Après avoir voulu créer une communauté libérée de (((Pfizer))), Alice Martin-Pascual jetée en prison sur ordre de Macron

Captain Harlock
Démocratie Participative
03 février 2022

La République tape enfin du point sur la table.

De la vraie justice et de la vraie séparation des pouvoirs comme on l’enseigne en cours d’éducation civique. Gare à tous ceux qui essaieront d’acheter une maison s’ils disent ne pas aimer (((Pfizer))).

France 3 Occitanie :

Elle avait fait parler d’elle en octobre 2021. Figure emblématique du mouvement complotiste One Nation, Alice Martin-Pascual avait porté un projet qui visait à installer une communauté à Sénaillac-Lauzès dans le Lot. Finalement, face à l’hostilité sur place, elle et son mouvement avaient décidé, dimanche 24 octobre, de jeter l’éponge.

Mais la justice a fini par rattraper Alice Martin-Pascual. Hier, mardi 1er février, elle était convoquée devant le Tribunal correctionnel de Toulouse. Alice Martin-Pascual n’était pas présente à l’audience.

Les faits qui lui sont reprochés sont liées à l’usage de son véhicule : « Circulation avec un véhicule sans assurance », « refus de se soumettre aux vérifications d’usage », « conduite sans permis », « usage d’une fausse plaque ou de fausse inscription », « utilisation d’un véhicule qui n’a pas passé son contrôle technique » et qui était censé être immobilisé.

Alice Martin-Pascual a été condamnée à 4 mois de prison avec sursis et 300 euros d’amende.

C’est la deuxième fois en 6 jours qu’elle est condamnée par la justice. Le jeudi 27 janvier 2022, Alice Martin-Pascual comparaissait devant le Tribunal correctionnel de Cahors. Là non plus, elle ne s’est pas présentée à l’audience. La figure emblématique de One Nation – qui vit dans une camionnette – devait répondre des délits suivants :

-refus de se prêter aux prises d’empreintes digitales ou de photographies lors d’une vérification d’identité
-conduite d’un véhicule malgré une suspension du permis de conduire
-port d’un costume ressemblant à un uniforme de police
-usage d’une fausse plaque d’immatriculation ou d’une fausse inscription
-circulation avec un véhicule sans assurance
-refus de se soumettre aux vérifications relatives à son véhicule
-refus de se soumettre aux analyses liées à l’usage des stupéfiants ou d’alcoolémie

Alice Martin-Pascual a été déclarée coupable des faits reprochés et condamnée à une peine de 6 mois d’emprisonnement et la révocation de deux précédents sursis (6 mois et 3 mois). Autre condamnation, la confiscation de son véhicule.

Les punks à chiens sont vraiment mal barrés.

Les algériens qui font des rodéos aussi.

C’est sûr, ils seront en prison avant la fin du mois. Tout comme les islamistes qui contrôlent des quartiers entiers. Ou des villes entières.

Hors de question de laisser un seul mètre carré de champ dans le Larzac à un seul Blanc qui refuse de se faire injecter par Albert Bourla.

Une peine lourde pour cette femme, une condamnation relayée par le site internet « Debunkers des rumeurs/hoax d’extrême droite » qui s’intéresse notamment au mouvement One Nation.

Ca débunke à fond, et toujours du haut vers le bas.

Pendant ce temps-là, Rokhaya Diallo résiste à l’oppression suprémaciste dans Vogue.

De la vraie résistance woke au système.

Mais Alice Martin-Pascual n’en n’a pas fini avec la justice. Absente aux deux audiences, le jugement contradictoire rendu à Cahors et la décision rendue ce 1er février 2022 à Toulouse, doivent désormais lui être signifiés. Elle aura alors 10 jours pour faire appel.

Je n’ai pas entendu l’extrême-gauche libertaire dire quoi que ce soit.

C’est peut-être parce qu’elle est l’aile émeutière de (((Pfizer))) et que les antifas sont devenus les puants de la neuvième catégorie, littérateurs insolents adeptes du fact-checking à la botte de l’établissement.

Mais attention, de gauche.

J’ai des envies de maoïsme dur.

Il faut renvoyer les intellectuels urbains aux champs.

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