Afrique du Sud : le terroriste juif Denis Goldberg finalement mort après une vie dédiée à la destruction de la race blanche

Captain Harlock
Démocratie Participative
02 Mai 2020

Le terroriste juif Goldberg est mort. Il brûle désormais en enfer pour l’éternité.

Vous aurez relevé que les mots « juif » et « terroriste » sont pour ainsi dire synonymes.

RTS :

L’une des figures de la lutte anti-apartheid en Afrique du Sud, Denis Goldberg, célèbre compagnon de route et de captivité de Nelson Mandela, est mort à l’âge de 87 ans, ont annoncé jeudi sa famille et la fondation qui porte son nom.

« Denis Goldberg est décédé juste avant minuit le mercredi 29 avril 2020 (…) il a dédié sa vie au combat pour la liberté en Afrique du Sud », a écrit la fondation Denis Goldberg.

Né de parents communistes, le jeune ingénieur a rejoint au début des années 1960 la branche armée du Congrès national africain (ANC), à la pointe du combat contre le régime raciste blanc au pouvoir en Afrique du Sud.

Denis Goldberg a été arrêté en 1963 avec une poignée de dirigeants célèbres de la cause noire, dont Walter Sisulu, Govan Mbeki et Andrew Mlangeni. Il a été condamné un an plus tard à la prison à vie aux côtés de Nelson Mandela lors du célèbre procès dit de Rivonia.

Seul Blanc à comparaître (sic), il a été séparé de ses compagnons, incarcérés sur l’île-prison de Robben Island, et a été détenu pendant vingt-deux ans dans un pénitencier de la capitale Pretoria.

L’outrance de ces juifs.

Il faut leur reconnaître ça : même dans une opération terroriste visant à assassiner des Blancs pour satisfaire les buts révolutionnaires du sémitisme international, ces juifs ont encore l’aplomb de se présenter comme des Blancs lambdas.

N’importe qui vise le nez de ce juif sait que ce juif est juif. Pire, un gros juif. Un juif au carré, c’est-à-dire un juif communiste. Un juif au cube, c’est-à-dire un terroriste juif communiste.

Animal.

« J’avais compris que le racisme en Afrique du Sud était équivalent au racisme dans l’Allemagne nazie« , avait déclaré Denis Goldberg l’an dernier.

Honoré à Londres en 2016 avec son compagnon de lutte Ahmed Kathrada, il avait regretté que son pays reste déchiré par les tensions raciales, un quart de siècle après les premières élections libres de son histoire en 1994.

« La ségrégation raciale a été imprimée dans l’esprit de chaque Sud-Africain », avait-il alors regretté, « il reste encore beaucoup de chemin à faire ».

Ces pauvres nègres n’ont vraisemblablement jamais trop compris de quoi il était question. L’idée de fonder un état est inconnue des nègres. Jamais les nègres n’ont fondé d’état et encore moins vaincu des Blancs pour le faire.

C’est plutôt une formule de politesse.

Lassés un beau jour, les Blancs ont tout simplement renoncé à cette étrange activité qui consiste à vouloir pouponner la négraille d’Afrique et sont repartis chez eux. Ce qui a donné ces quelques 50 états africains. Du moins, sur le papier.

Dans le cas sud-africain, le pays n’a jamais capitulé sous l’action des nègres mais sous le blocus économique voulu par le Bloc occidental enjuivé. S’il n’avait été question que des nègres, l’Afrique du Sud serait un véritable paradis blanc.

C’est d’ailleurs pour cela que l’Afrique du Sud n’a réellement existé en tant qu’état que sous la direction blanche.

Elle est ensuite devenue un théâtre secondaire de la Guerre Froide où la juiverie communiste, aidée de l’URSS puis plus tard de l’Occident trotskiste, a semé la mort et la destruction pour y détruire la culture aryenne (la raison d’être des juifs est de détruire la culture aryenne) au moyen de leurs golems éternels : les nègres.

Avec la perte de l’Afrique du Sud, nous avons perdu l’état aryen le plus spirituellement avancé du monde blanc.

Après 1945, c’était le seul pays qui était explicitement fait par et pour des Blancs. Un état conçu pour donner un avenir à la race aryenne dans un monde où le poison démocratique juif et le marxisme gagnaient toujours plus de terrain.

Une fois la culture aryenne détruite dans ce pays, ce qui était un état prospère, y compris pour les nègres, s’est transformé en ce que nous connaissons aujourd’hui : un gigantesque coupe-gorge.

Un coupe-gorge ultra-raciste.

Les faits se suffisent à eux-mêmes : les nègres étaient bien plus heureux quand les Blancs s’occupaient de tous les aspects décisionnels. Mais ces nègres sont trop arrogants pour avouer l’évidence et préféreront s’enfoncer dans le déni, quitte à s’entretuer.

Comme au Zimbabwe.

Pour en revenir à Goldberg, curieusement, les juifs sont les seuls à avoir le droit de disposer d’un état raciste pratiquant l’apartheid avec la bénédiction des démocraties.

C’est peut-être parce que les juifs contrôlent les démocraties.

S’il faut retenir une chose de tout cela, c’est que la France sera la prochaine Afrique du Sud. Le djihad en plus. Ce qui rendra les choses beaucoup, beaucoup plus sales.

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