Après avoir langoureusement sucé le pénis d’Emmanuel Macron, de Villiers obtient le privilège d’accueillir 12,000 clients dans son parc du Puy du Fou

Captain Harlock
Démocratie Participation
26 Juillet 2020

Ce n’est pas parce que la plèbe doit porter des masques que le pouvoir entend s’imposer des restrictions pour autant.

Reconverti professionnellement dans la saltimbanquerie après avoir longuement servi la République en qualité de ministre, le Vicomte Philippe Marie Jean Joseph Le Jolis de Villiers de Saintignon (dit « Philippe de Villiers » pour les roturiers) a pu étaler ses rentrées d’argent sous les caméras des médias nationaux.

De l’avis général, la cour qu’il fait à Macron a tout particulièrement payé au moment où même la Ligue 1 de football est toujours cantonnée à 5,000 spectateurs en raison de la pandémie imaginaire de Covid19.

Judas Iscariote de Villiers ne recule devant rien pour la cause historique de son business familial. Et sûrement pas devant une révérence adressée au fondé de pouvoir de la finance juive internationale qu’est Macron.

Le Graal de Villiers : transmettre à son fils, violeur incestueux notoire, les clefs du Royaume des Cieux. Plus prosaïquement, une propriété terrienne à forte valeur ajoutée.

Quand son fils, violé par son frère, a demandé de l’aide à son père, voilà ce que cette ordure a répondu :

 « Cette histoire ne me regarde pas. C’est votre problème. »

Ce type est une merde humaine, aussi vaniteux que lâche et menteur.

Pour les nostalgiques de l’Ancien Régime, sachez que ce système était la règle pendant des siècles et que des millions de gueux devaient consentir à voir les plus hautes responsabilités être transmises à des ratés, des malades mentaux ou des dégénérés du seul fait de leur naissance. Si je n’ai pas une seule goutte de sang démocratique, je n’ai pas davantage la fibre népotiste.

Avant de continuer à propos de ce commerce sinistre avec le Diable auquel se livre l’Avare de Vendée, je vous invite à lire l’ouvrage Le Puy du Fou, la grande trahison. Dans ce livre, on découvre comment Villiers a mis la main sur le Puy du Fou pour le compte de sa dynastie grâce au travail désintéressé d’innombrables bénévoles et passionnés.

Quel faisan.

Mais ce faisan parvient, à force de reptations, à se ménager une bulle de privilèges dans cet enfer juif. Et plus il brode sur la négritude de Jeanne d’Arc, plus il fait d’intenses fellations à Macron.

Villiers n’a aucun propos antisémite à se reprocher. Probablement parce qu’en 2007, à la tête de son MPF, lorsqu’il faisait semblant de se présenter à l’élection présidentielle pour jouer le rabatteur du quart de youtre Sarkozy, il organisait des apéros dinatoires avec tout ce que comptait Paris d’activistes israéliens.

A présent, il subordonne une éventuelle candidature aux besoins de Macron. C’est la contrepartie du deal. Si Macron est bas dans les sondages et que la mère Le Pen, pour nulle qu’elle soit, est en mesure d’arriver en tête au premier tour, il faudrait baisser la barre de qualification. Ce qui suppose une candidature factice de nature à capter 5% de l’électorat.

Et puis il y a toto. Le frangin qui se sucre auprès de la juiverie américaine qui prétend jouer le grand frère de banlieue.

La droite judéo-chrétienne a décidément le don de me donner des remontées gastriques.

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