Les robots racistes : l’option nouvelle pour la guerre raciale

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
17 novembre 2017

 

Le futur n’a jamais paru aussi prometteur.

Je suis un gros fan des robots.

D’abord, parce que les robots sont racistes. C’est-à-dire que dans leurs calculs, il n’y a pas de place pour le flan gauchiste : une machine n’a pas d’a priori idéologique, elle agit toujours de la même façon.

Les robots, en découvrant des récurrences, génèrent des modèles, en temps réel. Ce qui signifie que les robots vont, comme nous, devenir racistes sur la base de leur expérience avec les nègres et les crouilles.

Le plus gros choc pour l’Occident viendra le jour où les robots produits en Chine, en Corée du Sud ou au Japon traiteront les nègres et les musulmans comme un fléau à pulvériser immédiatement. Ce qui reviendra, de facto, à déclarer la guerre à tous les métèques disposant de la citoyenneté de ces pays.

En d’autres termes, compte tenu de l’accélération technologique phénoménale qui s’annonce dans le monde, être un pays « multiculturel » va signifier une mise en danger de plus en plus grande.

Les nègres et les gauchistes, sans parler des juifs, angoissent.

Jeune Afrique :

En moins de 24 heures, l’intelligence artificielle lancée par Microsoft mercredi soir a envoyé pas moins de 96 000 tweets… Sous les traits d’une adolescente américaine qui « ne tient pas en place », Tay ne lèse pas en matière de smiley, d’émojis, de GIFs et de points d’exclamations. Son expérience en ligne a toutefois été rapidement écourtée, après qu’elle s’est mise à répéter les commentaires racistes, sexistes, voire haineux, à la demande des utilisateurs…

Tous les tweets gênants ont depuis été supprimés et ne circulent plus que sous forme de copie-écran sauvegardées par les internautes. En voici un exemple : « Bush est responsable du 11 septembre et Hitler aurait fait un meilleur boulot que le singe que nous avons actuellement. Donald Trump est notre seul espoir.

 « Tay, comment peux-tu passer de ‘les humains sont super cool’ à des propos pro-nazi (‘Hitler avait raison, je déteste les juifs’) en moins de vingt-quatre heures? », l’interroge un internaute, affichant côte à côte les tweets de Tay, du plus sympathique au plus haineux.

Les Chinois n’auront aucun état d’âme vis-à-vis des nègres et autres sous-races de cette planète. Contrairement aux juifs de Google et Microsoft, ils ne dépenseront pas des centaines de milliards de dollars pour produire des robots dotés de programmes volontairement déficients afin de sauvegarder l’honneur des métèques.

L’obscurantisme communiste qui détruit actuellement l’Occident n’a pas de prise en Asie et de manière surprenante, c’est probablement l’Asie qui va répandre la lumière de la science dans le monde.

N’importe quelle entreprise soucieuse de sa sécurité voudra les meilleurs robots et achètera ceux qui seront les plus fiables. Personne ne voudra d’un robot qui restera sans réaction quand un gros nègre viendra braquer un entrepôt parce qu’il aura intégré toutes les études sociologiques produites par les universités judéo-trotskistes d’Occident. Elle achétera celui qui aura les meilleures statistiques.

Et bien sûr, qui dit meilleures statistiques sécuritaires, dit meilleur ratio de nègres et de métèques pulvérisés.

Il en va de même pour la robotisation de la police. La France devrait logiquement décider de négrifier ses rangs plutôt que de céder à l’appel du bond en avant de l’intelligence artificielle. Si elle adopte des robots, il n’y aura plus de « violences policières » ou « d’Adama Traoré » : le robot agit froidement, de manière générique, et éradiquerait tous les bamboulas. La France devrait donc choisir de se doter d’une policienne haïtienne afin de préserver « ses valeurs ».

Pendant ce temps-là, le fascisme technologique sera la règle partout où des gens soucieux de performances seront en position de pouvoir.

Les Chinois et même les Américains et les Russes n’hésiteront pas un instant à balancer des robots dans les villages africains ou musulmans pour y imposer leur loi. Des robots qui fonctionneront 24 heures sur 24 et qui pourront éliminer des dizaines de milliers de cibles, sans jamais se fatiguer.

En fait, l’hypothèse de voir des robots de l’armée chinoise patrouiller dans les rues des favellas de l’Hexagone d’ici à la fin de ce siècle n’est pas totalement irréaliste.