Allemagne : pour faire baisser la température, la banque juive exige de taxer la viande

Captain Harlock
Démocratie Participative
14 août 2019

 

Il est grand temps de serrer la ceinture du prolétariat européen.

Ces goinfres de smicards ont beaucoup trop tiré sur la corde.

CNews :

La viande sera-t-elle bientôt davantage taxée en Allemagne ? La proposition, émanant d’une association de protection des animaux, fait son chemin dans la classe politique.

Actuellement, la viande fait l’objet d’un taux de TVA réduit, s’élevant à 7%. L’idée serait donc d’appliquer une TVA standard de 19% aux produits carnés. Les bénéfices réalisés par cette augmentation de taxe seraient ensuite affectés aux questions du bien-être animal. Autre avantage : cette mesure pourrait contribuer à réduire les émissions de CO2.

Friedrich Ostendorf, porte-parole des Verts sur les questions agricoles, cité par le site TheLocal, s’est déclaré favorable à cette proposition, soulignant qu’il n’y avait «pas de raison que la viande bénéficie d’une TVA réduite alors que des produits tels que le lait d’avoine sont taxés à 19%».

Albert Stegemann, porte-parole du CDU, le parti d’Angela Merkel, s’est également montré ouvert à la proposition, évoquant un «premier pas constructif». Il a toutefois estimé que le revenu supplémentaire généré devrait être impérativement reversé aux éleveurs. Il a évoqué une «prime au bien-être animal» destinée aux agriculteurs en restructuration.

Si cette démarche n’est pas, pour l’heure, à l’ordre du jour du gouvernement allemand, il n’en reste pas moins que la production de viande constitue un enjeu crucial de la lutte contre le réchauffement climatique. Celle-ci est en effet considérée, selon de nombreuses études, comme l’une des principales causes des changements climatiques.

En outre, en Allemagne, comme en France, les questions de bien-être des animaux, notamment des méthodes d’abattage font débat.

Les goyim n’ont pas vraiment besoin de viande.

Ni d’avions.

Ni même de voiture au diesel ou à l’essence.

Le bus et le vélo suffisent.

A la limite, le bateau. S’ils ont quelques dizaines de millions d’euros par tête à consacrer à un budget plaisance.

On peut désormais priver le prolétariat d’à peu près n’importe quoi en le terrorisant médiatiquement au sujet de l’apocalypse climatique.

Pour y arriver, quelques contacts seront utiles avec la famille princière de Monaco, ce hub du développement durable qui a abandonné la blanchiment d’argent international pour le maraîchage bio.

Valeurs Actuelles :

Le bateau est surtout barré par son coéquipier et fondateur de la Team Malizia, Pierre Casiraghi, vice-président du Yacht Club de Monaco et membre de la famille princière. Fils de la princesse Caroline de Monaco et de l’homme d’affaires italien Stefano Casiraghi, le navigateur a notamment terminé 3e de la Rolex Fastnet, en 2017. Quant au très select Yacht Club de Monaco, il se vante de regrouper « les plus prestigieux yachts au monde sous son guidon, dont un quart répertorié dans la liste des 100 plus grands bateaux privés » et d’occuper « une place unique dans le monde de la grande plaisance internationale », peuplé de richissimes hommes d’affaires. Il compte des « partenaires » comme Rolex, Crédit Suisse, Hermès et Moët Hennessy, etc.

Le navigateur est aussi lié à la marque BMW, réputée pour ses voitures haut de gamme et pas vraiment écologiques. La firme allemande soutiendra notamment la Team Malizia dans le cadre du Vendée Globe 2020, où concourra son voilier, un des monocoques de course les plus rapides au monde. En mai, Pierre Casiraghi participait même à la présentation dans l’enceinte du Yacht Club de Monaco du premier Safety-car cabriolet de l’histoire des sports mécaniques, la BMW i8 Roadster (son modèle commercial se vend au prix astronomique de 150 000 euros !).

Curieusement, alors que tout est bon pour faire passer la saignée fiscale en contrebande avec cette offensive globale au nom de la météo, un nombre toujours plus énorme de migrants déferlent en Europe où ils ont table ouverte.

Le programme austéritaire de la finance juive est à peu près clair : taxation déflationniste pour la plèbe blanche au nom du socialisme vert et importation massive de larbins du tiers-monde servant accessoirement d’auxiliaires électoraux aux caciques du système globaliste.

Pendant ce temps, le turbo-capitalisme financier de New York et ses associés oligarques continuent de rançonner les états surendettés, c’est-à-dire les contribuables blancs.

D’ailleurs, les milliardaires français sont ceux qui accumulent le plus rapidement de capital dans le monde.

L’escroquerie du réchauffement climatique est probablement la plus grande opération de pillage juive de toute l’histoire du sémitisme.

Ces vampires attaquent désormais l’os. Si la juiverie parvient à ses fins avec l’aide des démocraties, le PIB médian de l’Europe de l’Ouest sera inférieur de 50% voire de 75% à ce qu’il est aujourd’hui.

Plus ou moins le niveau de vie de la RDA.

Les Allemands n’ont pas 36 options. Ni aucun peuple d’Europe d’ailleurs.

Il faut traiter le problème à la racine.

Le problème de la finance juive internationale.