« Adonaaaaaaaaï ! » : la juiverie effondrée après l’échec de la mobilisation de la plèbe aryenne en sa faveur

Captain Harlock
Démocratie Participative
22 février 2019

La tornade de hurlements hébraïques que nous avons subie mardi soir s’est déjà évaporée. Elle a au moins eu le mérite de démontrer comment fonctionne la tyrannie juive.

Pendant une journée entière, la France a été médiatiquement balayée par un tonnerre d’imprécations, de menaces, de cris de synagogue lancinants, le tout soigneusement calibré pour terroriser et stupéfier la masse de goyim de plus en plus suspects aux yeux des juifs.

Il s’agissait de battre le rappel et de recruter en masse des volontaires pour défendre le régime juif et sa base biologique d’évidence : le juif lui-même.

Maintenant, pour la juiverie, vient l’heure d’un premier bilan de cette opération.

Les grincements de dents ont largement succédé aux rugissements.

C’était ma conclusion dès mardi soir après avoir vu ces grappes de yids s’exhiber avec la dernière obscénité dans ce numéro de cirque digne de la meilleure sous-production audiovisuelle sépharade.

C’est encore le style ampoulé du régionaliste Bernard-Henri Lévy qui traduit le mieux cette dissonance cognitive.

Un condensé de France sémitisée en panique.

Juif, c’est fini

Les juifs vont encore, pendant quelques temps, avoir du mal à s’adapter à la nouvelle réalité européenne.

Le bazar sépharade va continuer à faire ce que font les arabes : glander et faire du fric en disant que tout ne va pas si mal entre deux séjours à Marrakech.

Les ashkénazes, quant à eux, sombrent déjà dans la dépression lourde, trop familiers de l’exaspération aryenne à travers les âges pour se méprendre sur la gravité de la situation.

Le juif n’est plus protégé que par les gouvernements de la ploutocratie occidentale contre des masses qui nourrissent de plus en plus des idées de pogroms. Ce qui rend le juif si pornographiquement arc bouté sur son mantra « républicain ».

Preuve, s’il en est, que cette république gouverne contre la France et les Français, pour les juifs, la finance et les métèques. La caste politique quant à elle s’accroche au juif comme le juif s’accroche à elle sur ce radeau de la Méduse qu’est la ploutocratie naufragée.

La bête hébraïque est affligée de profondes blessures qui s’ouvrent davantage à mesure qu’elle se débat, lui retirant de longs cris de douleur. L’hallali est proche.

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