Les journalistes de BFMTV canonisent une négresse en boubou prête à déféquer son négrillon après une visite compliquée à son taulard cafre

Captain Harlock
Démocratie Participative
09 Juillet 2020

 

BFM Paris, antenne francilienne de la télévision juive BFMTV, continue d’agiter la négraille contre toute forme d’ordre légal à coups de reportages plus obscènes les uns que les autres.

Celui-ci est à archivé.

On y voit une énorme Fatoumata en boubou, aussi nonchalante qu’insolente, qui se lamente longuement de ce que, pleine d’un futur Français, les surveillants de prison n’aient pas déployé des trésors d’amabilité pour accueillir la bouée qui lui sert de cul tandis qu’elle visitait le coupable du négrillon en gestation : son truand de négro.

BFM Paris :

Enceinte de huit mois et demi, Mabéré a été oubliée durant 17 heures au parloir après avoir rendu visite à son conjoint dans une prison de l’Oise. Pour BFM Paris, elle témoigne de sa mésaventure.

Comme chaque semaine, Mabéré est allée rendre visite dimanche dernier à son conjoint, incarcéré à la prison de Liancourt, dans l’Oise. Mais la dernière entrevue de cette femme de 43 ans à son compagnon ne s’est pas passée comme à l’ordinaire.

Lorsque la visite se termine, son compagnon est emmené comme d’habitude en dehors du parloir en premier. Mais personne ne revient ensuite ouvrir à Mabéré. Il est alors 17 heures, et c’est un cauchemar qui commence pour cette habitante d’Aulnay-sous-Bois, enceinte de huit mois et demi.

« J’ai vu qu’il n’y avait personne, j’ai commencé et j’ai continué à taper. Il n’y avait personne« , assure Mabéré. « J’ai crié, il n’y avait personne. J’ai sonné, fatiguée. Il n’y avait personne. »

Les nègres peuvent répéter la même phrase pendant des jours avec le même étonnement. La phrase surprend toujours autant la gelée de mafé qui leur sert de cervelle.

Elle sonne, hurle, frappe aux portes. En vain. Elle craint pour son bébé. Impossible pour elle d’utiliser son téléphone, resté dans son casier, comme l’exige le règlement. Seule, lumière coupée, clim à fond et sans personne pour lui ouvrir, Mabéré, frigorifiée, tente alors de s’occuper comme elle peut.

Une véritable femelle gorille dans une cage.

« Je me suis couchée sur la table, mais elle était dure, j’avais mal partout », raconte-t-elle. « Je me suis assise dans la chaise, puis je me suis levée et j’ai commencé à me balader parce qu’il n’y avait pas d’autre chose à faire. »

Ne voyant pas sa mère revenir à la maison, sa fille Massita, 20 ans, donne l’alerte. La jeune femme, inquiète, appelle le centre pénitentiaire et se voit confirmer que sa mère a bien quitté les lieux.

« Ils leur ont dit que je n’étais pas là, qu’on était sortis à 17 heures », explique la femme enceinte. « Pourtant, j’étais là. Pourtant, il y avait ma pièce d’identité avec eux, mes papiers. Il y avait mon sac complet dans le casier. »

Malgré l’appel des enfants de Mabéré, personne ne vient vérifier que la maman n’est pas restée dans le parloir après la visite.

Pensant qu’elle avait peut être accouché, Massita décroche alors son téléphone et appelle les hôpitaux. Autour de 3 heures du matin, elle décide de se rendre au commissariat. Les fonctionnaires tentent alors d’appeler le centre pénitentiaire mais leurs appels restent sans réponse. Ils dressent enfin un avis de recherche pour retrouver Mabéré. Ce n’est que vers 10 heures, lundi matin – soit 17 heures plus tard – que Mabéré est finalement « libérée » par une femme qui passait dans le couloir, alertée par ses cris. Une chance pour Mabéré, alors qu’aucune visite au parloir n’était prévue le lundi.

La femme enceinte sera finalement raccompagnée chez elle après s’être vu offrir un petit-déjeuner. Une maigre consolation. Ses proches, qui ont passé la nuit à appeler le commissariat et les hôpitaux alentours, se disent choqués et réclament des sanctions.

« On peut dire que c’est une séquestration », déclare Massita, la fille de Mabéré, à BFM Paris. « Elle n’avait pas mangé depuis 13 heures, ça fait peur quand même. Je ne le souhaite à personne. Surtout que si c’est arrivé à ma mère, ça peut très bien se reproduire. »

La direction pénitentiaire n’a pas souhaité s’exprimer, mais a tout de même reconnu des manquements graves et un dysfonctionnement interne. Une enquête admnistrative a été ouverte.

L’honneur est sauf !

Les autorités, soucieuses du bien-être de la négraille criminelle qui repeuple la France, veilleront à ce que ces primates haineux soient dûment dédommagés. Cela les mettra dans de bonnes dispositions pour chier le futur violeur que la guenon a dans le buffet.

Remercions les plumitifs Raphaël Maillochon, Julie Mitoyen et Florian Bouhot pour leur soutien à l’invasion négroïde et à leur ferme soutien au gang Traoré qui commande ces hordes de singes hostiles. Il est important, à l’aube de la guerre raciale totale qui s’annonce, de connaître les ennemis du peuple qui travaillent pour l’ennemi.

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