Après avoir été brutalement disciplinée par des mâles de la diversité à cause de sa jupe, Elisabeth jure de continuer à s’habiller en pétasse libérée pour les exciter davantage

Captain Harlock
Démocratie Participative
22 septembre 2020

 

Dans la ville turque de Strasbourg arrachée aux Boches de haute lutte après trois guerres, une nana émancipée a été disciplinée par la police des mœurs islamique.

C’est assez sommaire comme méthodologie.

France Bleu :

Elisabeth rentrait chez elle à pied le vendredi 18 septembre, quand elle a croisé trois hommes d’une vingtaine d’années, près de la médiathèque Malraux à Strasbourg. « Un des trois hommes me dit ‘regardez cette pute en jupe’ « témoigne l’étudiante en LEA de 22 ans. « Je me permets de répondre ‘pardon’. Là, ils me répondent ‘tu te tais salope et tu baisses les yeux’. Deux m’attrapent chacun par un bras et le troisième me donne un coup de poing au visage. Et après, les trois s’enfuient ».

Avant que la France ne passe à l’avant-garde du progrès en Mai 68, les hommes ne battaient pas collectivement une femme interpellée au hasard dans la rue en raison de sa tenue vestimentaire.

Ceci dit, les mini jupes étaient tenues pour des tenues de prostituées.

Il a fallu le double phénomène du féminisme et de la diversité pour parvenir à ce saut qualitatif strasbourgeois.

Une quinzaine de témoins environ assistent à la scène, mais personne ne réagit ni pendant l’agression, ni après. Personne ne lui demande de nouvelles ou n’appelle les secours. « C’est ce qui me révolte le plus dans l’histoire », assène Elisabeth, qui s’en sort avec un œil au beurre noir, mais pas de fracture.

Peut-être, mais Marlène Schiappa est ministre déléguée auprès du ministre de l’Intérieur en charge de la Citoyenneté.

Donc, tout ne va pas si mal.

Quoi qu’il en soit, je me félicite que la philosophie développée par Democratie Participative rencontre un écho grandissant au sein de la population française. Toujours dans un esprit pionnier, nous sommes les premiers à avoir appeler les gens à ne jamais s’interposer entre une femme blanche et des mâles allogènes violents. Sauf s’il s’agit pour un homme, comme déjà énoncé dans nos colonnes, de sa fille, de sa femme ou du cercle très proche.

Par la force de la loi et en accord avec l’immense majorité des femmes françaises libérées, les hommes blancs ne sont plus les propriétaires des femmes blanches. Ces femmes blanches, ouvertes virtuellement à tous les mâles de la terre qui se donnent la peine de venir en France les sauter, le clament haut et fort.

Le message est globalement admis dans la France de 2020.

Pas plus que si une voiture volée atterrit dans une rivière à 200 mètres de chez eux, les hommes blancs ne sont concernés par le fait qu’une Blanche inconnue se fasse tabasser en pleine rue par des mâles nord-africains ou noirs qui en sont les propriétaires légitimes, d’après les principales intéressées, les médias, les autorités morales constituées et le gouvernement.

Après tout, si le propriétaire d’une voiture veut la défoncer à la masse pour une raison quelconque, il est dans son bon droit.

Evidemment, tout serait différent si les femmes blanches étaient à nouveau placées sous la tutelle des hommes blancs – l’institution du Kyrios dont je parlais hier – mais puisque ce n’est pas le cas présentement, les Blancs présents ont agi rationnellement en n’intervenant pas, préservant du même coup leur intégrité physique.

Combative, l’étudiante refuse d’être intimidée : « Je relativise énormément, ça aurait être bien pire. La vie est tellement courte, il y a tellement de belles choses qui arrivent. Il ne faut pas se laisser abattre et avoir maintenant peur de sortir, avoir peur de mettre une jupe« . Elisabeth l’assure, elle continuera à porter des jupes.

Elle a grandi à Strasbourg et n’a jamais ressenti un climat aussi malsain pour les jeunes femmes. Le harcèlement de rue est devenu une plaie quasi quotidienne. « C’est vraiment violent, sale, pervers, dénonce cette passionnée de patinage artistique. C’est toujours des remarques dans le dos. Il va lancer ‘t’es bonne’ et va partir tout de suite. C’est toujours très lâche en fait. C’est ce que j’ai remarqué cet été, c’est l’été des lâches ».

Elisabeth a porté plainte à la police. La municipalité de Strasbourg estime que moins de 10% des femmes victimes de harcèlement de rue et d’agressions sexistes osent le faire.

Elisabeth n’est pas parvenue à la conclusion que j’ai évoquée plus haut, à savoir la recherche d’un tuteur blanc capable de la protéger auquel elle se soumettrait sagement. A la place, elle a décidé de porter plus souvent une jupe et de continuer à évoluer au milieu des mâles originaires de Turquie, d’Algérie, d’Afghanistan et d’ailleurs dont elle admet qu’ils sont de plus en plus agressifs sexuellement.

Si Elisabeth avait été mordue par un pitbull, elle aurait agi différemment. Elle aurait évité tous les lieux où elle aurait pu rencontrer des gens avec des pitbulls. Mais pas là. Elisabeth tient à se mettre en danger. Elisabeth veut sûrement se faire violer collectivement en pleine rue. C’est la seule conclusion rationnelle qu’on peut en retirer.

Je parle d’immigration et du public islamique de la ville de Strasbourg mais vous aurez remarqué que l’article de France Bleu n’évoque jamais ces termes ni le profil racial des protagonistes. D’ailleurs, Elisabeth non plus ne parle pas du profil ethnique des protagonistes. On doit se contenter d’une très lapidaire description (« trois hommes »).

L’article de France Bleu enchaîne sur le thème du « sexisme », ce qui nous ramène mécaniquement aux fameux harceleurs de rue blancs.

Donc, ouais.

Cette gonzesse sait apparemment ce qu’elle veut et les mâles marron ont l’air disposé à lui apporter ce qu’elle veut.

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