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Captain Harlock
Démocratie Participative
20 mai 2022

 

 

Les Français vont maintenant être éduqués par des nègres.

C’était déjà le cas, en vérité, mais c’est désormais officiel.

Nous avions eu Nadjat, mais Nadjat était marocaine et elle appartenait, même en périphérie, au genre humain. Contrainte, par la fesse et certainement Rome, à consentir la trousse à quelques soldats venues de Germanie, l’antique mamie Belkacem. Pas de faux semblants.

Là, nous entrons dans le dialogue entre les espèces.

Une expérience inédite entre les Blancs et un fossé de 100,000 ans d’évolution.

Dialogue intense.

Les nègres sont supérieurs aux Aryens casqués du Troisième Reich et d’une ou deux voies lactées, permettez-moi de vous le dire.

En dépit de millions d’hommes surentraînés prêts à mourir pour leur race – pardon ! -, du Cercle Arctique aux frontières de l’Egypte, des confins de l’Océan Atlantique aux monts les plus élevés du Caucase, l’Allemagne n’a jamais pu conquérir la France.

Suspicieuse, maniérée, oui-mais, ça l’a pas impressionné du tout, du tout.

En revanche, 20,000 tirailleurs sénégalais débonnaires et rigolards, amassés à la va-vite, paumés, ont conquis – et conservé ! –  la France, et surtout, le coeur des Français – et le cul des Françaises ! – rien qu’en débarquant.

Regardez un peu, si ça a pas le prestige de l’uniforme !

Je peux certifier.

Maintenant, c’est les nègres qui nous passent en revue.

C’est ceux-là qu’on voulait peloter, dans les familles. Pas d’héroïsme, tout en douceur, en satin, manioc. Bourrique tamtam.

Bite nègre !

Allez, les Nazis de survivance, c’est l’heure de tirer le rideau. Déjà qu’on était pas allemands, on sera pas davantage des nègres. On est de trop, où qu’on aille… breloque ! Faut qu’on se supporte, sans s’être choisi de condition. Le hasard nous tire une bien vilaine langue… il nous titille, la carne. Il est salin… Faut avouer, on a pas été bien logé.

Moi, j’ai rien contre les nègres. C’est simplement que dix dizaines de millénaires posés sur un coin de table, ça laisse comme un soupir d’indécision, d’incompréhension, condensés en minutes, à pas savoir quoi dire, à faire discuter le pigeon avec le caïman, tout ça en cutané… c’est des réalités cumulées de bien longs et lourds étés à dessécher les caillaisses qui s’entrecroisent, pas prévues, par le hasard d’un emploi de kérosène entre le Sénégal et Paris. C’est un puzzle foutu en l’air, c’est pas supposé avoir du sens, c’est juste posé comme ça… ça fait bien de composer avec.

Quand un Blanc voit un caillou sur la Lune ou sur Mars, il se passe rien. Pas de révolution copernicienne, pas de fascination qui change le cours de l’histoire. Quand un Blanc voit un Nègre, alors là, pardon, 50,000 ans à péniblement s’arracher le derche de la glaise pour y retomber sous hypnose. Voilà des bouleversements telluriques, et par le bas ! Rousseau !

De toute façon, les Français, sans leurs nègres, ils sont comme sans leurs caniches, ils se sentent seuls avec eux-mêmes, ça leur fait bien de l’effet. Ils sont encore plus grimaçants, vinaigrés. Allez dire aux Français que vous allez buter leurs caniches, ils vous flingueraient. C’est marrant d’ailleurs, ils passent des tas de trucs, mais ils deviennent meurtriers question de chiens. C’est tout à fait pareil avec les nègres. Quel drôle d’effet quand vous dites que vous voulez claquer un capoïde !

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