Allemagne : ouverture du procès d’une sténographe pour avoir tué 6 millions de juifs à coups de machine à écrire

Captain Harlock
Démocratie Participative
06 Février 2021

Connaissiez-vous le génocide par machine à écrire ?

Ouest-France :

« L’acte d’accusation incrimine celle qui était adolescente à l’époque de complicité de meurtres dans plus de 10 000 cas. Dans d’autres cas, elle est poursuivie pour complicité dans des tentatives de meurtres », écrit le parquet d’Itzehoe (nord-ouest de l’Allemagne) dans un communiqué.

Il s’agirait de la première femme jugée dans une procédure judiciaire concernant les atrocités nazies, alors que plusieurs hommes ont été poursuivis ces dernières années par la justice allemande.

Le ministère public lui reproche d’avoir entre juin 1943 et avril 1945 « apporté son aide aux responsables du massacre systématique de prisonniers juifs, de partisans polonais et de prisonniers de guerre soviétiques russes dans sa fonction de sténographe et de secrétaire du commandant de l’ancien camp de concentration Stutthof », situé à 40 km de la ville de Gdansk, aujourd’hui en Pologne.

Dans la mesure où « certains prisonniers ont survécu à leur séjour dans le camp malgré les conditions hostiles, certains des actes doivent être évalués judiciairement comme une tentative » de meurtre, précise le parquet.

Celui-ci n’a pas précisé ni le nom, ni l’âge de l’accusée qui devrait cependant avoir plus de 90 ans. Adolescente entre 1943 et 1945, elle sera éventuellement jugée devant une cour spéciale pour mineurs.

La tenue d’un procès n’est toutefois pas encore assurée : la justice doit d’abord décider si, en raison de son grand âge, elle est apte à être renvoyée éventuellement devant un tribunal.

C’est une étape importante pour la civilisation.

Les machines à écrire ne doivent pas échapper aux conséquences de leurs actes au milieu du siècle dernier.

Mais comme des millions de juifs, je reste tout de même inquiet de savoir que celui qui allumait la lumière n’a pas été puni pour son crime.

Et qu’en est-il de celui qui avait le trousseau de clefs ? Personne ne parle jamais des crimes commis par le type qui avait le trousseau de clefs du bureau de la secrétaire.

Et je ne parle pas du peintre génocidaire qui a refait les fenêtres à l’été 1944.

L’humanité, par la voix du Grand Rabbinat d’Israël, attend dans l’angoisse des réponses fortes face à cette insupportable impunité.

Que la sale goya Merkel s’exécute et vite.

*Merci à Mécréant Goy

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