Allemagne : le renseignement allié a tenté de détruire l’AfD en utilisant une femme contre ses chefs

Captain Harlock
Démocratie Participative
06 août 2018

Démonstration, s’il en était besoin, de ce que le Reich est sous occupation judéo-alliée, le chef fantoche du renseignement allemand a tenté d’organiser un putsch au sein de l’AfD au profit de l’aile la plus modérée qui était représentée – quelle surprise – par une femme, Frauke Petry.

WSWS :

Le président de l’Office fédéral pour la protection de la Constitution (BfV), Hans-Georg Maaßen a rencontré plusieurs fois l’ancienne cheffe de l’Alternative pour l’Allemagne Frauke Petry en 2015. Il l’a alors conseillée pour éviter que son parti ne soit surveillé au niveau fédéral par ce service de renseignement intérieur et qu’il soit considéré comme « extrémiste de droite ».

C’est ce que rapporte l’ex-membre de l’AfD Franziska Schreiber dans un livre récemment publié, Inside AfD. L’auteure du livre, agée de 28 ans, était présidente de l’organisation de jeunesse de l’AfD Jeune Alternative en Saxe et une proche collègue de Petry.

« Petry m’a rapporté plus tard que Maaßen lui avait dit ce que l’AfD devait faire à présent pour éviter une surveillance par le [BfV], que lui même ne souhaitait pas », écrit-elle dans son livre. Tous deux semblaient avoir développé une certaine sympathie l’un pour l’autre .

Maa ßen aurait conseillé à la dirigeante de l’AfD d’exclure le député au parlement du Land de Thuringe Björn Höcke qui représentait l’aile ethno-nationaliste de l’AfD. En décembre 2015, peu après sa rencontre avec Maaßen, Petry avait effectivement exigé la démission de Höcke et préparait une procédure d’exclusion à son égard. Selon Schreiber, elle l’avait fait sur les instances pressantes du chef du service de renseignement.

Le BfV a depuis indirectement confirmé que Maaßen avait rencontré Petry. On avait de façon générale des conversations avec des représentants de tous les partis, a dit un porte parole du service à laSüddeutsche Zeitung, ne démentant pas ces rencontres. Il a cependant contesté que Maaßen avait conseillé l’AfD ou recommandé l’exclusion du parti de certains membres de sa direction.

Il était déjà connu longtemps avant la publication du livre de Schneider qu’il existait des contacts entre Maaßen et Petry. DerSpiegel avait déjà rapporté au début de 2016 qu’ils s’étaient rencontrés plusieurs fois « à la demande de Petry » à l’automne de 2015. Le périodique d’information se réclamait alors de plusieurs « politiciens de l’AfD », à qui Petry en avait parlé. Il était alors déjà question de conseils. Maaßen avait averti la dirigeante de l’AfD qu’on allait surveiller la branche sarroise de l’AfD pour activités extrémistes. Peu après, l’AfD décida de dissoudre celle-ci.

Björn Höcke est non seulement toujours membre du parti, mais il a encore déclenché des protestations dans tout le pays par divers discours droitiers incendiaires. Début 2017, il avait vitupéré contre la « culture du souvenir » des crimes nazis, appelé le Monument aux victimes de la Shoah à Berlin, un « monument de la honte » et accusé les alliés d’avoir cherché, par leurs bombardements des villes allemandes, à «voler notre identité collective » et à « nous éradiquer entièrement ». Malgré tout cela, la procédure d’exclusion contre lui a cessé sous pression de la direction du parti.

C’est finalement Petry qui a été limogée par le parti, signifiant par là que l’opération de subversion a été déjouée.

Le renseignement allemand n’a d’allemand que le nom : c’est une simple branche de la CIA, elle-même sous direction juive.

Il est particulièrement révélateur que cette police politique parallèle ait tenté de détruire à tout prix les cadres les plus courageux et les plus lucides sur la situation historique, psychologique et culturelle de l’Allemagne.

De la même façon que la France est un pays sous occupation judéo-alliée, l’Allemagne continue d’être brutalement occupée et visée par une guerre psychologique permanente.

Rappelons le mot de Delmer Sefton, journaliste et responsable du département de la propagande noire britannique durant la guerre :

« La propagande sur les atrocités est la façon dont nous avons gagné la guerre. Et nous ne faisons encore que commencer ! Nous continuerons cette propagande sur les atrocités, nous l’intensifierons jusqu’à ce que plus personne n’accepte un seul mot même des bons Allemands, jusqu’à ce que la sympathie qui puisse leur rester à l’étranger ait été détruite et qu’ils soient eux-mêmes si confus qu’ils ne sauront plus ce qu’ils font. Une fois que ce sera réalisé, une fois qu’ils abandonneront en courant leur propre pays et leur propre peuple, non pas avec réticence mais avec une réelle envie de plaire aux vainqueurs, alors seulement notre victoire sera complète. Ce ne sera jamais définitif. La rééducation nécessite un soigneux entretien, telle une pelouse anglaise. Il suffit d’un seul moment de négligence et la mauvaise herbe repousse à nouveau, ces herbes indestructibles de la vérité historique ».

Cette Frauke Petry, on le voit, avait été mandatée par le gouvernement d’occupation de l’Allemagne pour neutraliser l’AfD de l’intérieur et le rendre inopérant.

C’est la raison pour laquelle on ne doit jamais placer de femmes à la tête de mouvements politiques, a fortiori à caractère patriotique. La seule idée d’une confrontation dure terrorise une femme qui se met ensuite à rechercher tous les compromis possibles et imaginables.