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La rédaction
Démocratie Participative
14 septembre 2022
La situation sur le front ukrainien est la suivante : après huit mois de préparation, l’OTAN a lancé une offensive dans le secteur de Kharkov.
Le terrain conquis à l’est de Kharkov représente la moitié du département du Loiret.
L’armée russe n’avait sur place que des unités de faible qualité, les meilleures troupes étant stationnées sur le front de Kherson, afin de contrôler l’accès stratégique de l’embouchure du Dniepr, celui de la Crimée, mais aussi de conserver le contrôle de la centrale nucléaire de Zaporijia qui produit 20% de l’électricité de l’Ukraine.
Le but de l’OTAN était de reprendre l’initiative après l’offensive russe de cet été. Si l’OTAN a pu monter une contre-offensive, le résultat ne change rien à ce stade.
Quand on prend en compte le fait que l’Ukraine a reçu plus de 30 milliards de dollars d’aide militaire en seulement 6 mois, soit un tiers du budget militaire annuel de la Russie, ce résultat est prévisible, mais pas impressionnant.
L’Ukraine a cessé d’exister comme état le 24 février 2022.
Ce qui existe depuis, c’est un état-zombie qui ne bouge que par la magie noire des nécromanciens de ZOG. Sans l’argent, les armes, les munitions et les conseillers de ZOG, l’Ukraine ne pourrait pas poursuivre le combat.
Le juif Zelensky n’a qu’une obligation, celle de fournir autant de goyim que nécessaire pour avaler les balles et les obus russes et lancer sans cesse des vagues suicides sur les lignes adverses. Sur ce point précis, Zelensky peut en livrer des millions. Actuellement, les Russes tiennent le front avec 200,000 hommes, tandis que Zelensky aligne environ 800,000 hommes. Les pertes ukrainiennes n’ont aucune importance. Le juif Zelensky ne regardera pas à la dépense, contrairement aux Russes qui économisent au maximum leurs troupes en évitant les offensives meurtrières inutiles.
Après l’échec de la capture de Kiev, les Russes ont choisi de camper sur les positions les plus tenables et de mettre à profit le temps qu’ils ont pour préparer l’inévitable extension du conflit. En face, ZOG arme toujours plus de goyim ukrainiens pour intensifier la guerre.
C’est la situation actuelle.
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