Appel aux citoyens participatifs : que faut-il lire pour être un bon raciste ?

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
26 janvier 2018

 

Il est nécessaire de clarifier quelques points, étant donné que certaines critiques peuvent être portées contre Démocratie Participative par des « intellectuels ».

Ces gens ne comprennent probablement pas la fonction de DP ni même ses buts et encore moins sa stratégie. Il ne s’agit pas ici d’adopter une position « anti-intellectualiste », mais de tirer le bilan des nombreuses expériences passées à la faveur desquelles on assurait volontiers que le raffinement, la sophistication et les subtilités garantiraient le succès.

DP est un organe de propagande et de combat dont le fonctionnement est strictement millimétré pour atteindre un objectif bien précis. Pontifier sur des abstractions harmonieuses n’est pas notre rôle. Notre rôle, c’est de toucher le plus de Blancs possibles et surtout, de jeunes Blancs.

L’état criminel qui gouverne la France et le système global auquel il est intégré se fichent absolument des raisonnements complexes d’intellectuels réactionnaires, aussi sophistiqués soient-ils. Ils ne s’intéressent qu’à ce qui pénètre le coeur des masses et donc, menace leur hégémonie.

L’intellectualisme professoral exprime toujours son aversion instinctive pour les masses, qu’il l’avoue ou pas.

Ajoutons à cela qu’un ouvrier raciste et activiste sera toujours mille fois plus utile qu’un demi-intellectuel reclus dans sa cave.

Chacun aura compris qu’ici, nous voulons rallier les masses au racisme, seule et unique planche de salut pour notre peuple et de l’Europe. On aura également compris que notre approche politique et idéologique est un tout cohérent qui propose d’en finir avec la démocratie, le faux-nez de la juiverie et de ses complices que sont les partis, églises, tribus diverses, syndicats, groupes d’intérêts, petits ou grands.

Nous ne sommes pas un parti, mais un mouvement d’idées, simples et générales, qui doit être planté dans la tête du dernier petit Blanc de France, de Belgique, de Suisse voire, même, du Québec.

Propagande populaire

Ceux qui se reconnaissent dans ce but doivent également avoir à l’esprit que nous agissons, de fait, dans une certaine clandestinité. Notre révolution ne repose pas sur des idées tolérées ou admises : elles sont toutes strictement interdites par l’état et les juifs. De quoi découle une méthodologie qui ne peut être celle des partis bourgeois et de leurs frères siamois que sont les groupuscules marxistes.

Nombreux sont ceux qui se demandent quoi faire, surtout au vu de l’état de démoralisation ambiant, état recherché et entretenu par l’énorme machinerie médiatique et pseudo « éducative » en place.

Un partisan raciste doit, en premier lieu, se livrer à un travail d’information incessant autour de lui, dans son milieu. Il ne s’agit pas de se comporter comme une espèce d’évangéliste illuminé, obsédé et obsédant : cette approche ne marche jamais. La meilleure manière de s’y prendre consiste à amener autrui à tirer ses propres conclusions sur la base de faits objectifs, au fil de discussions très pratiques.

Les faits, la réalité, doivent toujours être la base de ce que nous disons et faisons.

En règle générale, créer une contradiction logique entre deux propositions communément admises est un procédé très efficace. Comme par exemple de mettre en contradiction la position dogmatique en faveur de l’immigration musulmane et celle du droit des pédés à se livrer à leurs turpitudes. Pareillement pour les « droits » des femmes, etc. Bref, le caractère absurde et impraticable de la société multiraciale et multiculturelle.

Notre propagande, contrairement à celle de l’ennemi, repose toujours sur des faits, jamais sur des mensonges. Mais pour être réellement efficace, vous devez amener une personne à faire un pas vers vous. C’est-à-dire en l’amenant à tirer une conclusion par elle-même.

Que lire ?

Venons-en maintenant au projet qui répond aux diverses critiques qui peuvent surgir.

Si DP n’est pas un site où l’on pontifie dans le vide sur des propositions savantes, il ne récuse pas, bien sûr, la formation intellectuelle. Ce n’est simplement pas son travail.

Pour autant, il y aura toujours un besoin évident de ressources fondamentales pour la formation d’un esprit raciste et pratique qui veut pouvoir articuler sa pensée et son ressenti d’une façon plus nette et plus complète.

C’est pourquoi nous demandons à nos sympathisants de nous aider à proposer une liste de 20 livres incontournables pour toute personne soucieuse de former une pensée raciste et militante.

Cela devrait dans l’idéal, encore que ce ne soit pas exhaustif, traiter :

  • Du communisme, de la guerre révolutionnaire, des origines du marxisme
  • De la question juive et de ses implications
  • Des réalités raciales
  • De la Seconde Guerre Mondiale et de ses causes
  • De l’histoire de France dans une version démarxisée
  • Maçonnerie
  • D’une synthèse de géopolitique
  • De l’islam et des rapports entre lui et l’Europe
  • Psychologie des masses et marketting
  • Guide basique de garde-à-vue

Il paraît souhaitable de découper cela en quelques grandes catégories comme « histoire », « sciences », « politique ».

Par exemple, au plan historique, on peut imaginer un livre qui pulvérise les vieux poncifs gauchistes au sujet de ce que nous devrions aux « Arabes » en termes philosophiques ou scientifiques. Mais aussi sur la réalité du catholicisme, largement sali par les communistes et les juifs. Cela vaudrait aussi pour la colonisation, le Troisième Reich, etc.

Parmi les intellectuels majeures qui peuvent figurer, on pourrait citer Alexis Carrel et son ouvrage majeur, « L’homme, cet inconnu » ou encore Gustave Le Bon et sa « Psychologie des foules ».

On devrait, à n’en pas douter, proposer le meilleur pamphlet de Céline. Ou encore le livre de Soljenitsyne, « Deux siècles ensemble » sur les juifs et le communisme.

Mais aussi, « Les espérances planétariennes » de Hervé Ryssen.

Le livre « La Gerbe des forces » du Prix Nobel de littérature Alphonse de Chateaubriant sur le fondement spirituel du national-socialisme – salué personnellement par Hitler – pénètre l’idée nationale-socialiste plus profondément que Mein Kampf lui-même.

En termes de combat pur, « Combat pour Berlin » de Josef Goebbels peut être une suggestion, ainsi que Mein Kampf. Ce n’est pas exclusif, un livre d’un agitateur communiste peut être parfaitement recommandable, comme « Rules for radicals » du juif marxiste Saul Alinsky voire d’un ouvrage sur Mao ou Bonaparte.

La question islamique étant absolument majeure à notre époque en tant que nouveau bolchevisme, en comprendre les ressorts et les causes est crucial. On peut passer par les penseurs du djihadisme contemporains.

Un solide ouvrage de raciologie s’impose.

20 ouvrages cardinaux

Tout cela est ouvert à discussion, l’idée étant de parvenir à une liste de 20 ouvrages cardinaux qui, une fois lu par celui qui veut les lire, puisse parfaire la conscience historique et politique du combattant raciste. Non pas pour son divertissement mais pour agir plus efficacement en tant que propagandiste dans son milieu.

Nous pouvons imaginer, en complément – mais en simple complément – 10 ouvrages supplémentaires pour parfaire la connaissance des sujets abordés par les 20 premiers.

Idéalement, ces ouvrages sont disponibles en PDFs. Sinon, qu’ils soient disponibles sur Amazon ou équivalent et nous donnerons les liens.

Nous allons lire les commentaires mais nous prenons aussi les suggestions ici : [email protected].

N’oubliez pas : il ne s’agit pas d’aborder un sujet dans toute sa complexité mais de fournir une très bonne vulgarisation ou un ouvrage qui fasse autorité dans son domaine.