Angoissée à l’idée de devoir remigrer, la beurette anti-Islam « Lydia Guirous » assure que les Français ne croient pas au Grand Remplacement mais au « remplacement culturel »

Captain Harlock
Démocratie Participative
23 octobre 2021

 

La droite judéo-féministe avec ses algériennes de plateaux TV est passablement mal à l’aise suite au sondage choc qui indique que les deux tiers des Français adhèrent à la réalité du Grand Remplacement, c’est-à-dire à la mise en minorité de la race blanche en France sous l’effet de l’immigration du tiers-monde.

Soudain, tous ces parasites « assimilés » semblent échaudés et trouvent que finalement ce concept a tendance à les sortir de l’équation.

La beurette dégueulasse à pseudo français « Lydia Guirous » était en mode damage control sur CNews.

Ha !

Un « remplacement culturel ».

Ce n’est pas la « culture » qui a affligé cette traînée d’un tel tarin.

La culture n’est que le produit de la race, ce n’est pas une abstraction qui surgit inexplicablement quelque part sur la mappemonde.

Sinon, Versailles se trouverait au Congo.

Quand on parle de biologie, de démographie et de race, tous les métèques à papiers français qui squattent la niche anti-Islam pour justifier leur propre parasitisme chez nous ont l’impression de prendre un bain hivernal en Antarctique. Tout d’un coup, il n’est plus question d’écouter les autochtones mais de les tenir en laisse en faisant diversion.

Les Gaulois sentent que quelque chose cloche.

Ces beurettes surmédiatisées par les juifs ne représentent pas les maghrébines en France et c’est justement pour ça qu’elles sont surexposées : pour mystifier l’autochtone comme les arabes en faisant croire aux uns et aux autres que la société cosmopolite juive est l’unique horizon possible.

Le but des juifs depuis toujours est une société multiraciale d’où les hommes sont écartés au profit de femmes malléables et idiotes. A plus forte raison lorsque ce sont des blédardes qui passent de leur trou à rats d’Algérie aux plateaux télés parisiens.

C’est toute l’histoire d’une Najat Belkacem.

Ca débarque de son Maroc natal et en quelques années, ça parle au Gaulois comme au dernier de ses domestiques. En revanche, ça rampe aux pieds des juifs avec une déférence jamais démentie.

Ces histoires de « religion » sont autant d’écrans de fumée déployés par ces sémites pour empêcher l’homme blanc d’appréhender le problème de l’invasion non-blanche en termes simples.

Nous ne sommes pas envahis par des « abstractions » culturelles mais par de la vermine bien réelle.

Le régime républicain avec son idéologie passe-partout des droits de l’homme est le véhicule idéal pour tous les métèques souhaitant venir exploiter la population gauloise depuis deux siècles.

Arméniens, tziganes, youpins, ritals et espagnols rouges, ils sont depuis cent ans le ciment de cette république de métèques qui n’a fait que prolonger le processus en repeuplant le pays de bicots et de nègres.

L’artifice religieux est le subterfuge privilégié de ces intrus pour semer la confusion dans l’esprit des Aryens de bonne race en déplaçant le débat démographique et territorial sur le terrain de l’église, de la yeshiva ou de la madrassa.

Nous avons pas à nous perdre en conjectures avec ces histoires de cultes étrangers.

Le fatras oriental de l’abrahamisme doit être extirpé des cervelles blanches pour être remplacé par une seule idée fixe : l’appartenance raciale. C’est la grande angoisse de tous ces squatteurs : on peut changer de secte religieuse, pas de race. Grâce à cette  boussole, tout devient limpide, les points cardinaux sont à nouveau visibles et l’ennemi ne peut plus se dissimuler. Les solutions d’évidence suivent.

J’ajoute que les premiers à devoir être déportés dans leur pays d’origine sont précisément les éléments de la cinquième colonne allogène ayant appris à maîtriser le mimétisme culturel afin d’infiltrer la société. Ce sont eux, et pas les autres, qui poignarderont le plus efficacement dans le dos l’Aryen à l’heure fatidique.

L’Europe, c’est bien mieux qu’une nation, c’est une race.

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