Allemagne : la Stasi néo-communiste veut déclarer haram l’AfD

Captain Harlock
Démocratie Participative
17 janvier 2019

Dans un pays musulman, il est logique que les infidèles soient placés sous la surveillance de la police politique.

LCI :

Les services de renseignement allemands soupçonnent des membres de l’AfD d’entretenir des liens avec l’extrême droite radicale et les milieux néonazis. Ils menacent de placer le parti europhobe et islamophobe sous surveillance.

Si vous l’ignoriez, l’ancien directeur de la Stasi, Maassen, a été limogé en novembre par Merkel en raison de sa volonté d’éviter une escalade politique avec l’AfD. Non pas par bienveillance à l’égard du mouvement patriotique mais pour éviter qu’il ne déclenche une véritable rupture avec le gouvernement d’occupation.

Il a été remplacé par un bureaucrate néo-communiste chargé de traquer prioritairement les Allemands nourrissant des doutes sur les bienfaits des viols islamiques.

Et plus globalement contre ceux qui demeurent rétifs face au projet des juifs pour l’Allemagne.

Cela fait suite aux manifestations de masse de Chemnitz et la multiplication des signes préfigurant l’implosion de l’Allemagne multiraciale pensée et voulue par les juifs après 1945.

Après plusieurs mois d’enquêtes portant sur les discours et les publications du parti de l’Alternative pour l’Allemagne (AfD), les services de renseignement allemands envisagent de mettre le parti d’extrême droite « sous surveillance ».

Une menace que l’office fédéral pour la protection de la Constitution pourrait bien mettre en œuvre, si l’enquête pour tenter d’établir les liens éventuels de membres de l’AfD avec l’extrême-droite radicale et les milieux néonazis aboutit. Pour l’instant, la formation politique qui siège au Bundestag depuis 2017 fait l’objet d’un « cas test ».

Ce type de langage est de facture typiquement bolchevique. C’est une menace en bonne et due forme contre un parti disposant d’un bloc de 92 députés au Bundestag et de représentants dans tous les parlements régionaux du pays.

Beaucoup de gens ne réalisent pas qu’il y a à peine moins de 30 ans, l’est du pays était un état marxiste radical.

Jamais ses cadres n’ont été jugés.

Ils sont toujours libres et nombre d’entre eux ont été recyclés par la démocratie juive d’Allemagne de l’Ouest moyennant quelques petits aménagements formels.

A commencer par la truie des juifs Merkel, d’ascendance polonaise.

Il n’y a jamais eu de décommunisation. A la place, il y a eu la judéo-marxisation à marche forcée de l’Allemagne de l’Ouest depuis 1945.

Si le dirigeant des services de renseignement allemand, Thomas Haldewang, affirme ce mardi que « de premières indications concrètes d’une politique de l’AfD contre les fondements démocratiques » ont été décelés, ces éléments sont encore insuffisants pour déclencher le processus de surveillance.

Une « politique contre les fondements démocratiques » désigne tout ce qui diverge des plans décidés par les juifs.

C’est de la phraséologie judéo-bolchevique.

Et comme de juste, l’aile droite du gouvernement juif a été la première à soutenir ces menaces à caractère terroriste contre le mouvement.

Le ministre de l’Intérieur, Horst Seehofer (CSU, droite bavaroise), a affirmé soutenir cette décision, « importante politiquement », tout en assurant qu’elle avait été prise par les seuls services de renseignement, indépendamment du gouvernement.

La fameuse indépendance du gouvernement vis-à-vis de la police politique chargée de le maintenir en place.

Cette manoeuvre est probablement liée aux élections européennes. L’AfD devrait rafler un nombre important de voix au parti de Merkel.

Les sondages leur en donnent 15 contre 24 pour le parti de Merkel. L’AfD pourrait même arriver devant les sociaux-démocrates.