Afrique du Sud : un nègre éclate la tête d’une activiste qui luttait pour les fermiers blancs persécutés par le pouvoir négro-communiste

Captain Harlock
Démocratie Participative
01 janvier 2019

Pour une fois, la presse a relayé l’assassinat d’une activiste blanche sud-africaine qui essayait d’alerter sur l’élimination des fermiers blancs dans ce pays tombé sous la coupe des nègres.

Le Point :

La veille, Annette Kennealy avait rendu visite à sa mère puis, de retour dans sa ferme du Limpopo, avait partagé un lien sur Facebook : « Pic brutal avec 10 attaques ces quatre derniers jours dont un meurtre de fermier. » Annette Kennealy, 51 ans, était ensuite partie de coucher. C’est sa mère qui a donné l’alerte le 21 mai au matin. Sa fille ne répondant pas à ses appels et à ses messages, elle a prévenu un proche qui s’est précipité jusqu’à l’exploitation située sur la commune de Louis Trichardt dans la province du Limpopo. Il y a découvert Annette Kennealy, face contre terre, dans une mare de sang, l’œil gauche et le front enfoncés. Près du corps, un marteau et une barre de fer.

J’ai la nausée.

Ces nègres sont des bêtes sauvages.

Des démons.

Le Point avait rencontré Annette Kennealy. Parmi les fermiers blancs, elle suscitait le respect en raison de son acharnement à défendre leur cause. Divorcée, mère de deux filles, elle vivait entourée de ses chevaux et de ses cinq chiens. Elle sillonnait le Limpopo à bord de son pick-up pour réconforter les survivants des violences des campagnes sud-africaines. Depuis la fin de l’apartheid en 1994, plus de 3 000 fermiers ont été assassinés. Elle connaissait l’histoire de bon nombre de victimes, comme celle de cette femme rencontrée sur le marché. « Elle a subi quatre opérations de la tête », lançait-elle à son sujet en l’aidant à décharger ses palettes d’œufs. Et la femme devenue borgne de raconter : « Ils m’ont frappée avec une barre de fer, j’ai fini par arrêter de crier, ils m’ont crue morte et ils sont partis. »

Hélas, une nouvelle fois la réalité est obstinée : entourée de nègres hirsutes abrutis par l’alcool, une femme seule n’a aucune chance de pouvoir survivre dans un tel milieu. Aucune.

Annette aurait dû le savoir mieux que personne. Elle a pris des risques totalement inconsidérés.

Même un couple armé n’est pas en sécurité.

Annette Kennealy se désolait d’une chose : les départs de plus en plus nombreux de ses compatriotes. Elle pleurait en écoutant, devant une soupe chauffée au feu de bois, le témoignage de Celia, une voisine habitant à 15 kilomètres de chez elle et victime d’une agression par quatre hommes. « Ils ont dit qu’ils allaient m’égorger et me balancer dans la baignoire », racontait Celia, après avoir été ce jour-là ligotée et traînée jusqu’à sa salle de bains. Elle en avait miraculeusement réchappé. « Elle va partir », pressentait Annette. De fait, Celia décida de s’installer à Los Angeles.

La disparition d’Annette Kennealy survient à l’heure où les syndicats de fermiers blancs s’alarment d’une recrudescence des attaques. Celles-ci auraient bondi de 25 % l’an passé. Depuis janvier, 126 agressions ont été recensées ayant entraîné la mort de 16 personnes. Des meurtres souvent précédés d’actes de torture. « Stop au génocide blanc », crient dans les manifestations les membres d’AfriForum, l’association la plus engagée dans la défense des intérêts des Afrikaners, dont les représentants ont rencontré l’an passé John Bolton, le conseiller américain à la Sécurité nationale.

Bolton aura au moins fait quelque chose de positif.

Vous pouvez suivre le compte Twitter d’AfriForum qui suit les opérations d’élimination de fermiers.

Le pouvoir négro-communiste qui tient l’Afrique du Sud est très clairement engagé dans une campagne de terreur de basse intensité pour forcer les fermiers boers à abandonner leurs terres. Plus ce pays s’enfonce dans le chaos, plus la tyrannie nègre a besoin d’un os à ronger à donner à ces myriades de noirs affamés.

Si nous n’étions pas gouvernés par ce système judéo-démocratique pro-mélanine en Europe, nous aurions déjà pu procéder à des livraisons d’armes, de munitions en plus de l’envoi de conseillers militaires pour mater ces sales nègres.

Très peu de matériel est nécessaire. Ces nègres sont tellement idiots que quelques milliers de miliciens pourraient briser l’armée sud-africaine en son entier sans effort.

Une campagne menée sur fond de réforme agraire. En effet, la question de la redistribution foncière empoisonne toujours les relations entre le pouvoir et la minorité blanche. Un chiffre : 72 % des terres appartiennent aux Blancs qui représentent 9 % de la population. Résultat, les autorités envisagent d’amender la Constitution afin de supprimer les indemnités compensatrices lors des expropriations. « On cherche à rétablir une injustice de plusieurs siècles qui a permis à une minorité d’accaparer la majorité des terres », a déclaré le président Cyril Ramaphosa. Les meurtres de fermiers blancs ? « Il y en a, mais pas à grande échelle », ajoute-t-on dans son entourage.

Ces nègres veulent s’emparer de ce que les Blancs produisent. Mais sitôt en possession du trésor, ils retournent à leur état naturel de primates indolents.

Le cas du Zimbabwe est caricatural. Après avoir nettoyé ethniquement le pays il y a 10 ans, ces nègres en sont à présent réduits à supplier des milliers de fermiers blancs de revenir nourrir ce pays de cafres.

C’est un cas d’école.

Qu’est-ce que ces nègres d’Afrique du Sud pourraient bien faire de toutes ces terres après les avoir volées aux nôtres ? Rien.

Ils ont reçu un état moderne grâce à l’aide des démocraties juives occidentales dans les années 90 pour le transformer en « état » nègre typique.

Je précise que ce qui définit un état nègre est l’absence d’état.

C’est un oxymore utilisé pour le plaisir de l’ironie.

Certes, mais les statistiques montrent que les intéressés ont cinq à dix fois plus de risques de périr de mort violente que le reste de la population. En revanche, les raisons ne sont pas seulement ethniques. Dans bien des cas, les massacres s’accompagnent de pillages facilités par l’isolement des exploitations. Et la communauté noire n’y échappe pas. Sur les 84 tués dénombrés en 2017, 25 en font partie. Au lendemain de l’assassinat d’Annette Kennealy, la police a arrêté un suspect, âgé de 40 ans. Il s’agirait de l’un de ses anciens employés dont on ignore encore les motivations. Seule certitude : il n’a rien volé.

Je vous laisse imaginer dans quel état de frénésie serait la presse juive si un fermier blanc avait exécuté un de ses anciens employés nègres à coups de barre de fer.

Elle hurlerait au rétablissement de l’apartheid.

Ce qui se passe en Afrique du Sud, c’est ce qui va lentement se mettre en place en France avec l’aide de cette bourgeoisie urbaine acquise au globalisme juif.

Ils vont toujours plus livrer les classes populaires blanches à ces parasites assoiffés de sang qui nous envahissent.

Nous ne pouvons pas coexister avec ces créatures.

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