Allemagne : excités par la presse juive, les égorgeurs marxistes tentent d’assassiner un député patriote

Captain Harlock
Démocratie Participative
08 janvier 2019

Les terroristes rouges, excités par la presse juive, ont ignoblement attaqué un député nationaliste à Brême, en Allemagne occupée.

Libération :

L’homme est allongé sur un lit d’hôpital taché de sang. Ses yeux sont clos, une profonde plaie ouverte rougit son front. Postée sur Twitter par l’AfD, le parti d’extrême droite allemand, la photo traduit la violence de la scène survenue hier après-midi à Brème. Frank Magnitz, l’un des députés du principal mouvement d’opposition à la chambre, a été passé à tabac par trois individus encapuchonnés.

L’AfD a choisi des termes forts pour qualifier cette attaque. Il s’agirait d’une «tentative d’assassinat», œuvre de «terroristes d’extrême gauche», à en croire le parti. «[Les auteurs de l’agression] lui ont asséné des coups de barre de bois jusqu’à l’inconscience et l’ont ensuite frappé à terre à coups de pied.» Après l’agression, les assaillants se seraient enfuis, laissant Frank Magnitz au sol. Au vu du statut d’élu de la victime, la police y voit «un acte politiquement motivé». Actuellement en soins, le député de 66 ans ne quittera pas son lit d’hôpital avant la fin de la semaine.

Le récit de l’agression subie par Frank Magnitz a traversé les frontières allemandes. Ce sont principalement les mouvements d’extrême droite européens qui s’en sont emparés. En France, plusieurs membres du Rassemblement national (RN, ex-FN) ont fait part de leur indignation sur les réseaux sociaux. A commencer par Nicolas Bay. L’eurodéputé s’est empressé d’incriminer ceux qu’il présente comme des «miliciens d’extrême gauche qui, comme en France, jouissent d’une impunité totale». Le populiste Matteo Salvini, ministre de l’Intérieur italien, a quant à lui pointé du doigt «une violence infâme et terrible».

Depuis la mi-décembre, la police a recensé au moins huit attaques contre les locaux de l’AfD. La plus récente est survenue jeudi dernier en Saxe, où l’un des bastions du parti a été endommagé par la détonation d’un explosif caché dans une poubelle. Là encore, les enquêteurs soupçonnent un attentat à motivation politique.

Cette vague terroriste bolchevique est bien évidemment le résultat de la campagne de haine sémitique qui se déverse sur la nation allemande martyrisée.

L’impunité des rouges, organisée par le gouvernement juif d’occupation est totale.