Accueil triomphal de la Fatma voilée du Conseil Régional

Captain Harlock
Démocratie Participative
18 octobre 2019

 

Quand les Boomers auront quitté la scène, nous pourrons dire adieu à ce truc qu’ils appelaient avec des trémolos dans la voix, « la laïcité ».

Cette affaire récurrente de « voile islamique » ne veut plus rien dire. La démographie a tranché.

Bien sûr on trouvera toujours, ici ou là, quelques vieux barbons du Grand Orient, nostalgiques de la Troisième République.

Mais nous vivons de facto dans un état totalement soufflé par l’invasion du tiers-monde. Nous aurons bientôt 3,000 mosquées, puis 6,000, puis 12,000. Les cantines, les selfs d’entreprises, tout ça passera au halal là où ce n’est pas encore fait.

Plus de quartier pour les mangeurs de halouf.

Au moins, on ne parle pas allemand

Les Blancs sont démoralisés par une propagande antiraciste juive toujours plus agressive, la moindre marque de virilité blanche est concassée par l’infrastructure gouvernementale, à commencer par l’école avec ses bataillons de greluches blanches au service des nègres et des arabes.

L’affaire du voile, suite au clash d’Odoul, a révélé à quel point tous ces politiciens qui nous ont cassé les couilles avec cette sacro-sainte laïcité l’ont depuis longtemps foutu aux orties.

Et donc les Fatmas voilées sont célébrées comme des libératrices, simplement parce qu’elles se prosternent devant le Bédouin de La Mecque.

Tout ça dans un pays où on a l’impression que les Blancs exécutent une famille algérienne par semaine quand des centaines de céfrans ont été liquidés par les troupes d’Allah.

Un truc frappant, lors du clash filmé avec Odoul, c’est de voir que la boutique est gérée presque exclusivement par des rombières qui n’auraient jamais dû être autre chose dans la vie que secrétaires ou infirmières.

C’est la vieille vérité de Gustave Le Bon : la foule est femme et se soumet inconsciemment au plus violent.

C’est pour ça que ce système démocratique va s’effondrer : les affaires de l’État sont gérées par des rombières du back office d’une grande surface.

Si vous y ajoutez le degré de sénilité collective qui prévaut, c’est le dernier clou dans le cercueil.

Un état est bâti par des hommes. Dès que les femmes ont le droit de ramener leur nez dans les affaires de l’État, vous pouvez déposer le bilan. C’est fini.

Le niveau chute au niveau des poireaux, des potins et des menstrues. Rien de plus.

La conséquence, c’est qu’on ne sortira pas de ce marais avec des élections, des « réformes » ou que sais-je. C’est le matériel humain qui est attaqué. Un matériel humain détraqué ne peut pas se régénérer de lui-même dans les conditions qui ont accéléré sa  déchéance.

En d’autres termes, la démocratie, la paix et les ménagères ne nous sortiront pas du trou où elles nous ont plongés parce que nous avons été trop complaisants.

Imaginez ce que ferait Bonaparte devant un tel océan de merde et d’œstrogènes.

Un coup d’état, des arrestations et donner la troupe sur le premier attroupement de zadistes venu. Les bonnes femmes renvoyées au foyer au pas de course.

L’état serait purgé des incapables et des voleurs, exemples sanglants à la clef.

Ce qu’aurait fait Bonaparte, c’est ce qu’il faudra faire. Coincer tout le troupeau parlementaire dans une même pièce et leur faire abjurer la république avant de les chasser.

En attendant, l’anarchie est au programme dans laquelle, comme toujours, s’engouffreront les criminels de droit commun, les agitateurs rouges et les sémites.

Un coup d’état, la fin de la démocratie, l’arrestation des corrupteurs, l’exil des traîtres ou leur arrestation, la répression des factieux, l’expulsion massive des mahométans et des autres ennemis raciaux : c’est ce qu’il faut.

L’état d’exception, la loi martiale, une direction politique révolutionnaire.

Vous me direz que c’est facile à dire. Il faut déjà s’en convaincre, comprendre qu’il y aura moins de gens à l’arrivée qu’au départ et que c’est absolument impératif. Il faudra dégraisser.

Avant que l’ordre soit instauré, il faut que l’anarchie fasse complètement tomber ce qui est pourri.

La foule blanche peut nous aider, il faut lui désigner les cibles : journalistes, juifs, politiciens, métèques de toutes les couleurs.

Une sans-culotterie raciste, en un mot.