Après l’annonce du retour de 20% de l’Ukraine à la Russie, le leader du monde libre Vladimir Poutine avertit ZOG qu’il utilisera le feu nucléaire en cas d’agression

La rédaction
Démocratie Participative
20 septembre 2022

 

Enfin du nouveau sur le front de l’Est.

Le président Vladimir Poutine a annoncé la libération formelle des territoires russes occupés par l’empire juif global.

Il a officialisé la tenue de référendums dans les territoires russes libérés.

Vladimir Poutine a correctement souligné le fait que le but de la finance juive internationale était la conquête, puis le démantèlement de la Russie pour s’en partager les ressources immenses. Les démocraties juives, virtuellement ruinées, en ont un besoin vital.

Sur la base de ce constat, l’action préventive en Ukraine visait à entrer dans ce conflit dans la posture la plus avantageuse possible, dans un contexte d’encerclement progressif de la Russie par la machine de guerre juive.

Le format de l’opération initiale était trop grand pour les forces allouées à celle-ci, toutefois la Russie a réussi à verrouiller toute la façade maritime de l’Ukraine, ce qui est un atout majeur dans le conflit.

Pour résister victorieusement aux assauts de ZOG, Vladimir Poutine a aussi déclaré que le recours à l’arme nucléaire était une option pour la Russie.

L’appel aux réservistes n’est pas particulièrement spectaculaire en tant que tel. Il répond à la mobilisation actuelle de 800,000 goyim ukrainiens par Zelensky. Ce chiffre atteindra probablement un million de soldats mobilisés d’ici quelques mois, peut-être deux millions en 2023-2024.

Vladimir Poutine doit ajuster l’amplitude de ses forces face à une Ukraine qui n’est plus qu’une extension des forces conventionnelles de l’OTAN. L’Ukraine, comme état, a cessé d’exister en février dernier. Sur le terrain, il n’y a plus que la viande ukrainienne commandée, financée et armée par l’OTAN. Les ressources en cash et en armes de ZOG sont illimitées, mais pas ses ressources en hommes. Avec 200,000 hommes contre 800,000 golems armés par ZOG, la Russie ne peut pas stabiliser le front de manière satisfaisante. Avec 300,000 hommes supplémentaires, certainement suivis de centaines de milliers d’autres, l’Ukraine fera face à une armée russe qui la ramènera à l’équation de départ : elle ne peut pas gagner cette guerre.

Bernard-Henri Lévy appelle déjà les goyim occidentaux à ne pas se décourager et à saigner encore plus abondamment pour la cause des juifs.

La Russie procède à une transition progressive vers une état de guerre totale.

Cela demande du temps, car toute la production doit être réorganisée pour les besoins de l’effort de guerre et l’infrastructure militaire doit être reconfigurée pour mener au combat des millions d’hommes.

Emmanuel Macron a dénoncé cette mauvaise forme de démocratie qui consiste pour les Russes de voter à propos de leur avenir sans l’autorisation des juifs.

Il a notamment déclaré que ces référendums suivis d’une intégration dans la Fédération de Russie « n’auraient aucune conséquence juridique ».

L’intégration de territoires par une puissance nucléaire a certainement une conséquence juridique : l’extension du parapluie nucléaire à ces territoires désormais considérés comme une partie du territoire national de l’état en question. Quand ces mesures seront officiellement adoptées par l’État russe, celui-ci aura tous les moyens légaux pour défendre les territoires russes libérés.

En outre, le conflit est désormais largement plus économique que militaire, compte tenu de l’embargo énergétique décrété par la femme alpha à la tête de l’UE, Ursula Von der Leyen.

Cet embargo est en train de détruire l’économie européenne.

L’inflation en Allemagne devrait atteindre 50% d’ici 6 mois à un an, le temps que les producteurs réajustent leurs prix pour le consommateur. Cela devrait mettre fin aux exportations allemandes, qui elles-mêmes sont la dernière chose sur laquelle repose l’économie européenne avant le défaut de paiement généralisé.

Sans cash allemand pour garantir les dettes des états en faille français, italien, espagnol, portugais, grec, les taux d’intérêts vont exploser.

Ce qui devrait se passer théoriquement, c’est que nous récupérerions le franc et avec lui, le pouvoir d’achat du franc. C’est-à-dire la monnaie d’un état qui affiche 3,000 milliards de dettes, et en fait bien plus quand on tient compte des retraites de fonctionnaires et de militaires à payer, les retraites des boomers en général, et bien évidemment les traducteurs afghans d’Afrique noire que nous avons importés par millions.

Une fois « souverains » grâce au FREXIT, nous aurions une friche industrielle, un état en faillite, une monnaie de singe, des universités peuplées de gens marron à 75 de QI et beaucoup de musulmans très énervés à propos de la baisse drastique du montant des prestations de la CAF. Le barbecue serait interdit, car pour alors Sandrine Rousseau sera devenue ministre de l’Économie non-genrée éco-planifiée.

Mais ce n’est pas ce qui va se passer.

Ce qui va se produire, c’est l’effacement unilatéral de toutes les dettes, publiques et privées, la mise en place de l’Euro numérique et la distribution d’un revenu minimum universel aux gueux. Ce que jadis on appelait le communisme soviétique et qu’aujourd’hui nous appelons la démocratie éco-LGBT éclairée. En échange, les paysans affamés devront accepter le Great Reset, avec la fin des transports et des maisons individuels au nom de la « sobriété » décarbonée de Klaus Schwab. Vous pourrez manger de délicieux cafards grillés livrés par vos migrants Uber Eats.

J’ai hâte de voir cette RDA écolo-trotskiste avec plein de gens très foncés partout.

Si vous avez aimé les Anneaux de pouvoir d’Amazon, vous allez aimer l’Euro numérique d’Amazon.

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