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La rédaction
Démocratie Participative
13 octobre 2022
Quand vous agoniserez sous l’effet de la radioactivité, vous pourrez positiver en écoutant un fonctionnaire de ce qui restera de l’OTAN dire qu’en effet, une guerre nucléaire pour quelques champs de patates ukrainiens n’en valait pas peut-être pas la peine.
C’est déjà l’approche adoptée par (((Pfizer))).
🚨 Lors de l’audience COVID au Parlement européen 🇪🇺, le directeur de #Pfizer admet qu’aucun test sur l’arrêt de la transmission du #Covid n’a été réalisé sur les vaccins avant la mise sur le marché!
Le pass sanitaire a donc été imposé sans aucun fondement scientifique. pic.twitter.com/XyJsji0SwS— Tamila Tapayeva (@tamilatapayeva) October 11, 2022
« Est-ce qu’on a testé le vaccin ? Non ! Ah, ah ! Il fallait aller à la vitesse de la SCIENCE ! » est apparemment une phrase qui veut dire quelque chose, scientifiquement.
C’est la ligne de défense officielle et publique de (((Pfizer))).
Cette femme rit ouvertement au nez de tous les gens dont elle sait qu’ils vont mourir des effets de l’empoisonnement
Le vaccin officiellement prévu pour stopper la transmission n’a jamais empêché la transmission et n’a jamais été testé pour savoir s’il stoppait la transmission. C’est ce qui a été dit ici depuis des années.
Les adeptes de la SCIENCE disaient qu’il fallait être complètement complotiste pour ne pas se faire vacciner avec un truc expérimental.
Un député @lesRepublicains parlent « d’inoculation d’un #vaccin expérimental » ! Extrémisme, complotisme, irresponsabilité … les restes de la droite en pleine dérive, ils ne savent plus quoi dire pour draguer des électeurs #COVID19 #Covid #PasseVaccinal pic.twitter.com/7iUKqCG7Rs
— Nicolas Authier (@NicolasAuthier_) January 4, 2022
La garce Lacombe, décorée par Macron de la Légion d’Honneur, a passé deux ans à expliquer que la pfizérisation par la coercition était le summum de la science pour éviter la transmission.
Elle n’en avait aucune idée, puisque (((Pfizer))) n’a jamais eu l’intention de stopper la transmission, mais de la maximaliser.
C’est la vaccination qui crée la pandémie, pas l’inverse, à cause de la pression de sélection.
La vaccination de masse engendre des variants toujours plus agressifs.
Aujourd’hui, les non-vaccinés sont de facto largement immunes au Cohen19 inventé à Wuhan par l’équipe de Bill Gates. Les injectés, eux, se promènent actuellement avec un produit expérimental dans les veines dont les effets à moyen et long terme sont inconnus.
En plus d’être séropositifs au Cohen19.
📹 Audition mascarade de #Pfizer à Bruxelles : pas de réponse sur les prix, les effets secondaires, la science ou les sms.
Conférence exceptionnelle sur ma chaîne YouTube !
👉🏻 https://t.co/qrtgzaxTlU pic.twitter.com/IQTRLOIarl
— Virginie Joron (@v_joron) October 11, 2022
C’était prévu et c’est pour ça que (((Pfizer))) a négocié une clause de non-responsabilité avec tous les états.
Cette clause, souvent inopportunément désignée comme «d’irresponsabilité», existe bel et bien. Il s’agit en réalité d’une «clause d’indemnisation» ou «clause de garantie». Elle a pour effet de «transférer la charge de la réparation de la dette de responsabilité, des assureurs du laboratoire vers les Etats», résume Jérôme Peigné, professeur à l’université Paris-Descartes et membre de l’Institut droit et santé. «L’idée est de transférer la prise en charge financière du risque résultant de la mise sur le marché d’un nouveau médicament, compte tenu des circonstances particulières et de l’urgence liées au Covid-19. C’est la contrepartie d’un approvisionnement prioritaire en vaccins», détaille ce spécialiste du droit de la santé. Ce que confirme également la Commission européenne, pour laquelle cette clause ne fait que «compenser les risques potentiels pris par les fabricants en raison du délai exceptionnellement court pour la mise au point des vaccins». «Les Etats membres sont prêts à couvrir financièrement certains risques des entreprises pour garantir que les vaccins soient effectivement disponibles pour les citoyens afin de protéger la santé publique», ajoute-t-elle.
A noter que la clause d’indemnisation s’impose de fait à l’Etat français, en tant que partie prenante aux accords négociés par la Commission européenne avec les laboratoires pour l’approvisionnement en vaccins. Lorsque la France passe, en application de ces contrats d’achat anticipé, des bons de commande de vaccins auprès des sociétés pharmaceutiques, elle admet implicitement se plier à toutes les clauses contenues dans le contrat-cadre européen.
Stupides goyim !
Si comme Macron et tous les membres de l’hyperclasse vous faites partie des 13 millions de personnes qui ont résisté à la plus grande campagne d’empoisonnement juive de l’histoire humaine, bravo.
Votre instinct de survie vous a permis de résister à l’écrémage biologique.
Vous n’êtes pas forcément le plus fort, ni le plus intelligent, mais vous vous êtes adapté à un changement brutal de votre environnement.
Les pfizérisés vont avoir le plaisir de découvrir dans 5, 10 ou 15 ans les conséquences de l’empoisonnement qu’ils ont accepté pour pouvoir aller au cinéma ou manger une pizza avec une Magalie.
Vous devriez commencer à leur faire peur en leur parlant de tous les maladies atroces qui surgissent chez les golems.
Ce sera votre petite revanche personnelle sur les tourments que ces PNJ vous ont imposés.
