55% des Français désormais favorables à l’exécution des criminels noirs et arabes qui remplissent les prisons

Captain Harlock
Démocratie Participative
15 septembre 2020

Une nette majorité de Français souhaitent désormais que les criminels immigrés qui saturent les prisons soient exécutés sommairement. C’est ce qu’indique un sondage paru ce jour.

Le Parisien :

C’est un record pour cette étude* réalisée chaque année depuis huit ans pour le quotidien Le Monde, la Fondation Jean Jaurès, et l’Institut Montaigne. Selon elle, quelque 55 % des Français (en hausse de 11 points depuis 2019) affirment ainsi qu’il « faudrait rétablir la peine de mort en France ».

Les personnes interrogées par Ipsos/Sopra Steria dans cette étude dont les résultats ont été publiés ce lundi, sont donc majoritairement favorables au rétablissement de la peine de mort, abolie en 1981 dans le pays, sous l’impulsion de Robert Badinter.

C’est en effet Robert Badinter qui a aboli la peine de mort en France. C’est à cause de lui qu’un violeur et assassin de femmes blanches comme le mulâtre Guy George sera bientôt libre au lieu d’être mort.

Robert Badinter, pour nos plus jeunes lecteurs, est un juif particulièrement venimeux, ancien ministre de la Justice socialiste de François Mitterrand, qui a fait de l’instauration de la suprématie de la race juive en France le cœur de son engagement. On doit à ce vieux fanatique une contribution certaine à la mise en place de la religion de l’Holocauste dans notre pays.

C’est lui qui nous a décrété éternellement coupables devant Yahvé, avec les conséquences morales, politiques et financières que cette condamnation a entraîné.

Les juifs militent traditionnellement pour le démantèlement des mesures de défense de l’ordre social dans les sociétés blanches dans le but d’offrir l’impunité aux parasites qui, comme eux, prospèrent de l’exploitation des travailleurs blancs. Ce n’est donc pas une surprise si c’est le vieux yid Badinter qui a présidé à l’abolition de la peine de mort pour les assassins d’enfants, de femmes et de vieillards.

On peut établir un parallèle étroit entre la montée en puissance de l’influence sémitique en France et l’explosion du crime depuis plus d’un demi-siècle. Entre l’immigration de masse qu’ils ont encadré et l’instauration du marxisme judiciaire, les juifs ont pour ainsi dire tous les crimes commis en France depuis 50 ans sur la conscience. Même si, comme vous le savez, les juifs n’ont pas de conscience.

On ne peut pas vraiment reprocher aux arabes et aux noirs de violer ou d’assassiner. Cela reviendrait à sermonner un renard qui vient de croquer une poule. Les arabes et les noirs ne sont pas des êtres humains doués de raison, ce sont des créatures stupides et violentes qui sont gouvernées par leur nature et détruisent tout à cause de leur génétique.

En revanche, tel n’est pas le cas de la main diabolique qui a sciemment ouvert la porte du poulailler pour que le crime soit possible.

La main juive.

Mais le sujet reste « très clivant politiquement », selon l’étude, puisque seuls les sympathisants RN (85 %) et LR (71 %, + 23 points) adhèrent majoritairement à cette affirmation, approuvée par une minorité (39 %) dans les autres partis. Le sondage note également une très forte progression (+ 31 points sur un an) des partisans de la peine de mort chez LFI et le PCF.

Les ouvriers (68 %), les employés (60 %) et les retraités (55 %) approuvent majoritairement le rétablissement de la peine capitale, contre 41 % des cadres et 40 % des professions intermédiaires.

Les cadres de la bourgeoisie macroniste peuvent se permettre cette magnanimité à l’endroit de la canaille dans la mesure où elle privatise l’appareil d’état pour assurer sa sécurité.

Ces gens ne se sentent jamais en danger, contrairement aux classes moyennes ou populaires blanches qui subissent de plein fouet les effets criminogènes de l’invasion. Quand vous n’êtes pas en danger, vous n’avez aucune raison de vouloir durcir la répression du crime.

Notez d’ailleurs que la gauche radicale, du moins sa partie blanche, est de plus en plus gagnée par une soif d’ordre qui est tout sauf anodine. Ces personnes, pour antiracistes et antifascistes qu’elles se déclarent en public, ressentent les effets de plus en plus brutaux de l’immigration extra-européenne.

Environ 82 % des Français estiment par ailleurs, dans cette étude, qu’« on a besoin d’un vrai chef en France pour remettre de l’ordre » dans le pays, soit 3 points de plus que l’an dernier. Les Français étaient toutefois plus nombreux les années précédentes à exprimer ce souhait, à l’exception de 2019 (79 %).

Cette affirmation est plébiscitée par les sympathisants des Républicains et du Rassemblement national (97 % chacun, + 9 points chez LR) mais aussi par ceux de La France Insoumise et du Parti communiste (80 %, + 33 points).

Les Français sont en outre 88 % (+ 5 points versus 2019), un record là aussi, à considérer que « l’autorité est une valeur qui est trop souvent critiquée aujourd’hui ».

L’héritage anarcho-marxiste de Mai 1968 n’a plus aucun soutien dans le peuple. Cette culture anti-autoritaire n’a plus guère cours que chez les couches supérieures de la population sous l’influence juive, celles qui contrôlent les médias et qui redoutent un leadership politique fort qui serait à même de les mettre au pas.

Les démocraties sont structurellement des régimes faibles. C’est cette faiblesse qui permet à la finance internationale de les presser comme des citrons.

Ce n’est pas par hasard si les médias se déchaînent contre Vladimir Poutine : les élites craignent de voir un nouveau Bonaparte sortir du peuple. C’est aussi pour cela que Macron opère un virage sécuritaire dans sa communication ces derniers temps, pour capter opportunément cette soif autoritaire à son profit et à celui de ses maîtres financiers.

Forcément, ce renversement culturel et idéologique ne plaît pas à tout le monde. Des gens sont inquiets, voyez-vous, et ils ont tous un nez et des doigts crochus.

La carcasse putréfiée de la démocratie n’en a plus pour très longtemps.

Quant à la peine de mort en elle-même, je pense que nous y sommes déjà tous archi favorables. Mais je tiens à nuancer la chose car elle peut vite tourner à l’escroquerie. La peine de mort n’a d’utilité que si elle est appliquée. A dose homéopathique, elle ne produit aucun effet notable sur des criminels endurcis déjà à demi-suicidaires de naissance. Il faut donc qu’elle soit employée avec intelligence, c’est-à-dire rapidement et ponctuellement, quand des troubles ou des exactions ont lieu. Par exemple, quand une émeute ethnique éclate, faire pendre sur les lieux de leurs crimes les meneurs pris en flagrant délit produit un puissant effet sur les arabes et les noirs qui ne comprennent que langage élémentaire de la force brute.

Croyez-moi, après quelques pendaisons de ce genre, le calme régnerait dans tous ces zones envahies.

Ceci dit, une véritable politique de répression au service de l’Etat est une politique qui évite de faire couler le sang lorsque cela est manifestement contre-productif. Si je suis favorable par principe à la liquidation des ennemis du peuple, je suis également partisan d’une approche plus subtile de ces questions.

Enfermer des maghrébins dans des prisons, même en application stricte des peines promulguées, ne constitue pas davantage une solution. Uniquement une solution spatiale temporaire à un problème racial perpétuel. Le camp de travail en revanche permet de combiner élimination des éléments antisociaux, réparations effectives des dommages subis et châtiment hautement dissuasif. Nous pourrions ainsi, très rapidement, placer dans des centres spécialisés situés au cœur de la jungle guyanaise dealers de dope, migrants clandestins, antifas et autres terroristes juifs pour une durée indéfinie.

Sur ce sujet, il faut se débarrasser de toute espèce de sentimentalisme. Les bons sentiments ne produisent jamais une bonne politique. Il faudra bien, tôt ou tard, purger la France de son excès de crasse sociopathique. Mieux vaut disposer pour cela des outils adaptés et les camps de travail sont ces outils. D’une manière générale, les ennemis de l’Etat, dans un état d’ordre, doivent être paralysés par la terreur. La terreur est une arme redoutable pour qui sait s’en servir. Une terreur d’autant plus efficace qu’elle est juste. A cet égard, les enlèvements discrétionnaires et les déportations sans retour sont également des méthodes que je défends. En peu de temps, la seule idée de pouvoir disparaître pour toujours après un raid des forces de sécurité plongerait dans la terreur toutes les zones ethniquement occupées comme les anarchistes.

Tout cela pour dire que la peine de mort n’est qu’un détail technique d’une politique sécuritaire d’ensemble qui doit reposer sur la guerre psychologique contre les ennemis raciaux et politiques. C’est d’ailleurs pour cette raison que le droit commun ne peut pas concerner des éléments qui ne sont pas de race blanche. Ces éléments étrangers ne commettent de crimes qu’en raison de leurs prédispositions génétiques. Ils doivent donc être traités au terme d’un droit racial distinct du droit commun réservé aux populations blanches. Contrairement au droit commun, qui vise à punir puis réinsérer socialement des personnes, la réponse judiciaire à la menace allogène doit être adaptée à la nature de la menace. Un peu comme les battues organisées contre le pullulement des nuisibles, tels les renards.

Les nègres, les arabes, les roms et les juifs sont des organismes nuisibles et c’est sur cette base écologique que le droit doit être pensé et mis en application.

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