Allemagne : explosion du nombre de gens qui doutent de la mort des 6 trilliards de juifs lors des visites de camps de concentration

Captain Harlock
Démocratie Participative
15 Avril 2020

Tout le monde devrait avoir le droit d’essayer un four à juif construit après la guerre

Triste nouvelle : les jeunes croient de moins en moins à l’Hologramme et aux 60 milliards de juifs transformés en abats-jours par Adolf Hitler sur son temps libre.

The Times of Israël :

Croix gammées taguées, selfies avec saluts hitlériens ou inscriptions négationnistes dans des livres d’or : les responsables des lieux de mémoire sur les sites des anciens camps nazis en Allemagne s’alarment de provocations révisionnistes croissantes.

« Les incidents sur les lieux de mémoire ont toujours existé mais on remarque une augmentation due à une libération de la parole d’extrême droite », reconnaît Volkhard Knigge, directeur du Mémorial du camp de concentration de Buchenwald.

Depuis 2015, ils ont doublé dans ce camp situé à quelques kilomètres de Weimar en Thuringe, où périrent quelque 56 000 personnes entre sa création en 1937 et sa libération en avril 1945.

« Les messages glorifiant le nazisme ou demandant la réouverture des camps pour les étrangers sont plus fréquents », déplore l’historien auprès de l’AFP.

Bien que je n’ai jamais considéré cette option, je reconnais qu’elle mérite réflexion. La détention de tous les migrants dans ces glorieux sites pénitentiaire de l’ordre national-socialiste aurait des effets pédagogiques quasiment miraculeux. D’autant plus que nous avons la chance de disposer d’une unité de ce type en Alsace : le centre de rétention pour migrants clandestins du Struthof.

Sans compter les mises en scène de visiteurs se photographiant tout sourire devant les fours crématoires ou encore les autocollants à la gloire de figures révisionnistes.

Je ne vois pas bien pourquoi Auschwitz devrait échapper à la dystopie juive contemporaine.

Après, il faut avouer qu’Auschwitz est certainement un des endroits les plus funs du monde. En tout cas, c’est aussi fun que Disneyland.

Phénomène plus récent : un nombre croissant de visites guidées sont perturbées par des militants adeptes de théories révisionnistes.

Un constat que partage son homologue berlinois Uwe Neumärker, directeur du Mémorial aux Juifs assassinés d’Europe : « Les visiteurs nous posent des questions sur la véracité du génocide. Ce sont des choses auxquelles nous n’étions pas confrontés il y a encore quelques années ».

Il y a encore quelques années, les Boomers représentaient l’essentiel des visiteurs de ces animations touristiques où ils pouvaient assouvir leur égotrip sectaire sur fond de haine de soi. Et il est notoire que les Boomers croient dur comme fer à l’existence des saucisses de juifs d’Auschwitz.

De nos jours, grâce à internet, les jeunes s’intéressent davantage aux origines de ce concept étrange d’holocauste. Un certain nombre d’entre eux doutent des saucisses de juifs d’Auschwitz. D’après les juifs, les goyim ne devraient pas douter des saucisses de juifs d’Auschwitz mais pourtant de plus en plus de jeunes doutent de l’existence des saucisses de juifs d’Auschwitz.

Le mieux est de laisser les jeunes douter de l’existence des saucisses de juifs d’Auschwitz.

Cette année marque le 75e anniversaire de la libération de la plupart des camps de la mort érigés par les nazis en Europe, où quelque 6 millions de Juifs ont été assassinés.

Or, cette tendance s’inscrit dans un contexte où les générations d’Allemands ayant vécu la période de la Seconde Guerre mondiale disparaissent peu à peu et où le sentiment de culpabilité national à l’égard des crimes du IIIème Reich tend à s’atténuer.

L’un des dirigeants de l’AfD, Björn Höcke, a appelé de ses voeux un « virage à 180° » de la culture mémorielle allemande. Il a également qualifié de « monument de la honte » le Mémorial aux Juifs assassinés d’Europe.

Je l’aurais qualifié de skate park, pour ma part.

C’est sûrement aussi un skate park.

Un autre dirigeant, Alexander Gauland, a appelé ses concitoyens à être fiers des soldats de l’armée allemande ayant combattu durant la guerre.

« C’est une stratégie assumée de l’extrême droite et de l’AfD : toujours vouloir dépasser les limites afin de normaliser leur pensée », abonde Bianca Klose, représentante de l’association berlinoise Conseil ambulant contre l’extrême droite (MBR).

« A côté des éclats sporadiques, il y a cette pression permanente », explique-t-elle.

Je ressens bien une pression permanente sur le thème de l’Hologramme mais ce n’est pas vraiment celle des révisionnistes.

Je ressens plutôt celle du pouvoir juif international.

Depuis leur élection dans quasiment tous les parlements régionaux, plusieurs députés AfD tentent d’influencer la programmation historico-culturelle des lieux de mémoire.

« Ils questionnent les choix pédagogiques et cherchent à gommer certains aspects historiques. Pire encore, ils intimident les collaborateurs en exigeant de connaître leur vie privée et orientation politique », poursuit-elle.

Parce que bien sûr ces bolcheviques, eux, ne cherchent jamais à connaître l’orientation politique des uns et des autres pour persécuter les non-conformistes.

En Allemagne, 15 anciens camps de concentration sont utilisés comme sites commémoratifs. En 2018, les plus connus – Dachau, Neuengamme, Sachsenhausen, Bergen-Belsen, Flossenbürg, Ravensbrück et Buchenwald – ont accueilli plus de 2,8 millions de visiteurs.

Pour faire face au raidissement constaté, les mémoriaux ont dû s’adapter.

A Berlin, M. Neumärker laisse désormais le libre-choix à ses guides d’encadrer ou non des groupes AfD. Ils ont d’ailleurs suivi une formation spéciale pour savoir comment faire face à des provocations délibérées.

Il a également, à l’instar de son collègue de Buchenwald, interdit l’accès à certains membres AfD.

6,000,000

Il ne faut pas poser de questions et faire confiance au rabbin.

Au camp de Neuengamme, les guides sont d’office doublés quand des délégations AfD viennent visiter le mémorial. A Buchenwald, seulement quand des « provocateurs » sont identifiés parmi les groupes.

Certains mémoriaux ont introduit une clause, interdisant l’accès à des personnes dont les vêtements font référence au IIIe Reich.

Financer des caméras de vidéosurveillance ou des agents de sécurité absorbe des fonds conséquents « qui seraient plus utiles dans la pédagogie », notamment « en direction des plus jeunes », soupire M. Knigge.

Il regrette, que les heures de cours consacrées au nazisme aient « fondu » ces dernières années, comme le soulignait un rapport parlementaire en 2018. « Or, les mémoriaux ne peuvent pas compenser ce que les écoles ne font plus ».

Je comprends que cette serpillère à juifs communiste se sente impuissante et de plus en plus inutile.

Mais que peut-on faire ?

Les mensonges des juifs sont trop grotesques pour tenir sans répression policière.

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