Allemagne : Une soupe populaire s’insurge contre la tyrannie juive qui fait passer les rats musulmans avant le peuple allemand

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
01 mars 2018

La tyrannie judéo-antiraciste se fissure de partout.

Le Monde :

La polémique s’amplifie en Allemagne après la décision d’une soupe populaire d’Essen (Rhénanie-du-Nord-Westphalie), dans le bassin industriel de la Ruhr, de refuser de servir des étrangers. Pour justifier cette décision, révélée jeudi 22 février mais en vigueur depuis début janvier, les responsables de cette soupe populaire ont expliqué que l’arrivée des réfugiés, ces dernières années, avait « fait monter à 75 % la part des étrangers dans [sa] clientèle », ce qui désavantageait selon eux les pauvres de nationalité allemande.

Condamnée par la Fédération allemande des soupes populaires, la décision a suscité une avalanche de réactions. « On ne devrait pas opérer de telles catégorisations, ce n’est pas bien », a estimé la chancelière Angela Merkel, lundi 26 février, ajoutant néanmoins que cette décision était révélatrice de « la pression que subit » ce genre d’associations.

« C’est pas bien ».

Cette grosse verrue, enfermée dans sa chancellerie, n’a cure des malheurs qu’elle a fait tomber sur l’Allemagne.

De son côté, le parti d’extrême droite Alternative pour l’Allemagne (AfD) a salué une mesure qui, selon lui, valide son propre discours. « Dans toute l’Allemagne, des bénévoles paient les pots cassés de votre politique d’ouverture des frontières. Votre formule creuse “Wir schaffen das” [nous y arriverons] est devenue synonyme, pour ceux qui s’engagent pour notre société, de “Wir können nicht mehr” [nous n’en pouvons plus] », a déclaré Alice Weidel, coprésidente du groupe AfD au Bundestag, mardi, dans un post Facebook adressé à Mme Merkel.

L’extrême droite n’est pas la seule à réagir ainsi. De l’autre côté du spectre politique, Sahra Wagenknecht, coprésidente du groupe Die Linke (gauche radicale) au Bundestag, a estimé qu’« il n’est pas possible que ce soit les plus pauvres qui continuent de subir le fardeau de l’immigration ». L’affaire, enfin, divise la droite conservatrice elle-même. Alexander Dobrindt, qui représente la CSU bavaroise au Bundestag, a téléphoné au responsable de la soupe populaire d’Essen pour le soutenir. Mardi, le quotidien conservateur Frankfurter Allgemeine Zeitung s’est, quant à lui, dit consterné par la réaction de la chancelière : « “Ce n’est pas bien”, dit-elle, mais elle n’avance pas la moindre idée pour que les choses aillent mieux. »

J’ai une conviction qui étonnera nombre d’entre vous : l’Allemagne se réveillera avant nous.

Et ce réveil sera d’autant plus admirable qu’il se réalisera dans des conditions autrement plus difficiles politiquement et culturellement. Parce que l’Allemagne est toujours sous la botte judéo-alliée avec le matraquage et la culpabilisation à outrance que l’on sait.

Le caractère allemand reste fondamentalement pratique, il se tient d’un bloc, plus naïf et plus entier.

La gauche radicale allemande, aussi vérolée soit-elle et infectée de venin juif, ne perd pas contact avec la réalité du prolétariat au point d’aller jusqu’au suicide politique en soutenant aveuglément la vermine immigrée. On doit cela au vieux socialisme prussien d’Allemagne de l’Est où recrute beaucoup Die Linke, lequel perd des électeurs au profit de l’AfD dont le foyer est en Saxe.

Cela nous rappelle aussi que racial et social sont intimement liés : le bien commun suppose une communauté unie sur une base tangible, la filiation raciale commune. Le socialisme cosmopolite, internationaliste est une escroquerie juive pour exciter les masses populaires à leur profit tout en évitant que le sursaut du peuple ne prenne un caractère nationaliste, l’antidote au poison juif que ce dernier cherche à mettre hors de portée des mains non-juives.

La gauche en France n’est française que de nom : c’est un ramassis de juifs et d’éléments asociaux et petits-bourgeois fondamentalement hostile au prolétariat blanc.

Celui sur lequel elle crache et qu’elle qualifie de « beauf ».

Par socialisme – et je mets en garde contre l’utilisation de ce mot voué à la disparition du fait même de son enjuivement – il faut surtout comprendre, entre des mains aryennes conscientes, le bien commun tel que défendu jadis par le christianisme traditionnel. Le sacrifice pour les siens, tant à l’usine ou sur le chantier qu’au front ou sur la scène politique.