A VOIR : totalement atomisées par les sanctions, les instaputes russes en larmes à l’idée de devoir trouver un vrai travail

Captain Harlock
Démocratie Participative
12 mars 2022

 

Je n’arrive pas à trouver un seul aspect négatif aux sanctions judéo-occidentales contre la Russie.

Il n’y en a pas.

Vladimir Poutine vient d’anéantir toutes les instaputes de Russie – et de l’avis neutre des observateurs, ce pays en comptait une part non-négligeable.

Avec le blocus des plateformes comme Instagram, toutes les goules ont été vaporisées instantanément.

La tiktokeuse russe et influenceuse instagram allkhimova pleure parce qu’elle ne peut plus gagner d’argent…

C’est un torrent de larmes.

Simplement pour mettre en perspective à quel point ces femmes sont des monstres, il vaut la peine de rappeler que la Russie est en guerre et que de nombreux jeunes hommes russes sont au front pour leur pays.

Un certain nombre sont déjà morts les armes à la main contre les troupes de ZOG.

Les instaputes s’en foutent énormément.

Elles se fichent de l’avenir de leur patrie, de leur peuple, de leurs frères. Ils peuvent périr dans les flammes, pour autant que ça les concerne.

La seule chose qui les intéresse, c’est de faire du cash avec des beta orbiters.

Bien entendu, leurs homologues d’Europe et d’Amérique sont exactement pareilles.

Le narcissisme veule de ces succubes n’a aucune limite.

Les femmes d’Ukraine ne sont pas en reste.

Toutes les Ukrainiennes de moins de 30 ans qui fuient le pays pour aller s’établir dans les démocraties juives occidentales ne rentreront jamais.

Pendant que les hommes sont mobilisés de force par le juif Zelensky, elles se ruent en Europe et sont occupées à trouver des plans sur Tinder.

Valentyna, 48 heures après être arrivée à Nice, a déjà trouvé des mecs pour s’éclater.

Hormis les femmes, seuls les juifs ont le droit de quitter l’Ukraine.

Les hommes blancs cis d’Ukraine goûtent à fond leur privilège patriarcal, gelés dans la neige sous une pluie de balles et d’éclats d’obus.

C’est la plus grande leçon d’anthropologie en temps réel de l’histoire contemporaine, peut-être de l’histoire tout court.

La privation pure et simple d’internet pour les femmes est une urgente nécessité. C’est ce que prouve la Russie. Toutes ces garces vont devoir trouver un véritable travail si elles veulent survivre. Et, à défaut, un mari.

C’est un bénéfice net pour la Russie et un pas en avant vers le renforcement du patriarcat.

La fermeture de la prostitution virtuelle en Russie est la meilleure chose qui pouvait arriver aux hommes de Russie et à la Russie comme pays.

La Russie est d’ailleurs dans une meilleure posture que l’Ukraine. Les femmes russes ne peuvent aller nulle part continuer leurs oeuvres démoniaques. En revanche, les frontières de l’Ukraine sont grandes ouvertes à l’émigration. Quand les états occidentaux en auront fini avec l’Ukraine, il ne restera plus sur place que des vieillards ou des hommes mobilisés. Une grande part des jeunes femmes en âge d’avoir des enfants auront fui vers les états multiraciaux occidentaux avec des visas spéciaux délivrés sur ordre des juifs.

Au départ elles diront qu’elles reviendront. Après quelques mois à l’Ouest à chercher des mecs sur Tinder, cette idée de revenir dans un pays ruiné et ravagé deviendra beaucoup plus floue dans leur tête.

EELB sera bientôt de retour

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