Allemagne : les habitants d’un village se révoltent contre un projet d’installation de 400 déchets biologiques du tiers-monde dans leur village

La rédaction
Démocratie Participative
02 février 2023

 

À Upahl, une commune de 1,600 habitants dans le Mecklembourg, le gouvernement d’occupation prévoit d’installer au moins 400 migrants dans des conteneurs aménagés en habitations.

Les Germains sont assez peu enthousiastes à l’idée de voir le tiers-monde être installé de force dans leur village.

Es protestieren immer mehr Bürger in Deutschland gegen Flüchtlings-Unterkünfte. Bestimmt alles Rechtsextreme und Reichsbürger.

Was die Bürger von #Grevesmuehlen wollen juckt den Kreistag herzlich wenig. pic.twitter.com/UftGfoIyfL

— Eddie Graf (@Eddie_1412) January 27, 2023

Grevesmühlen

Upahl pic.twitter.com/DCecI6BzqJ

— Isolated Incidents (@diversity999x) January 30, 2023

Les citoyens de la petite localité d’Upahl dans le nord-ouest du Mecklembourg s’opposent au projet de construction d’un centre pour migrants dans la zone industrielle à partir de mars. Ils dénoncent le manque d’infrastructures dans leur village de 1600 habitants, où 400 réfugiés devraient vivre à l’avenir.

Bürger des kleinen Ortes #Upahl in Nordwestmecklenburg wehren sich gegen ein geplantes #fluechtlingsheim das ab März im Gewerbegebiet gebaut werden soll. Sie bemängeln die fehlende Infrastruktur in ihrem 1600-Seelenort, wo künftig 400 Geflüchtete leben sollen. pic.twitter.com/5ne5cEg2la

— ZDF Landesstudio Mecklenburg-Vorpommern (@ZDFschwerin) January 27, 2023

Ces Nazis refusent l’enrichissement culturel extraordinaire que représente l’immigration du monde musulman.

C’est le même scénario partout : une bande d’élus locaux stipendiés par des gros bonnets du gouvernement imposent à la population une nuée de créatures infâmes venues de tous les coins pourris d’Afrique et d’Orient. Quand la population réagit, les bandits de politiciens et les médias du système hurlent à la démocratie en péril.

Ce petit jeu ne cessera pas tant qu’une véritable révolution n’aura pas remis les comptes à zéro.

Si les politiciens peuvent s’en tirer à chaque fois, ils continueront.

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