Notre réponse raciste et futuriste européenne (Analyse)

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
27 octobre 2017


 

S’il y a bien une chose que génère la démocratie, c’est de réduire la vie d’un pays à une succession de polémiques pré ou post électorales sur des questions sans intérêt. Il n’est que de lire la presse française – ou occidentale – pour être frappé du néant absolu de ce qui s’y dit. Pire, avec la désintégration anarcho-nihiliste actuelle, des sujets comme le « manspreading » ou le bien-être des nègres deviennent centraux dans les discussions publiques.

Inutile de dire que ce que l’on qualifie habituellement par « extrême-droite » est le dernier carré du démocratisme en France. Il y a longtemps que la techno-structure française a bazardé ce mythe aux ordures, sauf bien sûr pour ce qui concerne les besoins de sa propagande en direction des masses. Le mythe démocratique reste bien vivant aux abords de ce que l’on qualifie très abusivement de « droite nationaliste » où l’on se prend à rêver à une sorte d’insurrection populaire de masse.

Aucune révolution n’est le fait des masses : elle est le fait d’une avant-garde révolutionnaire déterminée à détruire ses opposants.

Il est donc urgent de balancer cette vieille putain qu’est la démocratie et sa gonorrhée qu’est la république pour enfin se focaliser sur ce qui importe : une révolution autoritaire et raciste continentale.

Pour prendre la mesure de ce qui se joue, il faut prendre du recul. Tout d’abord, en nous intéressant à ce qui se passe aux USA et qui va bientôt arriver en Europe de l’Ouest, si rien ne change.

Pendant longtemps, nous étions qualifiés de paranoïaques lorsque nous évoquions le remplacement de la population blanche par des hordes de métèques du tiers-monde. Aux USA, ce genre de débats n’existent plus puisqu’il y a une unanimité sur la mise en minorité des Blancs dans l’état qu’ils ont édifié de toutes pièces ces deux derniers siècles.

La presse suisse, par exemple, ne cherche plus à nier cette réalité mais à la présenter sous un jour favorable.

Le Temps :

L’enquête du Pew Research Institute «The Next America», publiée fin 2014, rappelle que, en 1960, 85% des Américains étaient blancs, un chiffre qui selon les prévisions devrait chuter à 43% en 2060. «Nous avons été un pays noir et blanc, nous sommes maintenant un pays arc-en-ciel», souligne Paul Taylor, l’auteur de l’étude. Dès 1965, près de 40 millions d’immigrants – la moitié en provenance d’Amérique latine, et un tiers d’Asie – sont venus bouleverser la composition démographique des Etats-Unis, habitués jusqu’alors essentiellement à une immigration européenne. Les mariages mixtes ont le vent en poupe. Ils étaient moins de 5% en 1960; le chiffre a triplé en 2010.

La dernière fois que l’utopie multiraciale communiste a été vendue sous le nom de « nation arc-en-ciel », cela a donné l’Afrique du Sud.

Et maintenant, voici l’information cruciale :

Pour Kenneth M. Johnson, démographe et professeur de sociologie à l’Université du New Hampshire, cette évolution démographique aura des conséquences majeures. La population blanche, vieillissante, sollicitera davantage le système des soins et des retraites, alors que les jeunes, toujours plus métissés, nécessiteront l’investissement de moyens financiers supplémentaires dans l’éducation pour que les Etats-Unis puissent maintenir une main-d’œuvre productive et compétitive. «Avec une population blanche qui vieillit et une population jeune toujours plus métissée, toutes deux avec des besoins qui se font concurrence du point de vue des budgets fédéraux, il y aura un potentiel de conflits majeurs s’agissant des priorités à accorder en matière de financement», souligne le géographe au Temps.

Oubliez cette histoire « d’éducation » des sous-races qui viennent s’agglutiner dans les grandes métropoles américaines. Il ne s’agit que de racketter la seule race réellement productive et travailleuse : la race blanche.

On n’éduque pas des nègres pour en faire des astrophysiciens. En revanche, on achète leurs votes en les gavant avec le fric des Blancs.

Vous pouvez observer la perfidie de cet article de facture typiquement marxiste qui explique, en substance, que les Blancs nuisent financièrement à une jeunesse « métissée » qui représente le véritable avenir du pays.

La taxe blanche

Bien sûr, il n’est pas fait mention du fait que les budgets fédéraux US sont générés par la fiscalité perçue sur les Blancs et non pas sur la vermine colorée.

L’état social ou l’état-providence se résume à une chose : la taxe blanche. C’est le prolongement de la guerre raciale par des moyens fiscaux.

C’est ce qu’a très bien compris la gauche – en Amérique et en Europe de l’Ouest – pour qui la lutte des classes se superpose de plus en plus à la lutte des races.

Mélenchon devient de plus en plus franc sur la question, non pas par goût mais par nécessité.

Pour la gauche socialo-marxiste, l’accroissement illimité du nombre de nègres et d’arabes est un impératif stratégique si elle veut disposer d’une base électorale de substitution et rester un acteur politique incontournable. C’est l’instrumentalisation du parasitisme allogène pour le maintien de son propre parasitisme politique.

Pour l’État Français, les politiciens qui le dirigent et sa bureaucratie, l’intérêt se situe dans un équilibre de la terreur entre les deux groupes – déchets sociaux indigènes et masses immigrées d’une part et classe moyenne blanche productive d’autre part – pour continuer à avoir la maîtrise des arbitrages financiers, donc le pouvoir.

La démocratie et son corollaire qu’est le socialisme n’est qu’un seul et même processus : la massification, résultat de l’édification de la loi du nombre en principe cardinal de l’ordre social et politique.

Guerre raciale et générationnelle

Ceci étant dit, nous ne devons pas oublier qu’une autre guerre se déroule au sein même de notre race : la lutte intergénérationnelle. Car si les Baby-Boomers sont en lutte avec les métèques pour la répartition du fruit du racket de la classe moyenne, il n’en demeure pas moins que les deux ont un intérêt vital à maintenir le système qui permet en premier lieu de saigner à blanc la poule aux œufs d’or : la classe active blanche.

N’allons pas chercher plus loin la militarisation des métèques par des soixante-huitards septuagénaires.

Ce que l’on appelle pudiquement le « laxisme judiciaire » associé à la criminalisation à outrance de tout réflexe de vie des autochtones.

La jeunesse blanche actuelle – dans tout l’Occident – est celle qui va subir la pression la plus intense en termes de fiscalité. Le stato-socialisme et ceux qui en vivent – bureaucrates, métèques, retraités – va obligatoirement devoir recourir à la répression pour maintenir cette jeunesse sous contrôle. Cela signifie une intensification de la propagande pour s’assurer qu’aucun instinct de survie ne vienne menacer le statu quo étatique, social et racial puisque, comme nous l’avons dit, la lutte sociale est également une lutte raciale.

Détruire l’état-providence

Observez aussi que ce statu quo est relatif : le système est fondamentalement en déséquilibre dynamique. Donc, par contrecoup, il doit intensifier la pression sur les Blancs productifs. Bref, accroître taxes et impôts.

La faillite de ce système est inévitable, la seule question est quand elle aura lieu.

Dans ces conditions, la défense des « acquis sociaux » et autres merdes du même genre revient, pour la jeunesse blanche et les actifs blancs – disons jusqu’à 50 ans -, à du suicide pur et simple. La défense du système socialiste est une relique d’avant-guerre qui n’a plus aucun sens pour les nouvelles générations blanches.

Qui peut avoir intérêt à défendre un tel système de cannibalisation ? Les vieux jeunes sortis des écoles de l’ancien système socialiste.

Ou les gros porcs retraités issus de ces mêmes écoles.

Maintenir l’état-providence, c’est valider la réduction en esclavage des jeunes Blancs au profit des métèques et des vieux, en plus des politiciens et des bureaucrates qui en vivent.

Pire, puisque nous sommes dans un contexte dynamique, l’état repose sur l’institutionnalisation du dysgénisme. Les meilleurs Blancs s’exilent tandis que des millions de parasites raciaux se jettent sur l’Europe Occidentale pour prospérer du système socialisé en place. C’est précisément pour cela que les nègres et autres orientaux se ruent vers l’Allemagne, l’Angleterre ou la France et non vers l’Europe Centrale ou Orientale, à de rares exceptions.

L’endettement de l’état est hors de contrôle et il n’est maintenu que pour préserver tous ceux qui le contrôlent ou disposent d’un pouvoir de nuisance suffisant : fonctionnaires, cas sociaux, retraités, bamboulas. Cette coalition forme le socle électoral des partis du système.

Si vous prenez le temps de regarder l’évolution de la composition raciale de la France, vous ne pourrez en conclure qu’une seule chose : l’édification d’une tyrannie de type vénézuélienne pointe à l’horizon.

C’est-à-dire un système où la démocratie poursuit son processus final de cannibalisation des meilleurs par le biais électoral du populisme racial et communiste. La loi du nombre garantissant la défaite systématique de toute force de sursaut.

Voici donc ce qui nous attend : l’Afrique du Sud bolivarienne, le djihadisme en plus.

Toute formule politique au 21ème siècle qui, en Europe, fait mine d’ignorer le paradigme racial relève soit de l’escroquerie soit de la trahison. Généralement des deux.

La jeunesse blanche n’ayant plus rien à perdre, finasser au prétexte de subtilités électorales ne peut plus être toléré en son sein.

Le siècle asiatique

Faute d’élites dignes de ce nom, nous n’avons pas de visionnaires qui nous mènent là où nous devrions.

Pourtant, chez nous, nous avions de tels visionnaires. Le Général des Waffen SS et Volksführer Léon Degrelle dans son « Appel aux jeunes Européens » nous a donné la ligne à suivre pour les temps qui nous attendent.

Son actualité est stupéfiante, d’autant plus stupéfiante que pas un des « chefs » autoproclamés des formations actuelles ne pourrait même en articuler le début :

Dans ce tohu-bohu, une Europe administrative, dite Marché commun, a succédé, sur des pattes de tortue, à l’Europe unifiée de nos combats. Elle campe à Bruxelles. Elle n’a pas de figure. Elle est avant tout un conglomérat, un pot-pourri de quelque vingt mille fonctionnaires omnipotents, de budgétivores bigarrés aux privilèges matériels sans cesse accrus. Nulle communauté populaire ne les a élus. C’est un congrès de chefs de bureau. La démocratie, dans toute cette affaire, n’est qu’une bulle incolore, inconsistante, qui, au moindre courant d’air, s’éteint et disparaît.

Les bousilleurs de l’Europe de l’Est et de l’Europe de l’Ouest, ainsi que les loups-cerviers des États-Unis (que M. Bush continue ou non à promener à la Maison-Blanche sa bobine en pot de vinaigre) auront, tombés dans tous le grand ravalement que nous avons décrit, à faire face, à l’extérieur, dès à présent, à d’importantes forces nouvelles qui risquent de leur scier le dos au cours du siècle prochain.

Le XXIe siècle, en effet, sera, avant tout, le siècle de l’Océan Pacifique. Non seulement celui du Japon, de la Corée, de Taïwan, de Hong-Kong, de Singapour, féconds en expédients et déjà en pleine efflorescence. Mais aussi d’un milliard et demi de Chinois, travailleurs, sobres, portant dans leur intellect la synthèse de plusieurs milliers d’années de très haute civilisation.

Ces Chinois, déportés, sous Mao, par cinquante ans de marxisme, ont entrepris, avec beaucoup de sagesse, de réussir d’abord leur modernisation économique, au lieu d’opérer sottement, comme les Gorbatchev et les Eltsine, une révolution politique, automatiquement condamnée à l’échec parce que la substance même de ces pays avait disparu, et parce qu’on ne leur offrait, comme substituts au communisme, que des modèles désuets, corrompus et ayant échoué partout.

Les Chinois agirent exactement à l’inverse de Moscou : ils rebâtirent l’économie avant de jouer aux réformateurs politiques. Ils inventèrent, comme l’avaient fait les Japonais, des méthodes de pointe. Et ils créèrent, comme eux, une solidarité sociale qui double autant le rendement du travailleur que celui de l’industriel.

Résultat : restructurés, les Chinois pourront, avant vingt-cinq ans, rejoindre, de leurs vastes cohortes, la masse des deux milliards d’Asiates, tenaces, possédant la technique la plus avancée du monde.

Alors que les démocraties occidentales se lancent dans un immonde maternage en direction de nègres et d’égorgeurs musulmans au détriment de leur propre jeunesse, la Chine s’avance résolument vers l’avenir.

Sa confiance en elle n’a pas d’équivalent dans le monde.

Les Chinois veulent leur revanche historique et redevenir ce qu’ils appellent « l’Empire du Milieu ». Pendant que la jeunesse blanche se prosterne en silence devant des vieillards infectés de sénilité humanitaire et se sacrifient pour offrir un traitement de rois à des nègres fainéants et ingrats qui la violent et la tuent, la jeunesse chinoise veut conquérir le monde.

Non seulement cela, mais elle le fait.

Pékin vient de lancer le premier satellite quantique :

Ça n’a l’air de rien mais c’est un pas décisif qui a été fait vendredi dans le monde de la science: le premier appel vidéo crypté de façon quantique a eu lieu. Le président de l’Académie chinoise des sciences a joint le président de l’Académie autrichienne des sciences grâce à un satellite spécial. Ce premier pas pourrait signer l’avènement d’un nouvel internet.

Cet appel est « un million de fois plus sécurisé qu’un appel réalisé avec des méthodes conventionnelles de cryptage », peut-on lire sur le site de l’Académie autrichienne. L’avantage des technologies quantiques est qu’elles sont impossibles à hacker à cause des lois de la physique quantique: deux particules émises simultanément, même distantes de milliers voir de milliards de kilomètres, agissent de la même façon, comme si elles n’étaient qu’une seule particule.

Le satellite Micius a d’abord généré des photons, des particules de lumière, avec une direction d’oscillation aléatoire. Ce procédé est appelé la polarisation. Les photons simples avec leurs différentes polarisations ont ensuite été transmis sous la forme d’une séquence de zéros à la station autrichienne. Là, les états de polarisation ont été mesurés et comparés au hasard avec la séquence envoyée par le satellite. Lorsque les données mesurées sont cohérentes, l’émetteur et le récepteur obtiennent une première clé quantique.

Une fois que c’est fait, la même action est réalisée entre la station chinoise et le satellite, de sorte que Micius obtient deux clés quantiques. À l’aide des deux clés « distinctes » et d’une autre clé combinée, les deux stations terrestres peuvent générer un code commun pour le cryptage et le décryptage de l’information… Oui, c’est balèze et complexe mais ce qu’il faut retenir, c’est qu’un nouveau système de communication est en train de se mettre en place. On pourrait peut-être un jour avoir un internet quantique, soit un internet ultra-sécurisé.

Ne vous y trompez pas, c’est un satellite militaire. Demain, la Chine disposera d’une flotte entière de satellite quantique rendant son internet totalement imperméable aux attaques extérieures. L’avantage du secret de ses communications sera naturellement décisif en cas de conflit, surtout si, avec la même technologie, elle brise les communications de l’ennemi.

C’est parce que les communications du Troisième Reich et du Japon étaient percées que ces deux puissances ont connu des défaites cruciales.

La Chine a déjà installé une ligne de 2000 kilomètres sur la base de cette technologie :

En août, le projet Jinan a été testé avec succès dans la ville du même nom, une ville située à l’Est de la Chine placée stratégiquement entre les deux grandes villes de Beijing et Shanghai. Étendu sur plus de 2000 km, le projet Jinan sera le plus long réseau de communication quantique au monde. Ce réseau signe l’une des étapes mondiales dans le développement de cette technologie et identifie la Chine comme l’un des leaders principaux. En effet, l’Empire du Milieu est maintenant le premier pays du monde à utiliser la technologie quantique pour en faire une commercialisation. Le réseau de distribution quantique de clefs (QKD) serait impossible à pirater car, là où un réseau classique peut être pénétré à l’insu des utilisateurs, ce n’est pas le cas avec un réseau QKD. Avec ce dernier, ceux-ci sont prévenus immédiatement en cas d’atteinte à la sécurité car les informations transmises sont directement modifiées par l’infraction et le piratage est ainsi immédiatement visible. Lorsque le réseau sera en place, il sera donc quasiment impossible pour les autres pays d’observer les communications chinoises.

Et les USA sont en train de perdre la guerre technologique, ceux-ci s’enfonçant dans la dégénérescence raciale et économique dont nous avons parlé. Mais leur dégénérescence n’est encore rien comparativement à une Europe de l’Ouest inexistante au plan stratégique.

Et je n’ai pas évoqué la démarche résolument eugéniste de la Chine qui entend améliorer racialement sa propre population au moyen de l’utilisation des dernières technologies génétiques. Ce qui terrorise les gauchistes pro-nègres français.

Le bilan des démocraties juives

Tout ce que fait la Chine, le Troisième Reich se proposait de le faire à la tête de l’Europe Nouvelle unifiée. Cette même Europe que s’est ingéniée à détruire la juiverie démocratie alliée et ses comparses soviétiques.

Le résultat est là : de l’URSS, il ne reste qu’un vaste espace dépeuplé, rongé par l’alcoolisme et la drogue où pointe la surnatalité islamo-asiate. Des USA triomphants de 1945, une île continent qui sera demain un gigantesque Brésil dominé par la race la plus stupide de la terre : les juifs.

Et l’Europe, faisant face à la profusion afro-islamique, n’a pas même le moindre début d’intention de se défendre.

Dans cette mélasse, nous voyons les ratés du crû tenter de se hisser sur le désastre et réclamer une « France souveraine », c’est-à-dire, tournée contre l’Europe. A la condition qu’ils président à cette entreprise funeste, naturellement.

Je le dis et le répète : une France « souveraine » est une fiction qui n’existera jamais et tout ce qui tendra à l’atteindre se convertira mécaniquement en négrification accélérée. Car cette « France souveraine » qui, déjà en 1914 se devait de s’arrimer à la City et à Wall Street pour se maintenir, ne peut que vouloir agiter son ex empire colonial contre la race blanche d’Europe pour faire contrepoids.

Ce fabuleux empire café-au-lait qui serait traversé de convulsions insurrectionnelles permanentes où les Blancs, survivants dans leur trou, seront sous la menace endémique de l’égorgement et du viol de leurs « compatriotes ».

C’est à cela que mène, invariablement, le souverainisme europhobe : à la fosse à purin raciale.

Nous sommes à l’heure de l’intelligence artificielle et de la robotisation à outrance, mais la France est gouvernée par des communistes qui entendent taxer les robots car ces derniers rendent obsolètes les nègres qui, d’ailleurs, n’ont jamais cessé de l’être depuis qu’ils existent.

Léon Degrelle nous le disait également :

Mais, là encore, ne se résignait, tout au contraire :
Des temps nouveaux jailliront, dans la mesure où vous, jeunes garçons et jeunes filles du XXIe siècle déjà campés à notre porte, vous vous attellerez — avec des méthodes et des idées nouvelles, mais aussi avec un idéal brûlant comme celui de vos aînés des temps héroïques — à la tâche grandiose de renouvellement d’une société désorbitée.

Jeunes camarades d’Europe, votre tour est venu. Matériellement, bien sûr, mais surtout spirituellement et intellectuellement, soyez prêts, dispos pour tous les sacrifices, le cerveau parfaitement nourri et structuré, le corps fort pour les plus durs duels, l’âme illuminant votre projection. Alors, quelle qu’ait été. L’âpreté de la lutte, vos bras solides pourront hisser sur vos boucliers cette victoire que les faiblards croyaient devenue inaccessible.

Seuls ceux qui ont la foi retournent et bravent le destin ! Croyez ! Luttez !

Le monde, ça se perd, où ça se prend. Prenez-le !

Dans le désert humain où bêlent tant de moutons, soyez des lions !

Forts comme eux ! Intrépides comme eux !

Et que Dieu vous aide !

Salut, camarades !

De toutes les tâches, bazarder la vieillerie et tout ce qui pue la vieillerie est impératif. Tout le fatras démocratique doit être balancé aux ordures et, paradoxalement, c’est le grand empire autoritaire en voie de conquête – la Chine – qui va nous aider à discréditer l’imposture juive qu’est la démocratie.

Face à la crise que nous traversons, nous devons nous projeter dans l’avenir pour la dépasser et ce à l’échelle de la Grande Europe car c’est à cette échelle qu’elle se situe.

Et le socle de cette révolution, c’est la jeunesse blanche.

Salut à la victoire !