21,6% de prénoms musulmans en France en 2019 : les jeunes Blancs doivent se préparer au cataclysme racial qui les attend

Captain Harlock
Démocratie Participative
01 octobre 2020

 

Récemment, le site Fdesouche a publié les chiffres de l’INSEE sur l’octroi de prénoms musulmans en France en 2019. Vous pouvez lire la note de synthèse.

Au total, 21,6% des enfants nés en France en 2019 ont reçu un prénom islamique.

Je tiens à rappeler que musulman n’est pas synonyme d’immigré, une réalité trop souvent occultée par le discours exclusif de la droite sur l’islam quand on parle des conséquences de l’immigration. La part des immigrés musulmans dans l’immigration extra-européenne en France est de l’ordre de 50 à 60%.

Nous nous situons, en 2020, aux alentours de 42% de naissances non-blanches en France. A raison de 1% supplémentaire par an, nous devrions atteindre 50% de naissances non-blanches entre 2025 et 2030.

Le sociologue Jérôme Fourquet avait déjà abordé la question des prénoms musulmans dans son livre L’Archipel français. Il explique avec des formules prudentes ce qui n’est rien moins que l’effondrement de la civilisation occidentale en France sous le poids de la dénatalité blanche et de l’immigration extra-européenne.

Je vous conseille d’écouter attentivement une de ses conférences pour mesurer l’ampleur de la balkanisation ethno-sociologique en cours.

Fourquet met en lumière plusieurs ruptures historiques sans précédent qui se forment sous nos yeux.

La première est la disparition finale du christianisme catholique au sein des populations blanches. C’est une donnée fondamentale car depuis la Révolution Française, toute la vie politique française était structurée par la guerre civile, ouverte ou larvée, entre Catholiques et non-Catholiques. C’est ce clivage entre cléricaux et anti-cléricaux qui est à la racine de la droite et de la gauche en France. L’instauration de la Troisième République en 1875 marque la victoire de la gauche au niveau de l’Etat sur la droite. Sans cette définition mutuelle de l’ennemi, la « gauche » et la « droite » ont perdu leur raison d’être. C’est la raison pour laquelle la bourgeoisie urbaine s’unifie de plus en plus socio-politiquement et rompt avec la population blanche « périphérique » comme l’a montré la violente répression des Gilets Jaunes. On passe du conflit « droite/gauche » à un conflit intra-blanc « haut/bas ».

La seconde, c’est la fin de l’assimilation. Ce qui a fonctionné pour des Polonais, des Bretons, des Italiens ou des Basques ne fonctionne pas avec les afro-maghrébins. Devenus majoritaires dans leurs zones de peuplement, les immigrés extra-européens n’ont plus aucune raison d’adopter les référents culturels de la société française autochtone. Ce que démontre justement le fait que génération après génération, les immigrés musulmans donnent des prénoms islamiques à leurs enfants. C’est également ce que démontre le fait que 74% des jeunes musulmans en France placent la charia avant la loi française. Il n’y a même plus « d’intégration » mais une partition ethno-culturelle. Ce bloc démographique islamo-immigré compte désormais 15 millions d’individus.

La troisième, c’est le déclassement des classes moyennes blanches. Ces classes moyennes sont méprisées et redoutées par la bourgeoisie urbaine et subit l’immigration du tiers-monde que cette bourgeoisie organise. Ces classes moyennes blanches veulent reprendre le contrôle politique de leur pays, tant par le bas en rétablissant les frontières que par le haut en réduisant le pouvoir de Bruxelles et des organismes internationaux. Ce qui se traduit par un vote souverainiste et anti-immigration en faveur du RN pour contrer leur évincement économique, démographique et culturel.

Ces trois blocs deviennent autonomes les uns vis-à-vis des autres tout en restant dans un même système politico-administratif. Ce qui rend le système de plus en plus instable, traversé par des crises toujours plus nombreuses et violentes. La classe dominante, elle-même dominée par la finance juive, veut une agressive politique d’immigration de masse mais doit affronter les conséquences culturelles puis politiques de cette immigration que sont islamisme et populisme blanc.

D’où les efforts de la classe dominante pour garantir le statu quo au nom « des valeurs de la République » avec des exercices de communication « républicains » qui ne sont qu’autant de plébiscites organisés par et pour la classe dominante. C’est ce qu’exprime l’opération de propagande autour de Charlie Hebdo par des agents d’influence comme Zineb el Rhazoui.

C’est aussi ce qu’exprime l’offensive médiatique du gouvernement macroniste contre le « séparatisme ». Ce qui déplaît d’ailleurs à l’aile gauche de la bourgeoisie.

Laissons les morts enterrer leurs morts. Ces gens-là s’agitent en vain pour conjurer la catastrophe finale qu’est la fin de la démocratie.

Peu importe ce que nous faisons, nous devons le faire sur la base de l’identification claire de notre groupe social comme de la désignation claire de notre ennemi. Notre groupe social est surdéterminé par son origine raciale. Grosso modo, notre base repose actuellement sur environ 15 millions de personnes en France (électeurs du FN au second tour en 2017 + abstentionnistes sympathisants + proches). C’est autant que la population allogène.

Reste donc 37 millions de gens dont 10 millions sont de la gauche radicale (électeurs de Mélenchon au premier tour en 2017 + abstentionnistes sympathisants + proches) et +ou- 25 millions de gens votant pour les partis bourgeois (LREM, LR, PS, EELV).

La situation démographique annonce la suite. En 2050, la population blanche en France sera d’environ 40 millions d’individus contre 52-53 millions aujourd’hui. Sur ces 40 millions de Blancs, 40% auront plus de 65 ans. A l’inverse, la population non-blanche sera d’environ 30 millions d’individus (15 millions actuellement) dont 20 millions de musulmans (10 millions actuellement).

Ce basculement racial poussera progressivement vers notre groupe socio-politique blanc une partie minoritaire de la bourgeoisie blanche urbaine et une partie du prolétariat votant encore pour la gauche radicale. A l’intérieur du groupe racial blanc, on peut estimer de 20 à 25 millions sur 40 le nombre de ceux qui sur les 30 prochaines années se situeront sur une position anti-immigration.

La bourgeoisie dominante, pour garder le pouvoir, devra donc choisir un de ces deux groupes ethno-sociaux et faire d’importantes concessions à ce camp.

Quelques indices pour deviner le plus probable allié de la bourgeoisie dans la guerre actuelle :

  • Le régime républicain a été refondé en 1945 sur l’antiracisme et antifascisme
  • La bourgeoisie urbaine estime avoir besoin d’immigration non-blanche
  • La bourgeoisie urbaine vit à proximité des allogènes de banlieue et subit leur influence
  • L’immigration non-blanche est ascendante numériquement
  • La France est déjà influencée par des états islamiques comme l’Algérie et l’Arabie Saoudite
  • Les partis bourgeois recrutent massivement des allogènes pour les faire élire
  • L’embrigadement idéologique en faveur de la diversité ethno-raciale est déjà imposée dans les médias, les entreprises, les services de l’Etat
  • L’islam assume sa violence et la bourgeoise se soumet toujours au plus violent

Tout porte à penser, sauf événement imprévu, que l’ennemi désigné par le régime en 1945 restera l’ennemi désigné en 2045 : l’homme blanc insoumis à l’alliance entre ultra-capitalistes, marxistes et éléments étrangers.

Même si la bourgeoisie s’allie avec ces masses allogènes, elle régnera très difficilement sur un ensemble politique semblable à la Yougoslavie multiethnique ou au Liban. Elle aura une minorité de blocage dans ce qui sera devenu un non-état, une simple addition d’enclaves ethniques d’une grande complexité où le narco-trafic et l’islamisme domineront.

La règle pour les 30 années à venir

La règle est la suivante : tout ce qui sera sauvé sur les 30 prochaines années, sera définitivement sauvé. Tout ce qui sera perdu sur les 30 prochaines années sera définitivement perdu. Cela vaut pour les villes, les terres, les femmes, le patrimoine, l’héritage culturel, etc..

Comment anticiper l’évolution de la situation ? Observer le décalage dans le temps entre les départements le plus tôt soumis au remplacement de population et les autres. Le 93 avait un taux de naissances musulmanes de 16% en 1989, c’est-à-dire un peu moins que l’Alsace actuelle (Bas-Rhin : 18%, Haut-Rhin : 21%, 2019). Le 93 compte désormais 54% d’allogènes, soit une multiplication par 3 en 30 ans. On peut raisonnablement estimer que l’Alsace comptera entre 50 et 60% de naissances musulmanes en 2050 auxquelles il faudra ajouter les naissances non-blanches non-musulmanes.

Nos gens se focalisent sur les élections en général et sur les élections présidentielles en particulier, pensant que cela est en mesure de changer la donne fondamentale. Les élections visent à prendre le contrôle formel de l’Etat, c’est-à-dire de la superstructure du système. Mais les élections ne sont que la conclusion d’une mutation de l’infrastructure, c’est-à-dire de la société. Les élections ne changent pas la démographie, elles résultent de la démographie.

Si Marine Le Pen gagnait les élections demain, elle pourrait, au maximum, stopper l’immigration extra-européenne pour 5 ans. Grand patronat, finance, marxistes, islamistes, médias, tous se ligueraient contre une telle politique. Tôt ou tard, par le jeu électoral, une coalition opportuniste gagnerait les élections et s’empresserait d’ouvrir les vannes de l’immigration non-blanche pour verrouiller le jeu électoral.

Nous devons intégrer un fait central : nous sommes minoritaires politiquement dans un pays où les Blancs deviennent minoritaires démographiquement. Les Blancs sont divisés en deux camps : le camp immigrationniste et le camp anti-immigrationniste.

L’idée démocratique, avec son principe du droit de la majorité, est foncièrement incapable de donner la victoire à notre cause. C’est la raison pour laquelle notre principe est celui de la race contre la masse. Ce qui compte c’est de disposer d’une minorité suffisamment puissante et organisée dans la durée pour paralyser la démocratie sur les parties du territoire que nous aurons sécurisé définitivement.

Sur les 30 prochaines années, la question raciale sera devenue par l’action des activistes racistes une évidence pour des millions de personnes. La République, ses juifs et ses mythes ne seront plus qu’une vieillerie obsolète. Plus vite nous sortirons de jeunes Blancs de leur torpeur en les amenant immédiatement sur des positions racistes, plus notre dispositif stratégique sera solide. La phase 2020-2050 est cruciale, c’est la base de départ de tout ce qui sera construit plus tard par ceux qui nous succéderont. Nos succès et nos échecs auront d’énormes répercussions au XXIe et au XXIIe siècles.

C’est pourquoi il faut investir essentiellement dans les enfants, surtout dans leur formation intellectuelle. A 15 ans, un jeune Blanc éduqué par un père raciste doit être un ardent militant de la cause ayant déjà lu un nombre substantiels d’ouvrages formateurs. La période de 15 à 20 ans laisse une trace indélébile chez un homme. C’est ceux que nous devons toujours cibler.

Un jeune Blanc doit avoir appris à haïr l’ennemi racial avec méthode. Le sentimentalisme doit être proscrit. Nous devons impérativement familiariser les jeunes qui entrent dans la lutte à être incapables d’empathie pour nos ennemis. L’empathie est notre point faible et cette tare doit être systématiquement réprimée dans nos rangs. Il faut apprendre à aimer les siens en étant impitoyables avec les autres. Une fois cette maladie de l’âme aryenne éradiquée dans le cœur d’un jeune Blanc, il devient un homme libre et le maître de son destin.

Avec la disparition progressive des Boomers et la brutalité de la situation raciale et économique en France, cette révolution culturelle s’accélérera à une vitesse fulgurante. Ne nous égarons pas dans des combats sans lendemain en achetant la soupe empoisonnée des épiciers du suffrage universel et bâtissons pour la longue durée.

Nous ne serons pas éternellement les exclus de ce système juif. Dans les décennies qui viennent, nous serons comme des poissons dans l’eau dans de nombreuses zones du territoire français encore épargnées par le cataclysme racial. Dans ces zones-là, les racistes seront les nouveaux maîtres.

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