Algérie française à l’Assemblée : Sandrine Rousseau apporte son soutien au peuple algérien dans sa lutte pour la conquête de la France

La rédaction
Démocratie Participative
29 juin 2022

 

Il n’a pas fallu longtemps pour que les choses se tendent à l’Assemblée.

Un député RN, Français d’origine ibérique qui a quitté l’Algérie après le nettoyage ethnique de 1962, a pris la parole en tant que doyen.

En 2022, dire à l’Assemblée que l’armée française n’a pas agi comme organisation criminelle en Algérie est « polémique » d’après BFM Drahi.

Le fait qu’il refuse de ramper comme d’ordinaire c’est le cas a encore fait davantage saliver la presse juive.

Le bloc islamo-remplaciste dirigé par Sandrine Rousseau a immédiatement riposté au propos de José Gonzalez.

Elle a apporté son « soutien » au « peuple algérien » qui colonise la France (7 millions de colons, en augmentation constante).

Si Sandrine – et la NUPES – apporte son soutien au « peuple algérien » face aux Français nettoyés ethniquement par les moudjahidines en 1962, c’est qu’elle ne soutient pas les Français victimes de cette guerre.

En bon français, on appelle cela trahir.

Comme nous vivons la suite de la Guerre d’Algérie sous l’effet du repeuplement de la France par les masses afro-musulmanes, nous pouvons en déduire que Sandrine et son groupe ont déjà choisi leur camp : celui des mâles musulmans.

C’est bon à savoir, le moment venu.

Pour Macron, les choses vont devenir beaucoup plus difficiles à gérer. Faire de la démagogie à la petite semaine finit par avoir des conséquences, quand on doit faire face à une invasion en règle.

Si la colonisation est un crime contre l’humanité, la Cinquième République, née de la Guerre d’Algérie suite au putsch de De Gaulle en 1958, est un régime criminel.

J’imagine que si des maghrébins aidés de gauchistes blancs se décident à traquer des lampistes de l’armée française qu’ils accusent de crimes en Algérie, Macron se fera un devoir de donner suite.

D’autant que les « crimes contre l’humanité » sont imprescriptibles.

Il reste encore une bonne vingtaine années pour poursuivre des soldats français centenaires sur le modèle de ce qui se passe en Allemagne.

Je m’étonne d’ailleurs que ce ne soit pas encore le cas.

Pourquoi Edwy Plenel n’est pas encore à pied d’oeuvre ?

J’en profite pour rappeler que l’état-major français, conformément à sa traditionnelle profondeur de vue, a repeupler ses régiments de racailles musulmanes qui n’attendent qu’un ordre de leur imam pour égorger du Croisé galonné.

Aux premiers problèmes vraiment sérieux, tous les régiments vont voir les bicots entraîner les noirs dans des mutineries.

Mediapart attend cette heure avec impatience, tout comme la NUPES.

La guerre raciale est déjà là.

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