Afghanistan : l’armée américaine coupe l’électricité pour s’enfuir de ses bases sans être filmée, les talibans demandent immédiatement un deal de bon voisinage avec la Chine

Captain Harlock
Démocratie Participative
09 juillet 2021

La Chine est stratégiquement très supérieure aux Etats-Unis et cela ne peut que s’accentuer à partir de maintenant.

BFMTV :

La Chine observe de très près le retrait accéléré des soldats américains de l’Afghanistan. Pékin entend prévenir le chaos à sa frontière, y compris en envisageant de coopérer avec les Talibans.

L’armée des Etats-Unis s’est éclipsée de nuit, en coupant l’électricité, sans prévenir le nouveau commandement afghan de la base aérienne de Bagram. Le Pentagone a confirmé les modalités du départ, en fin de semaine dernière, de ce complexe qui durant vingt ans a constitué, à 50 kilomètres au nord de la capitale Kaboul, le centre névralgique de l’intervention de l’Alliance atlantique en Afghanistan. Cette extrême discrétion au moment de partir, d’après Washington, obéit à des motifs de sécurité des opérations et non à un défaut de confiance vis-à-vis des autorités afghanes.

C’est surtout que les Américains ne voulaient pas donner du matériel vidéo au reste du monde comme à Saigon en 1975.

Donc ils ont coupé la lumière et se sont enfuis sans prévenir.

Il s’en est aussitôt suivi un pillage des lieux. Un soldat afghan a raconté à l’agence de presse Associated Press comment les bâtiments ont été saccagés, avec un défilé de camions où tout ce qui pouvait être emporté l’a été. La conséquence stratégique de ce retrait exprès, c’est que les forces gouvernementales afghanes perdent soudain l’essentiel d’un atout militaire décisif, celui la supériorité qu’offre le soutien aérien américain.

Ce qui sert « d’armée » au gouvernement afghan à la botte de ZOG va très rapidement s’évaporer.

Nous allons voir beaucoup de ces fuyards se ruer vers l’Europe et nous allons entendre la presse juive et les femmes blanches hurler à la mort pour les disséminer dans les derniers replis de la France profonde.

Mais ça, vous le savez déjà.

Hier, les combattants talibans ont lancé leur première offensive contre une capitale provinciale, Qala-i-Naw, une ville d’environ 75 000 habitants au nord-ouest du pays. Le ministre afghan de la Défense, Bismillah Mohammadi, admet une situation « très délicate », même si les forces de sécurité ont, affirment-elles, repoussé l’attaque.

La Chine, pour sa part, ne semble plus concevoir d’illusions sur l’issue des évènements. Selon une source diplomatique de la région, citée par le Financial Times, elle se prépare à jeter les ponts d’une coopération avec les Talibans. L’objectif, avant tout autre considération géo-économique, est de leur signifier une volonté de sécuriser les abords de la bande de frontière avec l’Afghanistan, une zone tombée largement sous le contrôle de l’insurrection depuis la fin juin.

La doctrine constante de Pékin demeure la non-ingérence dans les affaires intérieures d’autrui – on traite d’Etat à Etat, avec le pouvoir en place. Dans une tribune publiée par un organe de presse étatique, un professeur du Centre d’études américaines de l’Université Fudan (Shanghai) écrit que son pays peut donc adopter une politique « plus pragmatique, plus souple ». Zhang Jiadong assure qu’ainsi il n’y a pas de risque de s’embourber en Afghanistan, à la différence de l’Union soviétique et des Etats-Unis, « nous ne tomberons pas dans le piège afghan ».

La Chine surclasse l’Amérique.

Pour une raison simple : sa planification stratégique n’est pas réalisée par des femmes ou des travelos.

Son objectif n’est pas de contaminer par l’anus les petits garçons avec le SIDA.

Et l’armée chinoise n’est pas dirigée par des guenons obèses du ghetto.

Elle est dirigée par des planificateurs ultra-nationalistes du Parti Communiste Chinois.

Contrairement aux USA qui cherchent à imposer leur religion judéo-démocratique négro-LGBT au reste du monde, les Chinois fonctionnent de manière purement pragmatique. Le mode de vie des autres nations les laisse totalement indifférents. Ils ne sont pas paranoïaques, contrairement aux juifs et aux homosexuels. Du coup, ils n’ont pas besoin de contaminer le reste du monde en le transformant à leur image pour espérer pouvoir y être tolérés en dépit de leur soif de destruction.

Ce sont les juifs, les homosexuels et les femmes blanches qui veulent absolument transformer la planète entière en zone fémo-LGBT. Y compris le monde musulman. C’est officiellement pour ça que l’Otan a envahi l’Afghanistan : libérer les moukères afghanes de leurs burkas afin d’en faire des instaputes.

Etonnamment, les hommes des tribus afghanes ne l’ont pas entendu pas de cette oreille et pendant 20 ans, ils ont mené une guerre permanente à ZOG jusqu’à la victoire finale contre la démocratie juive.

Maintenant que ZOG se retire, la Chine s’empresse de dire à ces seigneurs de la guerre afghans qu’ils peuvent lapider les femmes et pendre les homosexuels comme ils l’ont fait depuis mille ans du moment que le calme règne à la frontière et que la Chine peut écouler des biens de consommation localement.

Le deal des Chinois est clair, notamment vis-à-vis des musulmans : « vous faites ce que voulez chez vous, nous faisons que nous voulons chez nous ».

Les talibans adorent ce deal.

Nous pourrions être aussi populaires avec le reste du monde si nous suivions exactement la même stratégie : coopérer là où les intérêts convergent et ne jamais chercher à changer la culture des autres pays.

Mais pour cela, il faudrait que les juifs et les homosexuels ne contrôlent pas les états occidentaux.

De ce qu’en disent en particulier les Indiens, les Pakistanais vont former le lien avec les Talibans, afin que ceux-ci comprennent bien tout l’intérêt d’écouter le projet régional de la Chine, à la condition préalable de tenir à l’écart les groupes chinois ouïghours, que Pékin classe comme terroristes. Ceux-ci sont composés, d’après une évaluation du Conseil de sécurité des Nations unies, de quelque 3500 éléments originaires de l’extrême-ouest de la Chine, dont une partie d’entre eux se trouvent actuellement sur le sol afghan.

Comment alors convaincre les Talibans? En leur apportant à eux aussi les nouvelles routes de la soie, déjà promises aux autorités actuelles de l’Afghanistan. Le projet consiste en la création d’infrastructures au travers du col Wakhjir, en haute montagne à la frontière.

L’Occident fait l’inverse : il agresse les musulmans chez eux, les importe dans les pays blancs et soutient les djihadistes partout, y compris les yaourts en Chine.

Tout ça n’a aucun sens, si on regarde les choses en surface.

Mais tout devient cohérent une fois que l’on comprend que l’Occident suit une politique juive, à l’intérieur et à l’extérieur. Toute politique juive repose sur l’extension perpétuelle du chaos.

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