42% des Français estiment à juste titre que les accusations de viol sont le fait de traînées allumeuses

Captain Harlock
Démocratie Participative
23 juin 2019

« Si tu regardes mes seins, tu es un violeur »

Les mecs voient clair dans le jeu des traînées mythomanes qui s’inventent des vies pour ruiner celles des hommes.

L’Est Eclair :

À cause de leur attitude aguicheuse, leurs vêtements trop courts, leurs manières de marcher… 42 % des Français interrogés pour un sondage Ipsos affirment que les victimes de viol l’ont bien cherché et que la responsabilité est partagée entre le violeur et sa victime. En Irlande, en 2018, un violeur a été acquitté sous prétexte que sa victime portait un string rapporte Terrafémina.

Cette presse judéo-féministe est vraiment prête à toutes les bassesses.

J’ai été lire cette histoire de string.

Pour commencer, la décision a été prononcée à l’unanimité par un jury de 12 personnes dont 4 femmes. Ensuite, à aucun moment l’acquittement n’a été motivé par le port d’un string. Ce qui s’est passé c’est que l’avocate de l’accusé de 27 ans a évoqué dans sa plaidoirie le fait que la tenue de l’accusatrice était un des éléments, parmi d’autres, à prendre en compte pour déterminer les circonstances du rapport sexuel.

« Je ne vois ce qui vous fait dire que je voulais coucher ! »

Ce que disent ces 42% de Français, c’est que les « victimes de viol » sont en réalité des gonzesses qui veulent coucher et qui commencent à raconter n’importe quoi après les faits, pour X ou Y raison.

A aucun moment ils ne disent que les torts sont partagés entre « le violeur et sa victime ». Ils disent qu’il n’y a pas de viol en premier lieu.

Les témoignages sont aussi discrédités pour 28 % de la population, qui estiment que le témoignage de la victime ne peut être qu’une façon « d’attirer l’attention ».

Non, impossible.

Dans une société où des travelos peuvent prétendre être des femmes, la réalité et les faits matériels n’ont plus aucune espèce d’importance.

La notion de viol va probablement être tellement tordue par les lesbiennes au point qu’un acte sexuel réel ne sera même plus nécessaire pour qu’une traînée se dise victime de viol.

Elles parleront de « viol psychologique ».

Les traînées veulent pouvoir se comporter en putes intégrales en se saoulant en boîte de nuit avant de coucher avec n’importe qui.

Le lendemain, elles veulent pouvoir assurer leurs arrières en accusant un type de viol si jamais leur mec officiel devait l’apprendre. C’est un filet de sécurité.

Ni plus, ni moins.

Pupute montre ses nichons à Mohammed

La beurette ménopausée Zohra Bitan vient de nous donner encore un exemple de cet appel à la putisation des femmes sous couvert d’excuses bidon.

Ce malaise devant une vieille peau du bled qui veut à tout prix étaler ses nichons desséchés.

Une rombière de 60 berges qui exhibe ses seins est clairement une folle du cul.

Vous croyez réellement que ces gonzesses montrent à moitié leurs seins à des barbus d’Allah pour lutter contre « l’islamisme » ?

Comme si une femme qui craignait réellement la trique patriarcale des Arabes leur collait ses nichons sous les yeux pour s’en prémunir.

C’est bien sûr pour brancher les Arabes.

Ces putes veulent faire bouillir les bougnoules pour se sentir sexuellement désirées par ces animaux. Et sautées.

« Regarde mes nichons Mohammed, tu aimes hein ? ».

La défense du judéo-christianisme.

Ces traînées de la vaginocratie nihiliste veulent une excuse pour qu’on les remercie de chauffer à fond les crouilles sous nos yeux.

Personne ne peut être dupe du jeu de ces gonzesses qui cherchent de l’attention sexuelle par tous les moyens tout en jouant les saintes nitouches.

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