Avec sa comparse la rumeur, cette bestiole propage ses ignominies avec un seul principe : salissez, salissez, il en restera toujours quelque chose. Maître corbeau, ce fin renard, sait bien que tout détracteur vit aux dépens de celui qui l’écoute. Et croit son croa. Ce benêt ou ce complotiste qui pensera forcément qu’« il n’y a pas de fumée sans feu ».

Ce fameux « imaginaire français » pour vendre de l’arabe avec ses tapis volants. Vous savez déjà qu’on va vous détrousser comme au coin d’un bois.

Le corbeau sème à tout-va ses mots cruels, acérés. Il écrit au voisin, au juge, au maire, aux médias, à la Kommandantur, peu lui importe. Plus l’époque est sombre, plus le charognard se délecte et pullule. Il sait s’adapter, le darwinien volatile, renaître tel le Phénix, pour survivre aux temps. Il a muté de l’imprimerie au numérique, de la lettre bancale découpée dans le journal au moderne clavier d’ordinateur. Il est passé sans souci de la boîte aux lettres à Facebook, de la main gantée qui met sa missive dans la fente au doigt invisible qui appuie sur la touche « Envoi ». Avec toujours le même but, la même mission sacrée : nuire, nuire à tout prix. Ah la sale bête, vraiment !

Il faut dire que les Blancs n’ont guère accès au Monde pour dénoncer leurs ennemis et les détruire. Il faut donc se contenter de feuilles A4.

Tiens, prenons un exemple parmi mille, dans une ville ordinaire, ni pire ni meilleure qu’une autre, qu’on appellera Auxerre. A Auxerre, vit Souad Aouami. Intéressante habitante, instructive citoyenne que cette femme de 36 ans. Un bel exemple d’ascension sociale qui contredit les clichés sur l’immigration et la République, qui raconte la possible concorde de ces deux univers que d’aucuns prétendent irréconciliables.

En fait, il s’agit d’ascension raciale.

Née au Maroc en 1981, orpheline de son père à 1 an, Souad Aouami arrive en 1983 dans le sud de la France, avec sa mère, qui vit de ménages. La famille s’installe à Auxerre en 1998. Nantie d’un diplôme d’éducation physique, la jeune fille devient professeure de fitness. Elle fait un beau mariage avec le fils d’une grande famille de Chablis et devient Souad Aouami-Savary. Le couple lance en 2010 sa société, ouvre une puis deux salles de sport dans la région qui font aussitôt le plein. Repérée par le maire d’Auxerre, Guy Férez, pour son travail associatif et son utile entregent dans les quartiers populaires, Souad Aouami devient conseillère municipale en 2008, puis deuxième adjointe en 2014.

En somme, la beurette pouvait faire voter les bougnoules dans le bon sens grâce à ses frères, d’où la bienveillance du maire.

La voilà notable auxerroise, la gamine du Rif, à peine entrée dans la trentaine. Belle maison, belles voitures, multiples photos tout sourire dans L’Yonne républicaine. Trop d’assurance, trop d’ambition, trop de bonne fortune étalée, au goût de certains. Cette réussite sociale, en son insolence, ne pouvait qu’agacer toutes bêtes à plumes et à fiel. Le corbeau se tait pour l’heure. Il n’aura guère à patienter. Plusieurs salles de sport éclosent dans les environs et cassent les prix. La concurrence est impitoyable. Le 21 novembre dernier, l’entreprise dépose son bilan.

Pour la vile faune, sonne enfin l’heure de la vengeance. Le 12 décembre, jour de réunion à la communauté d’agglomération de l’Auxerrois, chaque élu trouve à sa place une lettre de quatre pages. Une longue prose modestement laissée sans signature. Le pudique corbeau accuse Souad « Ouami » (sic) d’avoir profité indûment de fonds publics. Croa ! La jeune femme aurait en outre commis des malversations financières. Croa ! Le maire d’Auxerre aurait aidé son adjointe, en lui votant des subventions. Croa !

Les allégations de l’intrépide dénonciateur ont été démenties publiquement par Guy Férez et Souad Aouami. Mais, qu’importe, au fond, qu’elles comportent ou pas une part, fût-ce une once de vérité. Reste la méthode qui disqualifie toute discussion de fond. Elle a été condamnée par une partie de l’opposition municipale, notamment sur le site d’Auxerre TV.

Ha !

Quel aveu. Pour la presse de gauche, peu importe la vérité : que cette arabe ait effectivement utilisé son cul et le réseautage local pour piller les caisses du peuple n’a aucune importance. Elle a l’absolution ipso facto : c’est une arabe !

Cet amour des arabes chez les gauches devrait être le coeur d’un sujet d’études.

En tout cas, il est bien sûr évident que cette maghrébine a frauduleusement subtilisé des fonds publics en couchant avec le maire d’Auxerre afin de soutenir sa mafia familiale. Et probablement avec tous les membres influents du conseil municipal. C’est entendu. Cela ne souffre aucune espèce de débats, c’est l’évidence.

C’est la pratique standard pour une beurette.

« Auxerre TV » a même fait une vidéo là dessus.

Terroriser les terroristes

Je tiens ici à saluer l’oeuvre salutaire des Corbeaux d’Odin d’Auxerre.

Ici, il faut se défaire d’une idée qui a encore beaucoup trop de crédit chez nombre des nôtres. L’idée que nous devrions mener le combat face à la pire lie de l’humanité, la presse judéo-communiste en tête, en respectant on ne sait quelle moralité que cette dernière s’abstient rigoureusement d’observer.

C’est ce genre de sensibilité humanitaire – prêchée par les rouges qui se gardent toujours d’en témoigner à leurs ennemis – qui a coûté son trône à Louis XVI.

Ces hyènes marxistes ont mis en place des lois de censure les plus barbares qui se puissent imaginer pour faire taire leurs opposants. Ils les anéantissent socialement, les persécutent avec frénésie et une débauche de raffinement dans les méthodes. Face à eux, toute opposition relève, par définition du courage et du civisme.

Mais cette presse juive a toutes les audaces. Rien n’est plus gorgé d’insolence qu’une gueule puante de plumitif juif.

il faut en finir avec ce concept idiot selon lequel nous devrions respecter quelque règle de bonne conduite que ce soit avec l’ennemi. C’est un handicap volontaire.

Et nous ne faisons pas de la figuration : nous voulons vaincre, donc écraser l’ennemi.

Plus nos méthodes sont sournoises, mieux cela vaut. On n’écrase jamais la gauche avec des méthodes de chevalier blanc, mais en étant rompu aux tactiques les plus retorses.

L’anonymat n’est que la mesure défensive qu’adopte le patriote quand il vit sous la botte d’un état criminel et terroriste qui défend avec la dernière sauvagerie l’envahisseur.

D’ailleurs, à ce sujet, je propose une mesure citoyenne : contacter la rédaction d’Auxerre TV pour leur faire part de notre relatif mécontentement face à cette campagne de haine contre les Corbeaux d’Odin qui défendent la ville de la prédation bougnoulique.

[email protected]