Ardisson présente pour la première fois l’étendue de la barbarie répressive judéo-macroniste

Captain Harlock
Démocratie Participative
21 janvier 2019

 

Je ne suis pas un grand fan d’Ardisson mais il faut rendre à César ce qui est à César.

Ardisson fait parler, pour la première fois, un de nos Gilets Jaunes martyrisés par la police judéo-macroniste. Les images sont particulièrement cruelles.

Ces juifs sont des animaux.

La férocité sémitique de la propagande qui accompagne la répression signe le crime.

Si vous regardez bien, vous avez les juifs Goldnadel et Giesbert à côté de ce Français mutilé. Regardez leur tête.

Ardisson n’a pas agi au hasard.

C’est une façon subliminale pour Ardisson de placer le juif en position d’accusé.

Mais le fond de ce débat qui n’a de cesse d’enfler sur la répression gouvernementale, c’est la lutte pour la suprématie morale.

Et Macron a perdu cette bataille depuis des semaines déjà.

Donc tous ces juifs se regardent et ne savent plus comment perpétuer leur statut de tyrans tout en se disant victimes de persécutions imaginaires.

Ces sales youpins ont commencé à le comprendre.

Leur seule arme, comme de coutume : entraîner les goyim dans un interminable jeu de pilpoul pour le circonvenir et l’étouffer.

Mais personne n’est dupe.

L’ambiance est vraiment au durcissement général.