7ème jour de l’insurrection raciale : le coup d’état négro-communiste se poursuit

Captain Harlock
Démocratie Participative
03 Juin 2020

 

7ème jour d’insurrection raciale aux USA. Les choses se sont globalement calmées mais rien n’indique que cela dure.

Cette nuit, un nègre armé a été tué par les flics à Brooklyn (New York).

Les pillages ont continué dans certains endroits de la ville.

A Los Angeles, il y a aussi des pillages sporadiques.

Toujours en Californie, des antifas ont essayé de déclencher des troubles dans les quartiers blancs mais se sont faits systématiquement démolir par les Blancs.

A St Louis où la il y a une fusillade hier, les nègres veulent passer à la vitesse supérieure et investir les quartiers blancs.

« Demain, une manifestation est prévue dans une ville blanche de la classe moyenne et ouvrière d’un quartier de Saint-Louis appelé Saint-Charles. Voici le message Instagram de l’organisatrice qui dit explicitement qu’il est visé pour des raisons raciales et qu’elle s’attend à un conflit. Nous allons donc voir comment tout cela va se dérouler. »

Jusqu’à présent ces nègres se sont contentés de cramer leurs propres quartiers. Comme en France, en somme. Nous verrons s’ils osent se frotter à des gens prêts à les abattre à la première incursion.

Au plan politique, la subversion négro-communiste est le véritable phénomène à retenir dans les grandes métropoles du pays. Après des années de propagande antiblanche juive, les institutions sont en voie de dissolution avancée. L’absence de direction politique est frappante en de nombreux endroits quand la police voire l’armée ne rejoint pas littéralement les insurgés.

Ces soldats sont si démoralisés par la propagande juive et confus qu’ils sont prêts à se mettre à genoux devant une négresse qui les baratine cinq minutes. L’absence de leadership politique, moral et idéologique aux Etats-Unis est directement responsable de cette perte totale des repères élémentaires au sein des troupes qui ne savent plus ce qu’elles doivent faire. Si les affrontements continuent ainsi, des régiments entiers mettront crosse en l’air et les désertions deviendront massives chez les recrues de couleur.

Tout ça est de la faute de Trump qui pensait que la qualité d’une armée repose sur les crédits votés chaque année. Plutôt que de passer à l’offensive systématique pour purger la totalité de l’Etat Américain, il s’est contenté depuis 4 ans de geindre sur Twitter tandis que ses soutiens les plus déterminés étaient censurés par les juifs ou traqués par les agences gouvernementales. Maintenant, la décomposition de son autorité est quasiment totale et les hésistants ne miseront pas sur quelqu’un d’aussi indécis qui préfère courtiser les nègres que d’aider ses propres soutiens.

La seule chose qu’il a faite a consisté à arroser de pognon les nègres qui votent à 95% contre lui et à s’en vanter. Il s’en vante encore.

« Mon administration a fait plus pour la communauté noire que tout autre président depuis Abraham Lincoln. Il a voté les Zones d’Opportunité avec @SenatorTimScott, a garanti le financement des HBCU, le Choix de l’Ecole, a voté la Réforme de la Justice Pénale, le plus bas taux de chômage, de pauvreté et de criminalité chez les Noirs de l’histoire… »

Trump est un Boomer, il ne comprend rien. Il croit que les noirs connaissent le principe de la gratitude et qu’ils lui diront merci. Même après les pires émeutes raciales de ces dernières décennies. A 74 ans il n’a toujours pas compris qu’un nègre n’est reconnaissant qu’envers le Blanc qui l’écrase avec la dernière brutalité.

En tout cas, l’avenir des Etats-Unis comme état organisé et cohérent est derrière lui. Si une réponse doit venir, ce sera de l’arrière-pays blanc armé et encadré par des vétérans de l’armée.

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