Alex Jones définitivement purgé de Twitter

Le Libre Panzer
Démocratie Participative
07 septembre 2018

Les juifs engagent toutes leurs forces dans la destruction de Trump d’ici aux élections législatives de novembre. Ce qui passe par l’anéantissement de ses soutiens sur les réseaux sociaux dont l’un des plus connus d’entre eux : Alex Jones.

France 24 :

Alex Jones n’est plus le bienvenu sur Twitter. Ce complotiste américain d’extrême droite a vu ses comptes sur le réseau social suspendus définitivement jeudi 6 septembre. « Aujourd’hui (jeudi), nous avons suspendu définitivement @realalexjones et @infowars de Twitter et Periscope », une application de vidéo détenue par le groupe, a indiqué le réseau social. « Nous avons pris cette décision sur la base de nouvelles informations sur des tweets et des vidéos postés hier (mercredi) qui violent notre politique de comportement abusif, après des violations passées de ces comptes », a-t-il ajouté.

A ce stade, tout ce que les juifs veulent détruire est qualifié d’extrémiste de droite, peu importe le positionnement réel de la cible.

Jones est un libertarien qui a par le passé tenté de discréditer des antisémites comme David Duke.

Jones n’est pas davantage raciste, même de loin.

Mais les juifs n’en ont que faire : Alex Jones promeut l’agenda protectionniste et isolationniste de Trump, ce qui heurte par définition les projets de la juiverie globaliste qui contrôle la politique étrangère des USA, ses finances ainsi que son appareil politico-militaire.

Jones a fait un bon travail sur la Syrie, ce qui est particulièrement difficile compte-tenu de l’indifférence générale du public américain pour toutes les guerres juives que mènent secrètement l’Amérique.

Fondateur d’InfoWars, un site internet dont le compte Twitter est également clôturé, Alex Jones est une personnalité médiatique devenue une célébrité à la faveur de ses propos et théories du complot, sur une tuerie dans une école primaire en 2012 ou le 11-Septembre.

La décision de Twitter ne devrait pas manquer de susciter la colère du président républicain Donald Trump, qui a déjà affiché sa sympathie pour Alex Jones et a récemment dénoncé une « censure » des idées conservatrices sur les réseaux sociaux. Elle intervient au lendemain de l’annonce par l’administration américaine qu’elle allait se pencher sur une éventuelle violation de la liberté d’expression par les grands réseaux sociaux, accusés de museler les voix conservatrices au profit des opinions progressistes.

Exactement : c’est une attaque frontale contre Trump.

Plus exactement, c’est une provocation pensée pour signifier à Trump et à ses électeurs que les entreprises juives de la Silicon Valley agiront comme elles l’entendent, peu importe ses menaces de représailles.

Cela intervient alors qu’un inconnu, se revendiquant du gouvernement, a déclaré dans le journal juif The New York Times que lui, et d’autres responsables anonymes, sabotaient activement les décisions de Trump.

Cela s’appelle, en langage constitutionnel, de la haute trahison.

Or, ce qui est nouveau, c’est que les juifs revendiquent désormais ouvertement cette haute trahison et ne le font que parce qu’ils sont certains de ne rien risquer car ils contrôlent tout l’appareil d’état.

L’Etat Profond et la Gauche, et leur véhicule, les Médias Fake News, deviennent fous – & ils ne savent pas quoi faire. L’économie est florissante comme jamais auparavant, l’emploi atteint des niveaux historiques, bientôt DEUX juges à la Cour Suprême & peut-être une déclassification pour trouver de la corruption supplémentaire. Wow !

Trump annonce déjà que deux juges de la Cour Suprême – nommés à vie – vont crever.

Dont l’horrible sorcière judéo-communiste Ruth Ginsburg.

Vu son état aux funérailles de McCain, elle n’en a plus pour très longtemps.

Ce que Trump proclame désormais partout : « Elle va crever bientôt et je vais coller un de mes gars à la place ! ».

Nous en sommes à ce point inédit où un président US dénonce publiquement, devant la planète entière, l’état profond qui contrôle secrètement les États-Unis : CIA, FBI, multinationales, marxistes, presse.

Le point commun entre la gauche, la presse et la CIA est qu’ils sont contrôlés par les juifs et leurs alliés marxistes.

John Brennan, l’ancien patron de la CIA sous Obama, votait communiste en 1976 avant d’entrer à la CIA en 1980. Comment appelle-t-on quelqu’un qui entre, en pleine Guerre Froide, dans l’organisation censée lutter contre l’URSS et le communisme ?

Ce Brennan passe désormais son temps à appeler publiquement au renversement de Trump.

Il promeut une confrontation avec la Russie, dénonçant comme une trahison toute politique d’apaisement de Trump vis-à-vis de Poutine.

En parallèle, il soutient la négraille financée par les multinationales qui refuse de chanter l’hymne américain.

Bref, nous voyons là à quel point les juifs ont pénétré les sphères les plus hautes du gouvernement américain avec l’aide des communistes. Ils sont désormais déterminés à lancer la bolchevisation du pays en décapitant les derniers opposants à leur projet.

Et le principal d’entre eux s’appelle Donald Trump.

Trump n’a pas besoin d’être antisémite pour faire une politique antisémite : rétablir la souveraineté des USA en rompant avec le globalisme économique et lutter contre l’immigration fait de lui un antisémite par défaut aux yeux de la finance juive comme des communistes.

Soutenir la police fait de lui l’ennemi naturel des nègres comme des gangs de chicanos.

Les juifs entendent bien l’empêcher à tout prix de gagner en 2020.

C’est-à-dire d’empêcher les Blancs de gagner en 2020.