Asselineau s’insurge, veut couper les fonds aux Polonais pour pouvoir donner plus de pognon aux nègres du Sénégal et du Mali

Captain Harlock
Démocratie Participative
06 avril 2019

 

Il semble que le souverainisme français mène invariablement vers l’Afrique.

C’est-à-dire, concrètement, vers les tribus nègres. Des vertes et des bleues, des noires tachetées de rouge et encore des centaines d’autres dorées et marrons. Même des ocres.

Je ne vais pas faire comme si Asselineau n’était pas à 1% dans les sondages. Autrement dit, je ne vais pas faire semblant de lui accorder trop d’importance.

En revanche, ce qui est pertinent, c’est de voir comment, dialectiquement, cette grosse motte de graisse flasque ressent d’instinct le besoin de courir après ces nègres rutilants du Mali ou du Sénégal pour, s’il vous plaît, leur donner du pognon.

Pas son pognon, votre pognon.

Regardez-moi ce gros faisan tenter d’extorquer l’indignation de la ménagère devant sa télé à coup de tickets de caisse.

« Mais, Madame, c’est scandaleux, regardez nos nègres ! On les affame ! Pour des Polonais, Madame, parfaitement, nous affamons nos nègres pour des Polonais ! C’est inouï. Et si De Gaulle était encore en vie ? Vous vous figurez sa réaction ? C’est un assassinat, une liquidation. Ces Hongrois, ces Moldo-Valaques nous saignent, nous soutirent, nous délestent de notre or pour nous empêcher, oui, nous empêcher de veiller au bien de nos nègres, de nos chers nègres, de nos nègres totalement. Vous voyez quelle somme nous perdons  ? Et je ne parle là que du matériel. Le prix de la trahison. Alors que ce même argent, soigneusement placé en Cafrerie, Madame, pourrait fructifier, fructifier déjà au moral et encore plus, en postérité. Comme ces nobles Peuls nous regarderaient avec considération, fort de nos puits et encore de nos filles, missionnées avec tout cet argent, pour les sauver et les acquérir, croyez-m’en, à la France ! Mais non, tout cela est compromis, saboté, nos nègres meurent par l’avidité de Hongrois louches, pingres, indifférents à notre culture, et je ne parle pas de notre langue, se riant de nous. Au prix, disais-je, de la haute considération de nos nègres, de nos nègres déjà français pour peu, Madame, que nous sachions les attirer à nous. Un projet d’amitié, de puissance. Le Congo s’offre à nous, pour deux malheureux milliards et quelques autres encore. Mais non, nous subissons ces Slaves et encore ces Allemands. Ces Belges sont déjà louches – sauf les Congolais justement – mais les Flamands, parlez-m’en. Madame, la France s’égare. Est-elle seulement la France, sans cette solide jeunesse nègre, vigoureuse, vibrante, qui ne demande qu’à venir apprendre de la France dans nos facultés. Deux milliards ! A l’Elysée, les parachutistes, à moi, l’empire, marchons sur Varsovie, sauvons Dakar ! »

Tel quel, Asselineau.

Si vraiment c’était une histoire d’argent, nous ne serions pas en train de parler de 2 misérables milliards d’euros dépensés en Hongrie ou en Pologne. Pour la bonne et simple raison que les afro-maghrébins qui s’accumulent en France depuis près de 50 ans nous coûtent, au bas mot, 84 milliards d’euros chaque année.

Puisque nous en sommes à parler de ce chiffre de 2 milliards d’euros, c’est exactement la somme que coûte l’accueil des migrants clandestins mineurs ou présentés comme tels.

Nous avons là, en réalité, un gisement d’économies qui ne nécessite aucune crise diplomatique et qui pourrait, en quelques mois, remplir les caisses de l’Etat. Ou plus exactement, réduire l’hémorragie budgétaire qu’entraîne le pullulement de ces afro-maghrébins en France.

J’ai des idées simples mais elles fonctionneraient en quelques semaines.

Au reste, puisque nous parlons de cette grandiose « francophonie » à base de maliens, il faut tout de même savoir qu’elle implique de faire crever des Français pour les beaux yeux de ces nègres qu’il faut sauver des Touaregs.

Car oui, nous sauvons les nègres des Touarges. Vous n’en avez probablement jamais vu un, cela ne vous dispense pas de payer et de crever pour leur état factice. Et même si l’on parle de ressources, ce sont encore les juifs qui sont aux commandes.

Demandez à Bolloré le patronyme de sa grand-mère et son amour immodéré d’Hanouna, vous en apprendrez sur qui contrôle les ports d’Afrique.

La France est en train de crever d’une indigestion de cafres. Par tous les pores.

Au reste, de quelle souveraineté parlent ces gens dans un pays repeuplé de maghrébins psychotiques et de négresses en boubous avec leurs bordées de négrillons ? Les flics rasent les murs.

C’est absurde.

La souveraineté de la race blanche, c’est un projet. La souveraineté de la compagnie créole sur les ruines de la France de Philippe Le Bel, c’est une soupe au purin.

Commenter l’article sur /dempart/