Après avoir fait fortune en chantant la négrification heureuse de la France, le vieillard mourant Pierre Perret déprime, abandonné par ses enfants juifs

Captain Harlock
Démocratie Participative
31 mars 2019

Pierre Perret est amer.

Le goût de la mort est sur sa langue et le constat est sans appel : comme un vieux chien malade, il est abandonné.

Gala.fr :

Dernièrement, Pierre Perret apparaissait dans un épisode de Capitaine Marleau, aux côtés de Corinne Masiero. Aujourd’hui, il sort, via son propre label Editions Adèle, l’album Humour liberté. Deux mots qui lui vont bien, qui résument parfaitement son parcours. Eternel gamin, en dépit de ses 84 ans, Pierre part souvent se réfugier en Irlande. Au cours d’un entretien avec Gala, celui qui fait si souvent le clown a révélé une autre face, plus sombre, plus mélancolique.

Après avoir chanté la magie du cloaque racial français, j’aurais juré que Pierre partait se réfugier dans les quartiers nord de Marseille pour se ressourcer.

Mais ce poète multi-millionnaire préfère la campagne de la Verte Eirin.

Très loin du miracle français.

Surprenant.

Alors qu’on lui demande s’il utilise les réseaux sociaux, Pierre Perret répond : « Oui. Depuis longtemps. Il y a presque quatre ans, après les attentats de Charlie, j’ai écrit un texte sur ce qu’était ma France –c’est de là qu’est née la chanson de l’album-, il a fait plus de 10 millions de vues. »

On cherche à savoir si ses petits-enfants sont une autre fenêtre sur la jeunesse. Le chanteur lâche : « Ils ne sont plus très jeunes, ils ont déjà la trentaine, mais non, parce qu’ils sont disséminés dans la nature, à l’autre bout du monde, je ne les vois pas. Ils ne donnent pas de nouvellesJe ne sais même pas si j’ai des arrière-petits-enfants. Ca ne vient pas de moi. Mais vous ne pouvez pas les forcer. » Après un silence, il concède : « Ce n’est pas réjouissant. »

Pierre Perret qui est chanté dans toutes les écoles, qui restera pour toujours cet homme qui a osé un jour « ouvrir la cage aux oiseaux », n’a donc plus de relation avec ses plus proches, le sang de son sang.

Alors qu’il forme avec sa femme Rebecca un couple fusionnel depuis près de soixante ans, le chanteur assure avoir été un père aussi présent que possible pour ses jumeaux Anne et Alain. « Pendant des décennies entières, j’ai fait 150 à 200 concerts par an, mais je m’organisais pour être disponible pendant les vacances scolaires. Je bloquais tout pour eux, jure-t-il.On leur a fait faire le tour du monde. Je voulais les ouvrir à d’autres cultures. » Hélas, Anne et Alain ont pris d’autres chemins que ceux que Pierre Perret imaginait pour eux…

Pierre a donc été abandonné par ses enfants et petits-enfants juifs, ceux qu’il a eu avec Rebecca Mazaltarim.

En même temps, est-ce si important ? Les liens du sang sont consubstantiellement fascisants.

Sa descendance a découvert grâce à Pierre l’importance du cosmopolitisme, de la préférence étrangère et, par disposition génétique, le nomadisme.

C’est finalement dans l’ordre des choses.

S’établir à Los Angeles, Tel Aviv ou New York et laisser un vieux goy usé et triste mourir dans son coin tout en récupérant sa fortune : la réalisation de ce qu’a chanté Pierre durant toute sa vie.

Derrière le « fendard », y a-t-il un homme désespéré? Il répond, sincère : « J’ai passé ma vie à lutter contre le désespoir. En gros, c’est ça. Le mien et celui des autres. Etre lucide, c’est approcher au plus près la vérité et on sait qu’il n’y a rien de plus meurtrier que la vérité. La lucidité est une saloperie.« 

Pierre est lucide. Il voit la tombe se rapprocher et sait que seulement quelques personnes se rappelleront de sa chanson sur une bite. La moyenne de ceux-ci étant d’environ 50 ans.

La France, entretemps, est devenue un enfer multiethnique où les Blancs sont égorgés au nom d’allah.

Tout est en ordre.

Promis, Pierre, la pissotière publique de Chambly où se défonceront les nègres au crack portera ton nom. Tu peux sauter à pieds joints dans ton caveau.

Sois rassuré : tes petits-enfants craqueront ton fric en ignorant même à quoi tu ressemblais.

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