Augustin veut jouer au chevalier blanc en portant secours à des poufs blédardisées embrouillées par des arabes, fini les dents pétées tandis que les traînées secourues le traitent de mytho

Captain Harlock
Démocratie Participative
25 août 2020

 

A Lyon, un certain Augustin a confondu les contes de son enfance avec la réalité et a tenté de sauver un groupe de princesses du bled/weshisées de jeunes beurs entreprenant qui leur faisaient la cour.

[Tip : Typiquement, les maghrébins font la cour aux femmes en les insultant et en les menaçant]

Mal en a pris à cet intrus qui a été mis à l’amende par les représentants de la diversité.

L’intéressé a eu la mâchoire cassée et a perdu 2 dents.

Les princesses du bled que la mère d’Augustin appelle à témoigner ont signifié leur désintérêt, expliquant n’avoir que faire du sort du chevalier estropié.

Valek nous en dit plus.

Pas de chocolats pour Augustin, wsh.

La blédarde explique de vive voix à un des collègues des maghrébins qui ont corrigé Augustin que l’intéressé a joué le chaud pour se faire mousser. En conséquence, c’est une fin de non-recevoir.

Je ne sais pas ce qui est le plus pathétique : qu’un demeuré blanc se fasse un film en mode Taken pour courtiser des traînées weshisées dans l’espoir d’avoir accès à leurs chattes ou bien la cohorte de chevaliers blancs de la sphère patri-beauf qui tente de faire de la pédagogie auprès des femmes sur le mode, « c’est pa nou lé méchan, est-ce kon voir un bout de sein ? »

Les patri-beaufs en ce moment sur Twitter

Nous avons déjà expliqué ici pourquoi vous ne devez jamais intervenir lorsqu’une femme est agressée dans la rue par des afro-maghrébins, sauf exceptions bien particulières.

Lisez ou relisez notre article : La traînée Laura Calu déclare que finalement les mecs blancs racistes sont responsables de son agression par des mâles marrons ultra-violents

Dans l’affaire détaillée ci-dessus, une certaine Laura Calu avait expliqué dans une vidéo devenue virale comment son mec du moment s’était fait lyncher par des allogènes pour la défendre. N’écoutant que son insondable stupidité, la team patri-beauf Twitter entreprit de dénoncer la cruauté immigrée contre la pauvre Laura, laquelle répondit quelques jours plus tard dans Var-Matin :

« Que les racistes se calment tous, et tout de suite! Ce que je fais, je le fais pour tout le monde! Les noirs, les blancs, les bleus ! Si on en arrive là, c’est aussi à cause des racistes ! »

Cette mise au point fit l’effet d’un bac à glace déversé dans le caldé de tous les chevaliers blancs s’étant précipités au pied de Laura pour rechercher sa validation et, symboliquement, sa chatte.

Pour la millième fois, ce n’est pas ainsi que les femmes fonctionnent.

Les femmes, en 2020, savent exactement qui gagnent et se tournent donc vers le vainqueur. Ce que fait le vainqueur, sa « moralité » ou son respect des normes sociales n’a aucune espèce d’importance. Les femmes n’accordent au mieux qu’une importance superficielle aux conventions morales. C’est d’ailleurs pour cela qu’elles se précipitent si souvent aux pieds des criminels ou des délinquants endurcis.

Ce que les femmes recherchent, c’est la force manifeste qui peut et veut les dominer. Or, féminisme et antiracisme d’état obligent, les femmes en général et les Blanches en particulier ne sont plus la propriété des hommes blancs et la loi leur interdit expressément de les dominer. Le système est explicitement bâti sur ce principe axiomatique et les femmes, que le système informe chaque jour de cette réalité de 100 façons différentes, le savent parfaitement. 95% des femmes françaises, si on les interroge, n’ont aucun problème de principe à coucher avec des métèques que le système juif importe pour elles (et pour théoriquement financer la retraite des Boomers).  Le système les a officiellement « libéré » de la propriété masculine blanche pour les offrir au marché sexuel mondial désormais installé à domicile.

Si cet Augustin a fait un seul truc lors de cet incident, c’est d’essayer de restreindre l’accès de ces pétasses aux nombreux chibres multicolores de Lyon. Pire : il a raté après une solide et humiliante correction.

La stratégie consistant à attaquer à 1 contre 5 des maghrébins pour conquérir le cœur d’un groupe de blédardes est objectivement une stratégie merdique pour un jeune Blanc qui ne peut se solder que par un régime à la purée pendant deux mois et un jeu de fausses dents. Ces traînées n’ont retenu qu’une chose de cette histoire : le visage pâle a voulu frimer et s’est fait corriger par les arabes (grâce à leur nombre et leur agressivité), confirmant par l’absurde le caractère foireux des jeunes Blancs démocratisés en 2020.

Désolé, mais il n’y a pas encore de prime chatte pour les gogols.

Sans parler du fait que, par principe, les beurettes ou les cagoles bougnoulisées voudront toujours protéger la réputation de leurs frères, surtout si ce sont d’irrécupérables cas sociaux avec 48 mentions au casier judiciaire.

Cerise sur le gâteau, les gogols patri-beaufs qui s’excitent autour de l’affaire pour essayer de prendre l’ascendant moral face aux métèques aux yeux des femmes entraîneront un contre-feu médiatique immédiat qui aboutira, de la part des protagonistes, à une « clarification » antiraciste sur le modèle de celle de Laura Calu dans Var-Matin.

Car le chevalier blanc à la gueule éclatée, si on l’interroge, ne voudra pas ajouter à ses dents manquantes la réputation d’être un sale raciste ou un chofa, condamnation sociale le privant définitivement de l’accès à la chatte dans une grande ville multiraciale comme Lyon. En plus de se faire durablement haïr des bicots, ce qui est tout aussi gênant au quotidien dans cette ville.

Moralité

Encore une fois, sortez-vous de la tête la propagande féministe 1.0 que la Réaction cherche à vous vendre comme l’apogée de la masculinité. Le féminisme 2.0 actuel n’est que la version mise-à-jour de la première qui consacrait le principe du larbinat masculin pour des femmes idéalisées par des puceaux ou des homosexuels ne connaissant pas les femmes. Ce que les couillons appellent « l’amour courtois ».

L’amour courtois, outre qu’il était un micro-phénomène de la haute société féodale plus proche du BDSM que de ce qu’en disent aujourd’hui des ignares, était une gracieuse concession de pure forme dans une société patriarcale dominée par des seigneurs de la guerre qui avaient tout pouvoir sur les femmes. A la moindre incartade sociale, une femme pouvait être impitoyablement détruite. Divaguer sur cette mode marginale, c’est ne pas comprendre qu’elle était d’abord un point de détail d’un système patriarcat intégral et violent d’un monde totalement et irrémédiablement disparu.

Bref, c’est un truc de branleur.

D’ailleurs, s’il est de plus en plus fréquent que personne ne bouge lors d’agressions de femmes dans la rue ou dans les transports, c’est justement parce que les hommes blancs ont reçu le message : en France, les femmes blanches blanches ne leur appartiennent plus. Les Françaises (de souche) hurlent leur antiracisme, c’est-à-dire leur amour des immigrés marron et leur mépris des mecs blancs, sur tous les tons, en permanence. Vouloir vivre à tout prix dans une société multiraciale, notamment islamique, est un choix qui comporte un certain nombre de contraintes pratiques comme le viol, les insultes quotidiennes et les passages à tabac. Ces grandes filles doivent donc apprendre à intégrer les nouveaux paramètres sociaux qu’elles ont contribué à instaurer.

Puisque la majorité des Blanches expriment leur choix de ce type de société, les hommes blancs, collectivement, sont libérés de toutes leurs obligations collectives vis-à-vis d’elles. Du moins, tant qu’elles ne reviendront pas à de meilleures dispositions et n’abjureront pas leur soif de bite allogène. La perte finale de la dignité des mecs blancs consisterait à assurer le SAV des putes à métèques quand leur idylle tourne au vinaigre. Ce serait une scandaleuse et inacceptable façon pour les traînées de gagner sur tous les tableaux : se faire sauter par des métèques avec la garantie que le pigeon blanc sera toujours là pour sauver pupute d’elle-même.

Une seule règle : pas de filet de sécurité pour les traînées à bicots et à nègres qui refusent de se soumettre aux hommes blancs. C’est aussi simple que ça. Un contrat suppose un accord gagnant/gagnant. Consentir à accompagner les Blanches dans leur délire antipatriarcal et xénophile revient pour un Blanc à signer un deal perdant/gagnant. Sauf à être un très mauvais négociateur, personne ne peut consentir à pareil accord.

Les hommes blancs ne doivent intervenir que s’ils ont effectivement un intérêt concret à le faire. Soit la femme agressée est de votre famille, soit il s’agit de votre femme/copine officielle. Enfin, s’il s’agit d’une femme très âgée (Boomeuse exclue). En dehors de ce périmètre-là, n’intervenez pas au risque de :

  • Finir handicapé à vie ou mort
  • Avoir la certitude que vos agresseurs écoperont de peines dérisoires (Cf l’affaire Marin)
  • Être abandonné, oublié voire dénoncé par les femmes secourues
  • Devenir un token des patri-beaufs qui achèveront de vous faire maudire socialement
  • Perdre de l’argent

[Liste non-exhaustive]

N’intervenez jamais

Bref, en un mot comme en cent : n’intervenez pas, passez votre chemin. Pour éviter qu’une de ces traînées ne vienne ensuite se venger sur vous à défaut de vouloir déranger les bougnoules, téléphonez préventivement aux flics pour leur signaler l’embrouille. Et basta, rien de plus. Jamais.

Puisque ces pétasses refusent par principe de remplir leurs obligations vis-à-vis de vous en tant qu’homme blanc, refusez par principe de remplir vos obligations vis-à-vis d’elles en tant qu’homme blanc. Le contrat est caduc, vous n’êtes plus tenu par ses clauses.

Laissez les bougnoules et les poufiasses vaquer à leurs occupations sous le regard attendri des flics républicains et épargnez-vous bien des ennuis ce faisant. Vous m’en remercierez plus tard.

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